Quantcast
Channel: Huffington Post Maghreb Athena - All
Viewing all 30776 articles
Browse latest View live

40% des terroristes tunisiens ont fait des études universitaires selon une étude

$
0
0
Environ 40% d’un échantillon de 1000 terroristes tunisiens sont diplômés du supérieur ou ont un niveau universitaire tandis que 33% ont un niveau secondaire", a souligné mercredi Imen Kochbati, docteur en sociologie et en démographie.

Présentant les résultats de la première étude réalisée par le centre tunisien de recherches et d’études sur le terrorisme et intitulée "le terrorisme en Tunisie à travers les dossiers judiciaires", Imen Kochbati a ajouté que 13% de l’échantillon étudié, qui a concerné 384 dossiers judiciaires présentés entre 2011 et 2015, sont diplômés de la formation professionnelle et 4% sont des bacheliers.

La même étude indique que les tranches d’âge 25-29 ans (275 personnes), 30-34 ans (243) et 18-24 ans (204 personnes) sont les plus ciblées par les réseaux terroristes en Tunisie.

Sur un total de 1000 terroristes, 965 sont des hommes et 35 sont des femmes. Plus de la moitié (536) sont des célibataires et 239 sont mariés tandis que les divorcés ou veufs ne représentent qu’environ 1%.

Selon l’intervenante, l’échec du modèle de développement et l’inadaptation entre le système éducatif et les besoins du marché de l’emploi ainsi que l’échec du système de formation professionnelle et son incapacité à attirer les jeunes ont abouti à la croissance du taux de chômage en Tunisie et au blocage des perspectives.

S’agissant de la répartition géographique des terroristes, l’étude évoque trois groupes et ce, selon leurs lieux de résidence.

Le premier comporte les 7 régions qui comptent le plus de terroristes. Il s’agit de Tunis (181), Sidi Bouzid (138), Ariana (61), Jendouba (53), Kasserine (52), Médenine (51) et Bizerte (50).

Le deuxième groupe comporte 13 régions où le nombre de terroristes varie entre 49 et 13. Il s’agit en premier lieu de Sousse (49) Nabeul (43), Kairouan (39), Ben Arous (35), La Manouba (31), Le Kef (27), Monastir (24), Gafsa (23), Zaghouan(21) , Kébili (19), Tataouine (18), Sfax (16) et Mahdia (13).

Le troisième groupe comporte 4 régions qui ne comptent que 20 terroristes au total répartis sur Gabès (8), Béja (6), Siliana (5) et Tozeur (1).

Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.


L'égalité professionnelle hommes-femmes? "Pas avant 2186"

$
0
0
DISCRIMINATION - Il va falloir attendre 170 ans. Selon le Forum économique mondial, si les choses continuent d'évoluer à ce rythme, l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes n'est pas pour tout de suite. Dans son rapport mondial publié mercredi 26 octobre, l'organisme table sur l'année 2186, comme l'explique France info.

Pour expliquer cet horizon lointain, les analystes démontrent le "recul dramatique des progrès" dans quatre domaines: le niveau d'instruction, les opportunités économiques, l'émancipation politique et la santé. Dans les secteurs clés de l'économie "Le fossé entre les sexes, désormais de 59%, est plus élevé qu'il n'a jamais été depuis 2008 (...) Les progrès se sont inversés, après avoir atteint leur pic en 2013", cingle notamment le rapport.

"Le monde risque de gâcher un nombre alarmant de talents s'il n'agit pas rapidement pour réduire les inégalités entre les sexes, qui peuvent compromettre la croissance et priver certaines économies de possibilités concrètes de développement."


Des inégalités partout

Concrètement, ce fossé se manifeste de plusieurs manières, relève Sud Ouest. Les inégalités salariales, notamment, sont toujours aussi importantes à travers le monde. En moyenne, les femmes touchent presque deux fois moins que leur homologue masculin: À l'échelle mondiale, les femmes gagnent, en moyenne, un peu plus de la moitié du salaire que perçoivent les hommes, malgré de plus longues heures de travail, rémunérées comme non rémunérées", souligne le rapport.

Autre constat, les femmes sont toujours moins nombreuse à avoir accès au travail. Seules 54% d'entre elles sont actives contre 81% des hommes. Mêmes inégalités pour les postes à hautes responsabilités. Paradoxal alors que "la proportion de femmes diplômées d'une université est égale, voire supérieure à celle des hommes dans 95 pays", comme l'explique France info.

Le Maroc à la traine

Dans ce domaine, le Maroc est encore à la traine. Sur 144 pays étudiés par le rapport du Forum économique mondial, le royaume arrive à la 137e place, juste devant le Mali (138e) et derrière la Côte d'Ivoire (136e).

La tête du classement est dominée par les pays nordiques, avec l'Islande en au premier rang, suivie de la Finlande (2e) et de la Norvège (3e). En bas de l'échelle, on retrouve le Yemen (144e), le Pakistan (143e) et la Syrie (142e).

En 2016, le taux d'emploi des femmes dans la fonction publique marocaine était de 38,6%. Six ministères concentrent à eux seuls 90% des fonctionnaires de sexe féminin.

Les femmes sont également sous-représentées au sein des institutions politiques. A l'issue des élections législatives du 7 octobre, 81 femmes ont été élues députées sur un total de 395.

Hormis la fonction publique, "les femmes représentent près d'un tiers des cadres supérieurs", tandis qu'elle sont "sur-représentées dans les secteurs où les conditions de travail sont précaires, comme l'agriculture, le travail domestique et le textile", selon un récent rapport du Conseil économique et social.

