Le bilan de l'épidémie Ebola s'est de nouveau alourdi dans les trois pays d'Afrique les plus touchés par la maladie, en franchissant la barre des 9 000 morts, selon les chiffres publiés vendredi à Genève par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
En Guinée, au Liberia et en Sierra Leone, 9 004 personnes sont mortes des suites de la maladie, selon le dernier décompte du 3 février.
L'épidémie a causé la mort de 10 nouvelles personnes en Guinée, portant le bilan national à 1 957 morts. En Sierra Leone, 15 nouveaux décès ont été enregistrés, portant le nombre de morts à 3 301.
Au Liberia, la maladie avait fait 3 746 morts au 1er février mais aucun nouveau bilan n'a été communiqué depuis.
Alors que la communauté internationale s'est mobilisée pour lutter contre l'épidémie, la baisse du nombre de nouveaux cas ces dernières semaines avait fait naître un certain optimisme.
Les efforts ont notamment porté sur l'instauration de procédures plus sûres pour les obsèques et l'inhumation des corps de malades décédés, cause d'une bonne partie des contaminations.
Mais les nouveaux chiffres montrent que ces consignes peinent à être appliquées, avec des conséquences dramatiques en Guinée, par exemple, où l'inhumation d'un malade mort du virus avait entraîné à elle seule la contamination de 11 personnes, dans une région proche de la Côte d'Ivoire.
En Guinée, au Liberia et en Sierra Leone, 9 004 personnes sont mortes des suites de la maladie, selon le dernier décompte du 3 février.
L'épidémie a causé la mort de 10 nouvelles personnes en Guinée, portant le bilan national à 1 957 morts. En Sierra Leone, 15 nouveaux décès ont été enregistrés, portant le nombre de morts à 3 301.
Au Liberia, la maladie avait fait 3 746 morts au 1er février mais aucun nouveau bilan n'a été communiqué depuis.
Alors que la communauté internationale s'est mobilisée pour lutter contre l'épidémie, la baisse du nombre de nouveaux cas ces dernières semaines avait fait naître un certain optimisme.
Les efforts ont notamment porté sur l'instauration de procédures plus sûres pour les obsèques et l'inhumation des corps de malades décédés, cause d'une bonne partie des contaminations.
Mais les nouveaux chiffres montrent que ces consignes peinent à être appliquées, avec des conséquences dramatiques en Guinée, par exemple, où l'inhumation d'un malade mort du virus avait entraîné à elle seule la contamination de 11 personnes, dans une région proche de la Côte d'Ivoire.
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