Différentes unités des forces sécuritaires à Médenine ont observé vendredi un sit-in devant le siège du district de la garde nationale de la région.
Les sit-inneurs ont scandé des slogans dénonçant le terrorisme.
"Les unités des forces sécuritaires ne disposent que de leur bravoure et dévouement pour préserver la patrie contre le danger du terrorisme, en l'absence des moyens nécessaires pour éradiquer ce fléau", a-t-il regretté.
A Jendouba, même discours
Les membres des syndicats de base affiliés au syndicat régional des forces de sécurité intérieure de Jendouba ont également observé un sit-in vendredi, au cours duquel ils ont demandé plus d'équipements - armes, gilets.
D'autre part, ils ont revendiqué la création d'un comité de crise commun entre les forces de sécurité, de la garde et de l'armée nationales, estimant qu'il "n'existe pas de communication efficace entre eux".
Rassemblés devant les locaux du district de la sécurité nationale de Jendouba, les manifestants ont par ailleurs souligné la nécessité d'accélérer l'application de la loi anti-terroriste afin de garantir plus d'efficacité à l'éradication de ce phénomène.
Plusieurs puissances étrangères se sont récemment mobilisées pour apporter un soutien logistique et matériel au dispositif sécuritaire tunisien.
Lors de son passage à Tunis mercredi 19 février, le secrétaire d'Etat américain John Kerry annonçait une aide sous forme d'équipements militaires, à la demande express du Premier ministre Mehdi Jomâa.
Par ailleurs, L'Union européenne a réitéré ce matin son engagement à soutenir la Tunisie dans sa lutte contre le terrorisme.
Omniprésence du discours anti-terroriste
Le porte-parole officiel du syndicat des forces de la sécurité intérieures Mongi Khraz a appelé la société civile à se ranger du côtés des forces sécuritaires pour lutter contre le terrorisme, considérant, "chaque citoyen un gardien de sa patrie capable de la protéger contre tout acte terroriste".
Depuis les opérations "anti-terroristes" à Raoued et à Bork Louzir et l'embuscade de Jendouba, le "terrorisme" monopolise les fils d'actualité, jusqu'à provoquer un débat sur le traitement du sujet par les médias.
Vendredi 21 février au matin, une voiture garée devant le siège de Tunisiana, aux Berges du Lac de Tunis, a fait l'objet d'une fausse alerte à la bombe.
Le ministère de l'Intérieur a rapidement démenti l'information, relayée par certains sites électroniques, faisant état de la découverte de la voiture piégée.
"Cette information est dépourvue de tout fondement", affirme le département dans un communiqué, soulignant que la voiture suspecte a été fouillée sans que rien de significatif n'y soit découvert.
Le ministère de l'Intérieur a appelé toutes les parties à faire preuve de responsabilité avant la publication de pareilles informations, soulignant la nécessité de vérifier l'information auprès de sources officielles.
Les sit-inneurs ont scandé des slogans dénonçant le terrorisme.
"Ce sit-in intervient pour condamner l'acte terroriste perpétré récemment à Jendouba, appeler l'autorité de tutelle à réactiver la loi antiterroriste et favoriser les moyens nécessaires pour lutter contre ce danger imminent", a souligné le secrétaire général adjoint des syndicats des forces de la sécurité intérieure à Médenine, Mahmoud Laabidi.
"Les unités des forces sécuritaires ne disposent que de leur bravoure et dévouement pour préserver la patrie contre le danger du terrorisme, en l'absence des moyens nécessaires pour éradiquer ce fléau", a-t-il regretté.
A Jendouba, même discours
Les membres des syndicats de base affiliés au syndicat régional des forces de sécurité intérieure de Jendouba ont également observé un sit-in vendredi, au cours duquel ils ont demandé plus d'équipements - armes, gilets.
D'autre part, ils ont revendiqué la création d'un comité de crise commun entre les forces de sécurité, de la garde et de l'armée nationales, estimant qu'il "n'existe pas de communication efficace entre eux".
Rassemblés devant les locaux du district de la sécurité nationale de Jendouba, les manifestants ont par ailleurs souligné la nécessité d'accélérer l'application de la loi anti-terroriste afin de garantir plus d'efficacité à l'éradication de ce phénomène.
Plusieurs puissances étrangères se sont récemment mobilisées pour apporter un soutien logistique et matériel au dispositif sécuritaire tunisien.
Lors de son passage à Tunis mercredi 19 février, le secrétaire d'Etat américain John Kerry annonçait une aide sous forme d'équipements militaires, à la demande express du Premier ministre Mehdi Jomâa.
Par ailleurs, L'Union européenne a réitéré ce matin son engagement à soutenir la Tunisie dans sa lutte contre le terrorisme.
Omniprésence du discours anti-terroriste
Le porte-parole officiel du syndicat des forces de la sécurité intérieures Mongi Khraz a appelé la société civile à se ranger du côtés des forces sécuritaires pour lutter contre le terrorisme, considérant, "chaque citoyen un gardien de sa patrie capable de la protéger contre tout acte terroriste".
Depuis les opérations "anti-terroristes" à Raoued et à Bork Louzir et l'embuscade de Jendouba, le "terrorisme" monopolise les fils d'actualité, jusqu'à provoquer un débat sur le traitement du sujet par les médias.
Vendredi 21 février au matin, une voiture garée devant le siège de Tunisiana, aux Berges du Lac de Tunis, a fait l'objet d'une fausse alerte à la bombe.
Une voiture apparemment piégée est en train d'être fouillée devant le siège de Tunisiana et de la bourse
— Marwen Ben Messaoud (@Marwen) February 21, 2014
Le ministère de l'Intérieur a rapidement démenti l'information, relayée par certains sites électroniques, faisant état de la découverte de la voiture piégée.
“@Harhour_L: Update apparemment c'était une fausse alerte il n'y a rien, ouf #OnVaPasTousMourir pic.twitter.com/ssy6T3b73c”
— Marwen Ben Messaoud (@Marwen) February 21, 2014
"Cette information est dépourvue de tout fondement", affirme le département dans un communiqué, soulignant que la voiture suspecte a été fouillée sans que rien de significatif n'y soit découvert.
Le ministère de l'Intérieur a appelé toutes les parties à faire preuve de responsabilité avant la publication de pareilles informations, soulignant la nécessité de vérifier l'information auprès de sources officielles.
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