LIRE AUSSI:



Le sourire de ce bébé qui entend sa mère pour la première fois est à croquer

$
0
0
INSOLITE- Cette vidéo est un remède infaillible à la morosité: impossible de rester de marbre devant le sourire désarmant du petit Xander, huit mois. Les images publiées sur Facebook par son père le montrent entendant pour la première fois sa mère, grâce à un appareil auditif.

Comme le montre notre vidéo au-dessus de l'article, le petit passe alors par toutes les émotions: il fronce les sourcils, semble chercher du regard d'où proviennent les sons qu'il découvre et finalement lance un sourire lumineux à sa mère. Et pour finir: un soupir de contentement à croquer.

Le nourrisson américain est sourd depuis sa naissance et un "saignement au cerveau" qui l'a privé de son ouïe. C'est ce qu'ont expliqué ses parents au site britannique du Dailymail.

Ces vidéos de réactions de sourds entendant pour la première fois ne sont pas rares (et c'est tant mieux): Le HuffPost a d'ailleurs déjà réalisé une compilation de ces images souvent émouvantes, à voir au bas de cet article.

LIRE AUSSI:



Affaire Saad Lamjarred: Ses fans invoquent la théorie du complot

$
0
0
FAIT-DIVERS - Quelques heures seulement après l'arrestation du chanteur marocain Saad Lamjarred pour "agression sexuelle et séquestration", ses fans sont nombreux à invoquer la théorie du complot. Plusieurs de ses admirateurs ont en effet estimé sur Twitter que le fait que le chanteur ait été arrêté quelques jours avant son concert parisien "n'est pas une coïncidence". Une version des faits que défend aussi la mère du chanteur qui a déclaré à le360.ma que son fils "a été victime d'un piège"










Certains fans ont lancé dans la matinée le hashtag #JeSuisSaadLamjarred sur les réseaux sociaux, et ont appelé à soutenir "l'enfant du pays".










Ce n'est pas la première fois que le chanteur est impliqué dans une affaire d'agression sexuelle. En 2010 déjà, l'interprète de "Enty" a été interpellé à New York. Il était accusé de violences physiques et sexuelles par une jeune Américaine.

L'interprète de "Ana machi sahel" était revenu brièvement sur cette histoire au cours d'une conférence de presse précédant son concert au Festival Mawazine en 2016, déclarant à l'époque "que beaucoup de chanteurs connus se sont aussi retrouvés face à des allégations similaires".



LIRE AUSSI: Le chanteur marocain Saad Lamjarred arrêté à Paris pour agression sexuelle?





Si des élections avaient lieu demain, Béji Caid Essebsi et Moncef Marzouki seraient au deuxième tour, Nidaa et Ennahdha remporteraient les législatives

$
0
0
POLITIQUE - Le cabinet Emrhod Consulting, a rendu public son baromètre politique du mois d'octobre 2016, son dernier sondage réalisé entre le 20 au 22 Octobre 2016.

Le président de la République continue lentement sa chute dans les sondages

Dans ce sondage du mois d'octobre 2016, le président de la République a perdu 1,8% de points de satisfaction par rapport au dernier sondage publié au mois de septembre. En effet, ils étaient 43,7% des sondés à être satisfaits par le travail du président de la République, alors qu'ils ne sont plus que 41,9% en octobre 2016.

Sur les 6 derniers mois, Béji Caid Essbesi a perdu près de 10 points dans les sondages passant de 51,3% de satisfaction en avril 2016 à 41,9% en octobre 2016.

Quant au chef du gouvernement Youssef Chahed, l'abstention l'emporte. En effet, près de 3 mois après sa nomination à la tête du gouvernement, 39,8% des sondés n'ont pas souhaité s'exprimer sur son travail. Cependant, ils restent 35,1% à être satisfaits du travail du chef du gouvernement alors que 25,1% seulement ne sont pas satisfaits.

Si les élections présidentielles avaient lieu demain, Béji Caid Essebsi et Moncef Marzouki seraient au second tour

A la question "si les élections présidentielles seraient pour demain, pour qui voteriez-vous?", Béji Caid Essebsi a vu son avance du mois de septembre 2016 baisser de 10 points. Alors qu'il était largement en tête avec 28,9% d'intentions de votes, il reste premier avec seulement 19,2%.

Juste derrière lui, Moncef Marzouki reste à la deuxième place, tout en perdant également 4,1 points par rapport à septembre 2016. Ainsi 12,2% des sondés voteraient pour lui si les élections avaient lieu demain.

Le leader du Front populaire Hamma Hammami rétrograde, lui, en 4eme place avec 10,6% d'intentions de votes, cédant sa troisième place au ministre de l'Éducation Néji Jalloul qui obtient 11% d'intentions de votes.

Derrière, tous affichent des intentions de votes à moins de 10% à l'instar de Mohsen Marzouk (8,8%), de Rached Ghannouchi (7,7%), Mehdi Jomaa (5,8%), Mohamed Abbou (4,8%) et enfin Safi Said (4,6%).

Il est à noter que les réponses des sondés sont "en instantané", c'est à dire, qu'aucune liste n'a été proposée aux sondés.

Samia Abbou, la plus apte à être présidente de la République

Selon ce sondage, 51,7% des personnes interrogées estiment qu'une femme est en mesure d'occuper le poste de président de la République contre 47,1% qui pensent le contraire.

S'ils devaient citer un nom d'une femme qui semble apte à occuper ce poste, 71,3% des sondés ne se sont pas prononcés. Parmi ceux qui ont cité des noms, Samia Abbou semble être la plus apte selon les sondés arrivant en tête avec 14,9% suivie de Maya Jeribi (3,1%), de Abir Moussi présidente du mouvement destourien (2,7%), et de Maherzia Laabidi (2,4%).

La présidente du patronat Wided Bouchamaoui n'obtient que 2,2% des sondages.

