Aujourd’hui la Tunisie vote pour la première fois dans le cadre de la transition démocratique pour un futur président élu au suffrage universel. Les 27 circonscriptions électorales se sont réveillées aujourd’hui sur les nouvelles d’une journée où tous les regards sont tournés vers le palais de Carthage.
A Bizerte, gouvernorat du nord tunisien comptant plus de 240.000 inscrits sur les listes électorales, le déploiement abondant des forces de l’ordre est très vite remarqué tant à la sortie de l’autoroute qu’à d’autres endroits stratégiques comme aux alentours du pont amovible.
Cela dit, une atmosphère tout à fait calme règne dans la plupart des centres de vote. En effet, rares sont les files d’attente surtout devant les bureaux de vote réservés à la population jeune. Interrogée par le HuffPost Tunisie, une observatrice de ATIDE a confié que:
Concernant les difficultés techniques ou les défis de ce début de journée, elle a rapporté que les situations les plus délicates ont été recensées parmi les électeurs du troisième âge qui sont parfois analphabètes ou encore en difficulté physique mais qui par contre ont été présents en masse.
Aussi, l’effectif déployé par l’ISIE se distingue par son nombre non négligeable. Une certaine rigueur est de mise: tout téléphone portable et bagages de toute sorte est prohibé à l’intérieur des bureaux de vote. Néanmoins, une certaine disparité des directives de l’IRIE a été constatée.
Alors que dans certains centres de votes, des initiatives tels que le sondage à la sortie des urnes se sont déroulés tranquillement au vue de tous, à Menzel Bourguiba, une autre équipe a été empêchée d’effectuer la même tâche par les forces de l’ordre appelées par la cellule électorale locale.
La tournée des centres de vote a aussi confirmé une présence bien plus élevée des observateurs de la société civile ou encore ceux de l’Union Européenne en comparaison avec celle des partis politiques. Une observatrice de Mourakiboun, a affirmé au HuffPost Tunisie que certains partis politiques (sans les nommer) ont commis des infractions comme la distribution de flyers aux votants.
Interrogée sur le quota des femmes électrices durant ces élections, elle répond positivement en précisant qu’une certaine égalité de genre a été enregistrée.
A Bizerte, gouvernorat du nord tunisien comptant plus de 240.000 inscrits sur les listes électorales, le déploiement abondant des forces de l’ordre est très vite remarqué tant à la sortie de l’autoroute qu’à d’autres endroits stratégiques comme aux alentours du pont amovible.
Cela dit, une atmosphère tout à fait calme règne dans la plupart des centres de vote. En effet, rares sont les files d’attente surtout devant les bureaux de vote réservés à la population jeune. Interrogée par le HuffPost Tunisie, une observatrice de ATIDE a confié que:
La participation des jeunes était loin de battre son plein durant la matinée et le début d’après-midi.
Concernant les difficultés techniques ou les défis de ce début de journée, elle a rapporté que les situations les plus délicates ont été recensées parmi les électeurs du troisième âge qui sont parfois analphabètes ou encore en difficulté physique mais qui par contre ont été présents en masse.
Aussi, l’effectif déployé par l’ISIE se distingue par son nombre non négligeable. Une certaine rigueur est de mise: tout téléphone portable et bagages de toute sorte est prohibé à l’intérieur des bureaux de vote. Néanmoins, une certaine disparité des directives de l’IRIE a été constatée.
Alors que dans certains centres de votes, des initiatives tels que le sondage à la sortie des urnes se sont déroulés tranquillement au vue de tous, à Menzel Bourguiba, une autre équipe a été empêchée d’effectuer la même tâche par les forces de l’ordre appelées par la cellule électorale locale.
La tournée des centres de vote a aussi confirmé une présence bien plus élevée des observateurs de la société civile ou encore ceux de l’Union Européenne en comparaison avec celle des partis politiques. Une observatrice de Mourakiboun, a affirmé au HuffPost Tunisie que certains partis politiques (sans les nommer) ont commis des infractions comme la distribution de flyers aux votants.
Interrogée sur le quota des femmes électrices durant ces élections, elle répond positivement en précisant qu’une certaine égalité de genre a été enregistrée.
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