TERRORISME – Publiée au lendemain du terrible attentat commis par les frères Kouafi dans les locaux de Charlie Hebdo, l'image a déjà été partagée par plus de 1500 personnes sur Twitter.
Comme des millions d'autres sur les réseaux sociaux, une jeune femme a partagé sa douleur et son indignation. "Nous avons beaucoup de terroristes aussi. Et nous sommes tués par notre liberté", écrit la jeune femme, qui brandit une pancarte avec le slogan "Je suis Charlie". Particularité de ce tweet: il a été publié depuis... la Syrie. Plus précisément à Alep, ville divisée depuis juillet 2012 entre secteurs loyalistes à Bachar al-Assad dans l'ouest et rebelles dans l'est.
"Je sais ce que c'est que d'avoir peur et d'être tué injustement par des terroristes criminels. Je partage votre peine. Je suis Syrienne. Je suis Charlie", avait tweeté la jeune femme le jour de l'attaque.
Quotidiennement, l'armée de l'air du président syrien largue quotidiennement des barils d'explosifs sur les secteurs rebelles, faisant des milliers de morts. De leur côté, les rebelles lancent des obus et des roquettes artisanales, faisant des centaines de morts.
Courageux et symbolique, le message est celui de la syrienne Zaina Erhaim, 29 ans, journaliste. Hormis son compte Twitter, la jeune femme est également présente sur Instagram, où elle partage des photos de sa ville détruite.
"Zaina Erhaim est un ovni. Journaliste diplômée avant la révolution, elle a choisi de retourner vivre en Syrie quand tous cherchent à fuir. Une anomalie. Depuis huit mois, elle s'est installée définitivement à Alep, la grande ville du nord de la Syrie, après avoir sillonné le pays le plus dangereux au monde pour sa profession", écrivait en décembre dernier FTVI dans un portrait consacré à la jeune femme.
Comme des millions d'autres sur les réseaux sociaux, une jeune femme a partagé sa douleur et son indignation. "Nous avons beaucoup de terroristes aussi. Et nous sommes tués par notre liberté", écrit la jeune femme, qui brandit une pancarte avec le slogan "Je suis Charlie". Particularité de ce tweet: il a été publié depuis... la Syrie. Plus précisément à Alep, ville divisée depuis juillet 2012 entre secteurs loyalistes à Bachar al-Assad dans l'ouest et rebelles dans l'est.
We have lots of terrorists too. And we r killed 4 our freedom. #JeSuisCharlie #IamCharlie from #aleppo #syria #syrie pic.twitter.com/1EkiQD1r4t
— Zaina Erhaim (@ZainSyr) 8 Janvier 2015
"Je sais ce que c'est que d'avoir peur et d'être tué injustement par des terroristes criminels. Je partage votre peine. Je suis Syrienne. Je suis Charlie", avait tweeté la jeune femme le jour de l'attaque.
I know what it means 2 b scared & unfairly killed by criminal terrorists. I am #Syrian I do feel ur pain.
Je suis #Syrien . #JeSuisCharlie
— Zaina Erhaim (@ZainSyr) 7 Janvier 2015
Quotidiennement, l'armée de l'air du président syrien largue quotidiennement des barils d'explosifs sur les secteurs rebelles, faisant des milliers de morts. De leur côté, les rebelles lancent des obus et des roquettes artisanales, faisant des centaines de morts.
Courageux et symbolique, le message est celui de la syrienne Zaina Erhaim, 29 ans, journaliste. Hormis son compte Twitter, la jeune femme est également présente sur Instagram, où elle partage des photos de sa ville détruite.
"Zaina Erhaim est un ovni. Journaliste diplômée avant la révolution, elle a choisi de retourner vivre en Syrie quand tous cherchent à fuir. Une anomalie. Depuis huit mois, elle s'est installée définitivement à Alep, la grande ville du nord de la Syrie, après avoir sillonné le pays le plus dangereux au monde pour sa profession", écrivait en décembre dernier FTVI dans un portrait consacré à la jeune femme.
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