Nidaa Tounes et Ennahdha continuent leur duo

Parmi les partis politiques, Nidaa Tounes et Ennahdha arrivent largement en tête des intentions de votes si des élections devaient se produire le lendemain.

Le parti au palmier, fondé par Béji Caid Essebsi, arriverait premier avec 28,4% des intentions de votes talonné par Ennahdha avec 23,6%. Les deux partis gagnant respectivement 1,8 point et 2,2 points par rapport au mois de septembre.

Derrière, le Front populaire obtiendrai 11,7% des voix suivi de "Machrou' Tounes" avec 7,8% et du mouvement Tunisie Volonté avec 7,5% des voix.

La menace terroriste de moins en moins élevée pour une majorité de Tunisiens

La perception de la menace terroriste semble s'estomper de plus en plus en Tunisie.

Ainsi, selon Emrhod Consulting, seulement 19,5% des sondés trouvent la menace terroriste très élevée ou élevée, alors que ce chiffre grimpait à 46,6% lors du dernier baromètre.

Il s'agit du taux le plus bas depuis avril 2013.

Léger mieux en matière économique, statut quo en matière de liberté d'expression

34% des Tunisiens estiment que la situation économique du pays s'améliore alors que ce chiffre était de 31,1% au mois de septembre. Cependant, 46,6% des sondés estiment que la situation économique se dégrade, soit une hausse de 2,4%.

Concernant la liberté d'expression, 46,1% trouvent que la liberté d'expression est menacée, soit une baisse de 0,5% par rapport au mois de septembre 2016.

Les Tunisiens pas pessimistes quant à l'avenir, mais moins optimistes

À la question "Etes-vous plutôt optimiste ou pessimiste pour les prochains jours?", 65,80% des Tunisiens s'estiment optimistes. Il s'agit du pourcentage le plus faible depuis avril 2013, connaissant même une baisse de 15,4 points depuis avril 2016/

Par ailleurs, 26,2% des personnes interrogées se disent pessimistes quant aux prochains jours.

Cette enquête a été réalisée entre le 20 et le 22 octobre 2016 auprès d’un échantillon représentatif de la population tunisienne en âge de voter (18 ans et plus). 1078 personnes ont été interrogées, par téléphone dans les 24 gouvernorats (zones urbaines et rurales).

Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.

Le groupe Mazouz rachète le centre commercial "Bab Ezzouar"

$
0
0
Le groupe "Mazouz" a officialisé ce jeudi 27 octobre le rachat du centre commercial de Bab Ezzouar. La Société de gestion des centres commerciaux (SGCC) d'Algérie a cédé 74% de ses parts à la société dirigée par Mohamed Mazouz, a-t-on appris auprès de ce groupe.

Selon El Khabar, le montant de cette transaction est de 7.2 milliards de dinars.

Les partenaires suisses de la SGCC dirigeront encore le centre commercial afin de garantir un transfert de technologie et d'expérience en matière de gestion administrative.


Ce rachat permet aussi au groupe "Mazouz" de conserver une somme annuelle de 25 millions de dollars en Algérie, transférée auparavant par le partenaires suisses Jelmoli SA, Valartis international et Darsi Investment à l'étranger.

La même source rapporte par ailleurs que le même groupe a signé un deuxième contrat pour l'achat du centre commercial d'Es Senia, dans la wilaya d'Oran, qui ouvrira ses portes dans environ 15 mois.

Retrouvez les articles de HuffPost Algérie sur notre page Facebook.


Pour suivre les dernières actualités en direct, cliquez ici.

Mobilis lancera le paiement mobile dès la promulgation des textes de loi

$
0
0
L'opérateur de téléphonie mobile, Mobilis, lancera le paiement mobile dès la promulgation des textes de loi le régissant, a indiqué jeudi le Président-directeur général de cet opérateur public, Mohamed Habib.

"Mobilis est techniquement prêt pour le lancement du paiement mobile et dès que les textes législatifs seront adoptés par le parlement", a précisé M. Habib sue les ondes de la Chaine III de la Radio algérienne.

Il a affirmé que le m-paiement, avec le e-paiement lancé il y a quelques semaines par des banques et entreprises dont Mobilis, est "très important pour l'économie numérique".

LIRE AUSSI: Lancement officiel mardi 4 octobre du e-paiement en Algérie


Le m-paiement permet aux consommateurs de régler des achats depuis un téléphone mobile. Cette transaction sera alors débitée soit sur une carte bancaire, une facture de l'opérateur ou un porte-monnaie électronique.

M. Habib a révélé, par ailleurs, que les investissements de Mobilis sont de l'ordre de 40 milliards de dinars pour l'année 2016.

Il a expliqué que cet investissement est consacré notamment au développement des licences 2G, 3G et aussi la 4G qui vient d'être lancée en Algérie et dont Mobilis a été classé première dans l'octroi de cette licence.

"La vision est de maintenir ce leadership en optimisant les investissements et en essayant d'aller vers la transformation digitale de l'opérateur pour devenir un opérateur moderne", a-t-il souligné, précisant que le défi actuellement est la mise en place d'"une véritable industrie du contenu local".

M. Habib a annoncé, à cette occasion, la mise en place de structures de recherche et de développement pour adapter et innover des solutions à même de permettre à Mobilis de se mettre au diapason des grandes entreprise internationales.

Il a assuré que Mobilis "ne ménage aucun effort pour améliorer la qualité de service et devenir une marque de référence qui pourrait s'exporter au niveau international, notamment en Afrique".

"Notre préoccupation première est l'amélioration de la couverture et l'optimisation du réseau, ainsi que l'accueil des clients au niveau des agences de Mobilis", a-t-il assuré.

