Le ministre tunisien des Affaires étrangères Mongi Hamdi a été reçu par le Secrétaire d'Etat américain John Kerry ce mardi à Washington, en marge du premier sommet "Afrique" à Washington, auquel participe également le Président tunisien Moncef Marzouki.
Lors de leur rencontre, les deux hommes ont évoqué les problèmes sécuritaires auxquels la Tunisie est confrontée. Mongi Hamdi a particulièrement fait part de ses préoccupations concernant la situation en Libye, la menace terroriste et les défis que cela représente en termes de sécurité aux frontières.
"La Tunisie reste réellement une lueur d'espoir, et nous sommes très reconnaissants envers la Tunisie, en particulier ces derniers jours où nous avons décidé, pour des raisons de sécurité, de déplacer temporairement le personnel de (...) Libye vers la Tunisie. Le Gouvernement tunisien a été d'une grande aide et nous en sommes très reconnaissants", a-t-il assuré.
Le secrétaire d'Etat américain a évoqué la menace liée au retour de combattants de Syrie pouvant "créer des problèmes à l'intérieur du pays". Il a affirmé que les Etats-Unis étaient engagés dans leur soutien à une Tunisie "qui travaille à la construction de [ses] propres fondations pour un succès futur". "Et nous avons l'intention de travailler avec eux", a-t-il conclu.
De son côté, Mongi Hamdi a également exprimé sa "reconnaissance" envers les Etats-Unis, avec qui la Tunisie a toujours entretenu de "très bonnes relations" amenées, selon le souhait du ministre, à devenir "stratégiques".
"Nous croyons tous en la paix. (...) L'extrémisme et le terrorisme n'ont pas leur place en Tunisie et nous sommes déterminés à les combattre", a affirmé Hamdi, appelant les "amis" et "partenaires" de la Tunisie à l'aider "en cas de besoin". 'Et la Tunisie en a actuellement besoin - pour nous aider à sécuriser nos frontières contre ceux qui ne souhaitent pas la stabilité" du pays, a-t-il ajouté.
Le ministre des Affaires étrangères a rejoint les déclarations de John Kerry, assurant que la réussite de la transition en Tunisie était "dans l'intérêt de tous". "Si la Tunisie échoue, les aspirations de centaines de millions de personnes à la démocratie et à la liberté vont tomber à l'eau", a-t-il conclu.
Lors de leur rencontre, les deux hommes ont évoqué les problèmes sécuritaires auxquels la Tunisie est confrontée. Mongi Hamdi a particulièrement fait part de ses préoccupations concernant la situation en Libye, la menace terroriste et les défis que cela représente en termes de sécurité aux frontières.
"Le plus important à long terme est que la Tunisie est la lueur d'espoir car elle passe par une transition démocratique et maintient le cap. Elle a réussi a relever des défis difficile, mais elle a besoin d'aide", a déclaré John Kerry.
"La Tunisie reste réellement une lueur d'espoir, et nous sommes très reconnaissants envers la Tunisie, en particulier ces derniers jours où nous avons décidé, pour des raisons de sécurité, de déplacer temporairement le personnel de (...) Libye vers la Tunisie. Le Gouvernement tunisien a été d'une grande aide et nous en sommes très reconnaissants", a-t-il assuré.
Le secrétaire d'Etat américain a évoqué la menace liée au retour de combattants de Syrie pouvant "créer des problèmes à l'intérieur du pays". Il a affirmé que les Etats-Unis étaient engagés dans leur soutien à une Tunisie "qui travaille à la construction de [ses] propres fondations pour un succès futur". "Et nous avons l'intention de travailler avec eux", a-t-il conclu.
De son côté, Mongi Hamdi a également exprimé sa "reconnaissance" envers les Etats-Unis, avec qui la Tunisie a toujours entretenu de "très bonnes relations" amenées, selon le souhait du ministre, à devenir "stratégiques".
"Nous croyons tous en la paix. (...) L'extrémisme et le terrorisme n'ont pas leur place en Tunisie et nous sommes déterminés à les combattre", a affirmé Hamdi, appelant les "amis" et "partenaires" de la Tunisie à l'aider "en cas de besoin". 'Et la Tunisie en a actuellement besoin - pour nous aider à sécuriser nos frontières contre ceux qui ne souhaitent pas la stabilité" du pays, a-t-il ajouté.
Le ministre des Affaires étrangères a rejoint les déclarations de John Kerry, assurant que la réussite de la transition en Tunisie était "dans l'intérêt de tous". "Si la Tunisie échoue, les aspirations de centaines de millions de personnes à la démocratie et à la liberté vont tomber à l'eau", a-t-il conclu.
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