La police tunisienne va lancer un ultimatum à des hommes armés retranchés dans une maison avec des femmes et des enfants avant de donner l'assaut s'ils ne se rendent pas, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère de l'Intérieur.
Au moins deux hommes armés que les forces de l'ordre voulaient arrêter sont retranchés depuis jeudi dans cette maison de Oued Ellil, dans la banlieue de Tunis.
Au moins deux femmes et deux enfants se trouvent également dans le bâtiment, selon M. Aroui.
Le porte-parole du ministère de la Défense, Belhassen Oueslati, a de son côté indiqué à l'AFP que le nombre des femmes pourrait être "de quatre à six".
"Mais nous n'avons pas de confirmation pour l'instant", a-t-il ajouté.
Vendredi à l'aube, une explosion a été entendue, sans que son origine ne soit connue, selon un journaliste de l'AFP sur place.
Jeudi, un membre de la Garde nationale (gendarmerie) a été tué et un autre blessé dans les échanges de tirs entre les forces de l'ordre et les hommes armés.
La maison a été encerclée suite à des informations obtenues après l'arrestation de "deux éléments terroristes" à Kébili, à 500 km au sud de Tunis, selon lesquelles "d'autres éléments terroristes se trouvaient dans une maison" dans cette banlieue de la capitale.
Les ministères de la Défense et de l'Intérieur ont mis en garde contre des éléments "terroristes" qui chercheraient à entraver ces scrutins, et le gouvernement a prévu de déployer des dizaines de milliers de soldats et policiers le jour du vote.
"Nous ne pouvons patienter plus longtemps. Nous allons leur donner un ultimatum d'une heure ou deux maximum, puis nous allons mener l'assaut", a affirmé à la presse Mohamed Ali Aroui.
Au moins deux hommes armés que les forces de l'ordre voulaient arrêter sont retranchés depuis jeudi dans cette maison de Oued Ellil, dans la banlieue de Tunis.
Au moins deux femmes et deux enfants se trouvent également dans le bâtiment, selon M. Aroui.
Le porte-parole du ministère de la Défense, Belhassen Oueslati, a de son côté indiqué à l'AFP que le nombre des femmes pourrait être "de quatre à six".
"Mais nous n'avons pas de confirmation pour l'instant", a-t-il ajouté.
Vendredi à l'aube, une explosion a été entendue, sans que son origine ne soit connue, selon un journaliste de l'AFP sur place.
Jeudi, un membre de la Garde nationale (gendarmerie) a été tué et un autre blessé dans les échanges de tirs entre les forces de l'ordre et les hommes armés.
La maison a été encerclée suite à des informations obtenues après l'arrestation de "deux éléments terroristes" à Kébili, à 500 km au sud de Tunis, selon lesquelles "d'autres éléments terroristes se trouvaient dans une maison" dans cette banlieue de la capitale.
Les ministères de la Défense et de l'Intérieur ont mis en garde contre des éléments "terroristes" qui chercheraient à entraver ces scrutins, et le gouvernement a prévu de déployer des dizaines de milliers de soldats et policiers le jour du vote.
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