Interrogé sur la "mauvaise qualité" du réseau de Mobilis dans certaines zones du pays ainsi qu'au niveau de certains quartiers de la capitale, il a estimé que le réseau de Mobilis, qui enregistre actuellement 17,5 millions d'abonnés à la téléphonie mobile au 30 septembre 2016, est "en constante amélioration, notamment en ce qui concerne la réduction du temps de traitement des problèmes techniques".

Retrouvez les articles de HuffPost Algérie sur notre page Facebook.


Pour suivre les dernières actualités en direct, cliquez ici.

Le "chef d'oeuvre" du footballeur Sofiane Boufal avec Southampton (VIDÉO)

$
0
0
FOOTBALL - C'est un but qui ne manque pas de susciter l'admiration des internautes et de la presse sportive. Sofiane Boufal, qui a rejoint le club anglais de Southampton fin août, a marqué un but d'anthologie mercredi 26 octobre au soir, à domicile contre Sunderland (1-0).




C'est la première fois que le footballeur marocain de 23 ans marquait avec son nouveau club. Celui qui évoluait au club de Lille avant de rejoindre l'Angleterre a marqué à la 66e minute, en huitième de finale pour la League Cup.

"Le chef d'oeuvre de Boufal", "Le bijou de Sofiane Boufal", "Sofiane Boufal enfile déjà son costume de héros", "Un but de classe mondiale", "Sofiane Boufal a fait très fort"... Les titres de la presse spécialisée sont dithyrambiques. Sur les réseaux sociaux, les Twittos ont également salué la force de frappe du jeune joueur:










"Pour moi, ce n'est pas une surprise de le voir marquer un tel but parce que je connais Sofiane", a indiqué son entraîneur Claude Puel à la fin du match. "Son but est fantastique, bien sûr, et il était très important pour l'équipe parce que si on devait encore jouer les prolongations, cela aurait été très difficile pour nous".

LIRE AUSSI:




Tunisie: Cartes de fidélité, puce téléphonique.. Ces situations où on vous a fliqués sans que vous le sachiez!

$
0
0
SÉCURITÉ- Vous raffolez des cartes de fidélité des grandes surfaces et autres enseignes? Vous donnez volontiers une copie de votre carte d'identité à tous ceux que vous la demandent? Vous êtes l'un de ceux qui signalent sur les réseaux sociaux que vous êtes dans tel restaurant ou telle ville?...Sachez que vous mettez constamment votre vie privée en péril en exposant à tort et à travers vos données personnelles sans savoir quelle utilisation on en fait après, met en garde Chawki Gaddess, président de l'Instance nationale de protection des données personnelles (INPDP), contacté par le HuffPost Tunisie.

"Toutes ces situations où vous cédez vos données personnelles paraissent anecdotiques, anodines alors que ce n'est pas le cas, saviez-vous que ces données peuvent être vendues à de multiples organismes. Ces derniers n'ont plus besoin ainsi de faire des études qui leur coûtent des fortunes pour étudier le profil et le comportement du consommateur tunisien. Ils ont toutes ces informations gratuitement à votre insu", explique le président de l'INPDP.

Chawki Gaddes donne une liste non exhaustive des situations où vos données se baladent ainsi dans la nature en toute illégalité. Il invite les citoyens à les signaler auprès de l'instance. "On a reçu énormément de dossiers dans ce sens. Nous espérons que, de plus en plus, la culture de la protection des données émerge chez les citoyens car actuellement elle est inexistante".




Carte d'identité électronique dans la ligne de mire de l'INPDP


le Parti Pirate tunisien a mis en garde jeudi, le 20 octobre, contre le projet de la carte d’identité électronique, soumis récemment par le gouvernement au parlement pour adoption. Il dénonce une violation de la Constitution dans la mesure où la carte contiendra des informations relatives à l’état de santé des citoyens, leurs comptes financiers et leur relation avec l’administration. Le président de l'INPDP mène une critique acerbe, lui aussi, contre ce projet de loi.

"À l'échelle internationale, la carte électronique est de mise et la Tunisie suit le mouvement mais il faut des garanties au niveau de la protection des données personnelles. Le projet de loi prévoit une carte électronique qui contiendra des informations confidentielles avec un identifiant unique ( inexistant en Tunisie) et elle sera multi-services mais seul le ministère de l'Intérieur peut la crypter. Ainsi vous ne saurez pas quelles sont les données sur vous dedans", a-t-il fustigé.

LIRE AUSSI: Tunisie-La carte d'identité électronique est-elle un outil de "flicage"?


Chawki Gaddes déplore un état d'esprit dominant au ministère de l'Intérieur qui considère la carte d'identité, non comme un papier prouvant l'identité mais comme un document de sécurité.


LIRE AUSSI:
Chawki Gaddes: "En Tunisie, on n'a pas la culture de la protection des données personnelles" (INTERVIEW)

Sahloul: Ses fractures se sont infectées, il attendrait depuis deux semaines pour se faire opérer

$
0
0
Les photos des jambes infectées d'un patient à l'hôpital de Sahloul font le tour du web depuis quelques jours.
En effet, ayant subi des fractures, Yassine Dhehidi est allé à l'hôpital, dimanche 16 octobre.
D'après sa soeur, Houda Knani, il y est resté jusqu'à mercredi sans recevoir de traitement, ce qui a engendré une infection.
Aujourd'hui, il est toujours hospitalisé, et l'opération chirurgicale n'a pas encore eu lieu.

En effet, toujours selon Houda, il n'y avait que des infirmières, le médecin ne s'est présenté que mercredi. Et comme la jambe de son frère était infectée, il ne pouvait pas procéder à une opération, car cela aggraverait le cas et pourrait mener à l'amputation.

Deux semaines après, Yassine se trouve encore à l'hôpital, il n'arrive plus à bouger ses jambes, ni son bassin, attendant qu'on l'emmène au bloc.

