Supervénus est un court métrage d’animation du vidéaste expérimental Frédéric Doazan, diffusé récemment sur la chaîne Arte et assez partagé sur internet. Il met en scène, pendant environs 3 minutes, la monstrueuse mutation d’une femme, sous l’effet du bistouri d’un chirurgien esthétique fou.
Le film fonctionne selon un crescendo de violence froide commise sur l’anatomie d’une femme, par les mains gantées d’un chirurgien esthétique qui reste en hors champ.
Les retouches successives sur le corps passif de la femme semblent au début faire partie d’opérations esthétiques classiques, pour le rendre conforme aux canons de beauté dominants : injection de botox, rallongement des jambes, liposuccion…
Mais lorsque le chirurgien en arrive à d’autres manipulations plus cruelles, l’œuvre d’animation bascule vers le film d’horreur et la dénonciation des canons de beauté moderne prend une tournure féroce faisant référence à la Venus de Milo.
Le film fonctionne selon un crescendo de violence froide commise sur l’anatomie d’une femme, par les mains gantées d’un chirurgien esthétique qui reste en hors champ.
Les retouches successives sur le corps passif de la femme semblent au début faire partie d’opérations esthétiques classiques, pour le rendre conforme aux canons de beauté dominants : injection de botox, rallongement des jambes, liposuccion…
Mais lorsque le chirurgien en arrive à d’autres manipulations plus cruelles, l’œuvre d’animation bascule vers le film d’horreur et la dénonciation des canons de beauté moderne prend une tournure féroce faisant référence à la Venus de Milo.
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