Après la Tour Paris 13, Mehdi Ben Cheikh s'attaque à ses propres terres.
C'est à Djerba qu'il organise un projet ambitieux, regroupant une centaine d'artistes de trente nationalités différentes avec en toile de fond, les murs du village Erriadh.
Mehdi Ben Cheikh, directeur de la Galerie Itinerrance, était à l'origine de la plus grande exposition collective de street art, à Paris.
Les meilleurs Street artistes du monde entier, dont le tunisien El Seed, avaient ainsi investi une tour dans le 13e arrondissement de Paris, afin d'en faire le temple du Street Art, avant sa démolition.
Un lieu éphémère devenu culte, puisque qu'il avait suscité un grand intérêt auprès du public parisien.
C'est au tour du village d'Erriadh de se transformer en galerie à ciel ouvert. Une vague de liberté flotte désormais sur les bâtisses de l'île, des œuvres anarchiques qui appartiennent à tous.
Contacté par le HuffPost Maghreb, Mehdi Ben Cheikh a expliqué qu'aucun thème n'avait été imposé aux artistes, "nous leur demandons juste de s'adapter à l'environnement et de prendre conscience de l'endroit dans lequel ils interviennent".
Teaser du Projet Djerbahood
"Un village qui touche après touche, jour après jour va se métamorphoser". Une aventure que le public tunisien pourra suivre integralement à partir du 5 septembre sur Arte.
C'est à Djerba qu'il organise un projet ambitieux, regroupant une centaine d'artistes de trente nationalités différentes avec en toile de fond, les murs du village Erriadh.
Mehdi Ben Cheikh, directeur de la Galerie Itinerrance, était à l'origine de la plus grande exposition collective de street art, à Paris.
Les meilleurs Street artistes du monde entier, dont le tunisien El Seed, avaient ainsi investi une tour dans le 13e arrondissement de Paris, afin d'en faire le temple du Street Art, avant sa démolition.
Un lieu éphémère devenu culte, puisque qu'il avait suscité un grand intérêt auprès du public parisien.
C'est au tour du village d'Erriadh de se transformer en galerie à ciel ouvert. Une vague de liberté flotte désormais sur les bâtisses de l'île, des œuvres anarchiques qui appartiennent à tous.
Contacté par le HuffPost Maghreb, Mehdi Ben Cheikh a expliqué qu'aucun thème n'avait été imposé aux artistes, "nous leur demandons juste de s'adapter à l'environnement et de prendre conscience de l'endroit dans lequel ils interviennent".
"Un village qui touche après touche, jour après jour va se métamorphoser". Une aventure que le public tunisien pourra suivre integralement à partir du 5 septembre sur Arte.
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