Le HuffPost Tunisie a contacté le service d'orthopédie de l'hôpital en question. Interrogée sur l'état de Yassine, un membre du personnel a préféré parler de l'état de l'hôpital: "Nous sommes financés par le ministère de la Santé pour recevoir 30 hommes et 30 femmes, nous avons 120 patients." expose-t-elle.

Plus que la capacité de l'hôpital et du financement ne le permet: l'hôpital Sahloul accueille des patients qui arrivent aussi des villes voisines comme Sidi Bouzid et Gafsa. Elle enchaîne: "Nous manquons de moyens et de matériels, le bloc opératoire est toujours plein."

Pour revenir au cas de Yassine Dhehidi, elle dément les propos de ses proches, assurant qu'il n'est pas possible qu'on ne lui ait pas administré des médicaments et que les médecins et les infirmiers sont toujours présents.

Sur sa page Facebook, la soeur du patient a partagé les photos des jambes infectées de son frère, appelant les responsables à effectuer un contrôle sur cet hôpital public qui négligerait la santé de ses patients.

Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.

Ces personnalités arabes qui ont remporté le prix Nobel (PHOTOS ET VIDÉOS)

$
0
0
NOBEL - Comme chaque année depuis 1901, les membres du comité du prix Nobel ont rendu leur verdict, avec son lot de surprises dont la plus spectaculaire aura été l'attribution du Nobel de la littérature à Bob Dylan. Mais cette année encore, une constante du Nobel s'est confirmée: aucun vainqueur d’origine arabe.

Depuis la création du prestigieux prix, seules neuf personnalités arabes ou d'origine arabe ont remporté la précieux sésame. Parmi eux, cinq ont reçu le prix Nobel de la paix, deux se sont illustrés en chimie, un en médecine et un en littérature. Passage en revue de ces chercheurs, écrivains et hommes politiques arabes ou aux origines arabes qui ont remporté Nobel.



LIRE AUSSI:



Le témoignage poignant de Nadia Murad, femme yézidie et co-lauréate du prix Sakharov 2016

$
0
0
INTERNATIONAL - C'est un témoignage que beaucoup ont voulu entendre malgré la violence qu'il expose. Nadia Murad et Lamiya Aji Bachar ont été enlevées par Daech et mise en esclavage. Après avoir fui l'état islamique, elles ont raconté leur histoire pour dénoncer ce que subissent les Yézidis.

Dans l'hémicycle de l'ONU, sur des plateaux de télévision et dans les journaux, Nadia Murad a raconté ce qu'elle a vu et vécu alors qu'elle était captive et réduite à l'état d'esclave sexuelle par le groupe terroriste. Elle se sert désormais de son histoire pour que la communauté Yézidie ne soit pas oubliée. La force de son témoignage a permis de lever le voile sur la terreur que fait régner Daech en Irak, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d'article.

Les Yézidis, une minorité kurdophone adepte d'une religion pré-islamique en partie issue du zoroastrisme, ne sont ni arabes ni musulmans, et l'EI (État islamique) les considère comme des hérétiques polythéistes. Cette minorité a été particulièrement visée par les exactions de l'EI, notamment en août 2014 aux alentours du mont Sinjar, fief des Yézidis.

Devant l'avancée de l'EI, des dizaines de milliers de Yézidis s'étaient réfugiés au sommet du Mont Sinjar, y restant pendant longtemps sans eau, ni nourriture. Des milliers d'hommes furent massacrés, les femmes enlevées, certaines réduites en esclavage par les jihadistes. L'assaut fut décrit par l'ONU comme "une tentative de génocide".

Selon des experts de l'ONU, environ 3200 Yézidis sont actuellement entre les mains de l'EI, la majorité en Syrie. Les filles deviennent des esclaves sexuelles, les garçons sont endoctrinés et envoyés au combat.

LIRE AUSSI:: En Syrie, les affrontements reprennent à Alep après une trêve "humanitaire" infructueuse



Le Mirror confond le poncho Adidas de Janet Jackson avec une robe islamique

$
0
0
Un tweet est devenu super viral dans les dernières heures après qu’un homme ait pointé une erreur dans l’analyse du look de Janet Jackson du journal britannique The Daily Mirror.

L’étudiant Michael Taylor a prouvé à la publication que Janet Jackson ne portait pas « un voile islamiste intégral » comme supposé, mais bien un article de la nouvelle collection sportive de Adidas en collaboration avec le designer Yōji Yamamoto.

« Quelqu’un a besoin de dire au Daily Mirror que la « tenue vestimentaire islamique » de Janet Jackson n’est en fait qu’un poncho Adidas pour hommes, a-t-il écrit accompagné d’emojis aux yeux roulants.




Le Mirror avait rapporté que la chanteuse était « en train de devenir musulmane » après s’être marié avec son époux qatari, Wissam Al Manna, en 2012.

Un article du National Enquirer titré « La vie musulmane secrète de Janet Jackson » stipulait que les fans de la vedette pop étaient « choqués de la voir dans la robe sportive islamique traditionnelle ».



Il faut avouer que le poncho-pull de Janet Jackson tiré de la collection Y-3 créée par Adidas et Yōji Yamamoto ressemble beaucoup à un al-amira, un voile deux pièces moulant la tête et en forme de tube, mais pour l'instant la star qui a récemment annoncé être enceinte n'a jamais fait part de ses intentions de se convertir à l'islam.

Avec Rosy Cherrington du Huffinton Post UK

Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.

Environ 96.100 nouveaux titres de séjour délivrés à des Marocains dans l'UE en 2015

$
0
0
IMMIGRATION - L'Union européenne (UE) a délivré un nombre record de titres de séjour en 2015. Environ 2,6 millions de personnes en ont bénéficié, et les Marocains font partie du "top 10" des étrangers qui en ont le plus reçus.

