Ahmed Khaskhoussi a annoncé, jeudi 13 mars, la création d'un nouveau parti, le "Mouvement des Démocrates sociaux" avec pour slogan "Liberté, démocratie et justice sociale".
Le conseil national extraordinaire du Mouvement des démocrates socialistes (MDS), camp Khaskhoussi, réuni dimanche dernier a pris cette décision, en réaction à l'implication de certains membres du MDS dans des affaires de corruption et de malversation.
Khaskhoussi qui s'exprimait lors d'une conférence de presse à Tunis, a cité le rapport de la Commission d'enquête sur les affaires de malversation et de corruption qui avait établi que des membres du camp Mohsni bénéficiaient depuis 1995 des privilèges de l'ancien régime.
Khaskhoussi a accusé l'Exécutif et le Législatif de continuer à consacrer la tutelle sur les partis politiques.
Il a déploré les pressions subies par la députée du MDS, Manel Kadri, de la part du président de l'ANC Mustapha Ben Jaafar, pour rejoindre le camp Mohsni.
Kadri a remplacé Khaskhoussi à l'ANC après la démission de ce dernier en juillet 2013.
Khaskhoussi a regretté également, son exclusion de la rencontre qui a eu lieu récemment entre le Chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomâa et les chefs des partis politiques.
Le mouvement des Démocrates Sociaux oeuvrera en vue d'instaurer un régime démocratique dans le cadre d'un Etat basé sur la souveraineté du peuple, la préservation des droits et libertés et la séparation entre les pouvoirs, selon un document distribué lors de la conférence de presse.
En octobre dernier, la Cour d'appel de Tunis a confirmé le jugement prononcé en première instance et qui affirme la nullité des résultats du congrès extraordinaire du Mouvement des démocrates socialistes (MDS) (camp Khaskhoussi) tenu le 27 février 2011. Ce jugement ne permet plus à Khaskhoussi de s'exprimer au nom du mouvement.
Le conseil national extraordinaire du Mouvement des démocrates socialistes (MDS), camp Khaskhoussi, réuni dimanche dernier a pris cette décision, en réaction à l'implication de certains membres du MDS dans des affaires de corruption et de malversation.
Khaskhoussi qui s'exprimait lors d'une conférence de presse à Tunis, a cité le rapport de la Commission d'enquête sur les affaires de malversation et de corruption qui avait établi que des membres du camp Mohsni bénéficiaient depuis 1995 des privilèges de l'ancien régime.
Khaskhoussi a accusé l'Exécutif et le Législatif de continuer à consacrer la tutelle sur les partis politiques.
Il a déploré les pressions subies par la députée du MDS, Manel Kadri, de la part du président de l'ANC Mustapha Ben Jaafar, pour rejoindre le camp Mohsni.
Kadri a remplacé Khaskhoussi à l'ANC après la démission de ce dernier en juillet 2013.
Khaskhoussi a regretté également, son exclusion de la rencontre qui a eu lieu récemment entre le Chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomâa et les chefs des partis politiques.
Le mouvement des Démocrates Sociaux oeuvrera en vue d'instaurer un régime démocratique dans le cadre d'un Etat basé sur la souveraineté du peuple, la préservation des droits et libertés et la séparation entre les pouvoirs, selon un document distribué lors de la conférence de presse.
En octobre dernier, la Cour d'appel de Tunis a confirmé le jugement prononcé en première instance et qui affirme la nullité des résultats du congrès extraordinaire du Mouvement des démocrates socialistes (MDS) (camp Khaskhoussi) tenu le 27 février 2011. Ce jugement ne permet plus à Khaskhoussi de s'exprimer au nom du mouvement.
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