96.099 titres de séjours ont en effet été accordés à des Marocains, soit 3,7% du total des permis de résidence délivrés, selon un rapport publié jeudi 27 octobre par Eurostat, l'office statistique de l'UE.

Alors que le nombre total de titres de séjour délivrés à des ressortissants étrangers a connu une hausse de 12,1% entre 2014 et 2015, les Marocains arrivaient en sixième position des principales nationalités bénéficiaires.

Les citoyens d’Ukraine (500.000 bénéficiaires, soit 19,2% du nombre total de nouveaux titres de séjour délivrés dans l’UE) sont ceux qui ont reçu le plus grand nombre de permis, devant les citoyens des États-Unis (261.800, soit 10%), de Chine (167.100, soit 6,4%), d’Inde (135.500, soit 5,2%) et de Syrie (104.100, soit 4%).

Environ la moitié de tous les nouveaux titres de séjour délivrés en 2015 dans l’UE ont été accordés aux ressortissants de ces six pays.

Raisons familiales

Concernant les raisons de délivrance de permis de séjour, elles diffèrent d'une nationalité à l'autre, note Eurostat. En 2015, les Marocains ont bénéficié de titres de séjour principalement pour des raisons familiales (70,5% des nouveaux permis de résidence délivrés en 2015 à des Marocains, soit 67.739 permis). Suivent des raisons liées à l’éducation (1.072 permis, soit 11%) et à l’emploi (10.929 permis, soit 11,4%).

Pour expliquer l’augmentation globale du nombre de titres de résidence en 2015, Eurostat avance la progression du nombre de nouveaux permis octroyés pour des raisons liées à l’emploi (+23,5%, passant d'un peu moins de 0,6 million en 2014 à plus de 0,7 million l’année dernière).

Les motifs familiaux demeurent néanmoins toujours la principale raison de délivrance des permis (28,9%), suivis de l'emploi (27,2%), d’autres raisons (23,8%) et de l'éducation (20,2%).

633.000 permis délivrés au Royaume-Uni

En 2015, un nouveau titre de séjour sur quatre a été délivré au Royaume-Uni (633.000 permis de résidence délivrés, soit 24,3% du nombre total de permis délivrés dans l’UE) et un sur cinq en Pologne (541.600, soit 20,8%).

Ces pays étaient suivis par la France (226.600, soit 8,7%), l'Allemagne (194.800, soit 7,5%), l'Espagne (192.900, soit 7,4%) et l'Italie (178.900, soit 6,9%).

LIRE AUSSI: Environ 92.700 Marocains ont acquis la nationalité d'un État membre de l'UE en 2014



Comment le Maroc veut récupérer les archives coloniales

$
0
0
HISTOIRE - Depuis son lancement en 2008, le programme de rapatriement des archives coloniales a permis la récupération de 2.676.000 documents sur un total de 20 millions. Ce qui ressort de la note de présentation du projet de loi de finances 2017, dans laquelle il est mentionné que les Archives du Maroc comptent poursuivre les efforts visant à rapatrier la totalité des archives coloniales,

Si les archives de la période coloniale (1912-1956) sont bien étoffées, celles datant de la période antérieure au Protectorat restent, en revanche, difficilement accessibles. Ceci, malgré le fait que le fonds "antérieur à 1912 et à la colonisation et, quoique de quantité réduite, est très appréciable qualitativement", écrivait le journaliste Mohamed Jibril dans un article consacré au sujet.

La situation n'est pas sans poser des problèmes aux chercheurs marocains souhaitant y avoir accès, qui doivent généralement se déplacer à l'étranger pour les consulter.

Une omission "irrationnelle"

"Le Maroc, qui a recouvré son indépendance en mars 1956, a omis d’une façon irrationnelle l’organisation des archives qui constitue pourtant, incontestablement, un pilier essentiel d’un Etat moderne et indépendant. Les gouvernements successifs se sont contentés de se référer pendant plusieurs décennies à une loi obsolète de 1926, promulguée sous le régime colonial français", écrit le directeur des Archives du Maroc Jamaâ Baida.

"Un nombre considérable de documents dits de souveraineté ont été emportés en France au moment de la proclamation de l'indépendance. Ils concernent plus particulièrement les aspects politiques et militaires de la colonisation. Archives du Maroc se propose d'oeuvrer pour que des accords puissent être passés en vue de rapatrier tout au moins des copies de ces documents. Etant entendu que, pour l'ancienne puissance colonisatrice, ces documents relevaient de sa souveraineté et n'appartenaient pas au patrimoine marocain d'avant la colonisation. Cependant, comment pourrait-on nier qu'ils concernent directement 44 années d'histoire du pays colonisé?", poursuit le journaliste Mohamed Jibril.

LIRE AUSSI:



"Rendez-vous", la nouvelle chanson de Daoudia avec DJ Van (VIDÉO)

$
0
0
POP - N'en déplaise à ceux que "3tini Saki" a offusqués par ses paroles, son interprète, Zina Daoudia, vient de publier un nouveau single en collaboration avec DJ Van.

Celle qui a troqué le raï contre le chaâbi veut désormais être reconnue comme une icône de l’électro marocaine. Dans "Rendez-Vous", son nouveau titre mis en ligne ce 27 octobre, elle nous raconte ses préparatifs pour un rendez-vous amoureux, entre le choix de sa tenue, le lieu de rencontre et ses envies de romantisme.

Le DJ et producteur marocain avait annoncé en février cette nouvelle collaboration. Sur Médi1 TV, il avait déclaré qu’il travaillait sur le prochain single de Daoudia qui sortirait sous peu. Et si le projet a finalement a été retardé, la diva du chaâbi n’a pas chômé.

Entre-temps, elle a publié en mars "100TIHA", un clip décalé et qui tacle ouvertement la ministre Charafat Afilal, en pleine polémique #JoujFrank.

La chanteuse de plus en plus populaire au Maroc et au Moyen-Orient a également sorti un EP composé de sept titres pendant l’été. Le succès a été au rendez-vous puisque les vidéos ont été visionnées entre 300.000 et un million de fois sur Youtube.

LIRE AUSSI: Zina Daoudia, Hatim Ammor, Rachid Allali... Des artistes marocains font le show à Bruxelles (VIDÉO)





Saad Lamjarred risque jusqu'à dix ans de prison si l'agression sexuelle est avérée

$
0
0
JUSTICE - Saad Lamjarred est décidément dans la tourmente. Le chanteur marocain a été arrêté et placé en garde à vue le mercredi 26 octobre dans un commissariat parisien du 17e arrondissement, à la suite d’une plainte pour "agression sexuelle avec violence".

Selon Le Monde, qui cite une source judiciaire, "une plainte a été déposée par une jeune fille âgée de 20 ans de nationalité française qui s’est dite victime d’une violente agression à caractère sexuel".

La présumée victime aurait réussi à prendre la fuite de la chambre de Saad Lamjarred pour se réfugier à la réception de l’hôtel Marriott des Champs-Elysées où il résidait. Selon Le Parisien, Saad Lamjarred était ivre au moment de son interpellation.

Contacté par le HuffPost Maroc, la préfecture de police du 17e arrondissement nous informe que "personne n'est en garde à vue dans leurs locaux en ce moment, et qu'il est possible qu'il ait été déplacé vers un autre commissariat". Le Parisien indique, lui, que l'enquête a été confiée au 1er district de police judiciaire.

Mais que risque le chanteur, si les chefs d'accusations sont avérés?

Selon les articles 222-27 à 222-30 du code pénal français, une agression sexuelle est définie comme "un acte à caractère sexuel sans pénétration commis sur la personne d’autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise".

Est également considéré comme une agression sexuelle "le fait de contraindre une personne par la violence, la menace ou la surprise à se livrer à des activités sexuelles avec un tiers".

La peine encourue est de cinq ans de prison, assortie d'une amende de 75.000 euros (environ 800.000 dirhams). Cette peine peut être augmentée jusqu'à dix ans si l'agression est commise avec une ou plusieurs circonstances aggravantes (par exemple si l’acte a été commis sous l’emprise de l’alcool ou de produits stupéfiants).

C'est l'avocat Brahim Rachidi qui, avec deux confrères parisiens, a pris en charge l'affaire. Selon lui, celle-ci a été "gonflée par certains médias", indique-t-il au micro du pure playerLe 360, rappelant le principe de présomption d'innocence, et se disant convaincu de son innocence.

Ce n’est pas la première fois que le chanteur fait l’objet de tels chefs d’accusation. En 2010, il a été accusé par une Américaine de l’avoir agressé physiquement et sexuellement. La plaignante l’accusait également d’avoir fui les Etats-Unis vers le Maroc afin d’échapper à la justice.

L’affaire a ressurgi en mai 2016, lorsque la victime a découvert son présumé agresseur sur Youtube, dans sa vidéo “Lm3llem”. A l’époque des faits, le chanteur de 31 ans était encore un inconnu du grand public et sillonnait les petits bars de Brooklyn dans le but de se faire connaître.

La superstar marocaine devait se produire au Palais des congrès de Paris samedi 29 octobre. Mais au lendemain de l'arrestation de Saad Lamjarred, le mystère reste entier sur l'annulation ou non de son concert. Contacté par le HuffPost Maroc, la billetterie du Palais des congrès nous informe que le concert est pour le moment maintenu "vu que le palais n'a toujours pas été contacté par la production du concert". Le service précise également avoir découvert l'arrestation du chanteur "par la presse", et qu'il faut s'attendre à ce que le concert soit en effet annulé.


LIRE AUSSI:



Momo se solidarise avec Saad Lamjarred (VIDÉO)

$
0
0
CULTURE - Depuis l'arrestation de Saad Lamjarred à Paris pour "agression sexuelle avec violence", nombreuses sont les personnalités publiques marocaines à avoir exprimé leur soutien à la superstar aux millions de fans, et ce, alors même que la justice n'a pas encore dit son mot.

Dernier en date: l'animateur et humoriste Mohamed Bousfiha, dit Momo, connu pour son amitié avec Saad Lamjarred.

Dans une vidéo diffusée ce jeudi par le site Febrayer, Momo revient longuement sur cette affaire et n'hésite pas à exprimer tout son soutien au chanteur de Lam3allem, quitte à innocenter Saad Lamjarred, dont l'innocence ou la culpabilité reste à prouver.

"J'étais en train de manger quand j'ai appris la nouvelle. J'ai perdu l'appétit, et je n'ai pas réussi à dormir la nuit. Saad ne mérite pas ce qui lui arrive. Je sais que la situation va vite s'arranger et qu'il donnera son concert en France (le 29 octobre au Palais des congrès à Paris, ndlr)", déclare Momo.

"Ne nous précipitons pas car rien n'est officiel. Saad ne s'est pas exprimé sur cette affaire, ni son entourage. J'espère que tout ira bien pour lui. Un ami doit être là durant les périodes difficiles. Les fans aussi", ajoute-t-il.

Le chanteur marocain a été arrêté et placé en garde à vue le mercredi 26 octobre dans un commissariat parisien, à la suite d’une plainte pour "agression sexuelle avec violence" déposée par une jeune femme de nationalité française, âgée de 20 ans.

Étant donné que sa garde à vue a été prolongée, le mystère reste entier sur le maintien ou l'annulation de son concert. Saad Lamjarred risque jusqu'à dix ans de prison si l'agression sexuelle est avérée.

LIRE AUSSI:



WeCasablanca: Casa Events tente d'éteindre la polémique

$
0
0
POLÉMIQUE - Au centre d'une polémique sur le web depuis quelques jours, Casa Events, la société de développement local chargée de l’animation culturelle et sportive de la ville de Casablanca, a organisé jeudi soir une rencontre avec quelques journalistes, blogueurs et "influenceurs" du web, pour "échanger autour de la stratégie de la marque territoriale et son déploiement".

Objectif? Tenter d'éteindre la polémique qui a suivi le dévoilement lundi 24 octobre, de la nouvelle marque territoriale de la métropole baptisée "WeCasablanca", qui s'inscrit selon la SDL, dans le cadre d'une stratégie plus large de branding visant à inscrire la ville blanche dans l'ère des villes-marques, à l'instar de New York, Londres ou Madrid.

Mais les internautes n'ont pas entendu cette initiative de la même oreille, le logo de la marque faisant depuis l'objet de critiques sur les réseaux sociaux pour son "incohérence" ou encore sa "banalité", certains fustigeant le fait qu'il ait été réalisé à l'étranger par une agence française.

"Un Marocain a fait le logo"

Selon Mohamed Jouahri, le DG de Casa Events, le logo en question a été réalisé par Redouane Chetuan, un designer marocain indépendant résidant en France, qui a travaillé sur ce projet avec l'agence de communication MMAP, basée à Lyon.

"On a pas choisi délibérément d'aller vers une agence française. On a lancé un appel d'offre international qui était ouvert aux Marocains et aux étrangers. Des agences marocaines ont répondu et je peux vous assurer que c'était nettement plus cher que ce que nous avons aujourd'hui", a fait savoir Jouahri.

"Ce n'est pas parce que l'agence est française que nous l'avons choisie. Et puis on a exigé que la création soit faite par un Marocain. C'était marqué dans le cahier des charges", s'est-t-il justifié.

L'opération de city branding, qui accompagnera le plan de développement de la métropole d'ici 2020 doté d'une enveloppe de 300 millions de dirhams, a couté 3 millions de dirhams. Le logo, lui, aurait couté beaucoup moins, "seulement 15%" du budget réservé à la marque, soit si l'on fait les comptes, près de 450.000 dirhams.

"Fédérer" les Casablancais

La SDL a également insisté sur la volonté de "fédérer les Casablancais" autour de leur ville pour créer un "esprit d'unité". L'objectif était aussi de "traduire le message de Casablanca: la métropole à la rencontre du monde. La piste créative de la marque vient au bout du parcours", a expliqué Jouahri.

"Au delà du graphisme, il s'agit d'améliorer l'attractivité de Casablanca sur le front touristique et de promouvoir la ville dans toutes ses composantes".

A la question de savoir si une mise à jour du logo était envisageable, le responsable a estimé que "c'était encore prématuré pour le faire, la marque ayant été dévoilée il y a quelques jours à peine".

Wecasablanca.com

Outre le logo, la stratégie de city branding comprend également le lancement du site web wecasablanca.com, qui se veut "un point d'entrée unique pour découvrir la ville de Casablanca avec les différentes thématiques possibles et imaginables".

"Le site donne des informations de premier niveau par rapport notamment à l'investissement avec des informations et des éléments clés et réoriente les visiteurs que ce soit vers des restaurants, des établissements privées ou des acteurs institutionnels. Notre but est de pousser l'investisseur qui est de passage à Casablanca d'y rester et de se faire même rejoindre par sa famille", explique-t-on.

En tous cas, la SDL a visiblement réussi à convaincre une partie des invités à cette rencontre. Parmi eux, Marouane Harmach, consultant en stratégie digitale et auteur de plusieurs études au sujet de la communication politique sur les réseaux sociaux, Ismaïl Lahsini ou encore Smael Sebti, tous les deux entrepreneurs très actifs sur les réseaux sociaux.










Les Casablancais réussiront-ils pour autant à faire avec?

LIRE AUSSI:



Avec ce nail art, vous aurez vraiment la main verte

$
0
0
BEAUTÉ - Vous avez dû remarquer que ces derniers temps, les plantes grasses faisaient fureur. Dans des terrariums, des bouquets de mariage ou même des bijoux, ces petites plantes sont partout.

Mais là où ne les attendait pas, c'est sur les ongles. Oui, sur les ongles. Roz Borg, une artiste australien, a pour habitude de créer des terrariums et des bijoux à partir de plantes grasses. Mais récemment, elle a décidé de mettre ses talents au service du "nail art".


Une photo publiée par Arozona (@arozona) le





"Je réalise des bijoux à partir de plantes grasses et je voulais faire la même chose, avec des 'bébés plantes grasses', quelque part où on ne les a jamais vues auparavant", explique Borg à nos confrères du Huffington Post américain. "J'ai fait des recherches sur Google et je n'ai rien trouvé, alors je me suis lancée."

Pour parvenir à ce look, Borg applique les petites plantes grasses sur un faux ongle avec un adhésif fleuri. Une fois que c'est sec, elle utilise de la colle spéciale pour attacher le faux ongle sur le vrai. Au total, il faut compter une heure par main avant le résultat final.


Une photo publiée par Arozona (@arozona) le





"Les gens sont stupéfaits quand ils réalisent que ce sont de vraies plantes et pas des sculptures en 3D", raconte Borg. "Certains sont dégoûtés, mais la plupart adorent!"

En revanche, si vous cherchez une manucure qui dure, oubliez ce nail art. "Ce n'est vraiment pas pratique", accord Borg.

"Quand la colle ne fait plus effet, je peux planter les petites plantes grasses et elles poussent tranquillement", poursuit-elle. "C'est une main verte provisoire."

Une photo publiée par Arozona (@arozona) le




Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.
Viewing all 30776 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>