Le chef du gouvernement provisoire Mehdi Jomâa a affirmé qu'il sera pour lui hors de question d'accepter d'être chargé de nouveau de diriger le gouvernement après les élections de 2014.
"J'ai été chargé une fois et il est pour moi hors de question qu'il y en ait une deuxième", a-t-il déclaré mercredi dans un entretien à l'Agence Tunis-Afrique-Presse.
Il a jugé "inenvisageable" qu'il continue d'assumer les charges de chef du gouvernement, soulignant la nécessité de créer des traditions de continuité de l'Etat et d'alternance au pouvoir.
"Nous autres gouvernants sommes de passage mais l'Etat reste", a-t-il ajouté, rappelant être "venu en Tunisie
pour une mission claire qui ne devait pas dépasser l'année".
Nous nous employons à "consacrer le principe de continuité de l'Etat en jetant les fondements d'un projet national que nous avons l'ambition de concrétiser. Nous aurons ainsi aménagé pour le futur gouvernement une bonne plate-forme de travail et des programmes viables", a-t-il encore dit.
Mehdi Jomâa a expliqué le rejet de l'idée même d'être reconduit par le fait qu'il est "une personne indépendante" et que "les Tunisiens accorderont leurs suffrages à des partis sur la base de programmes censés être appliqués par celui qui sera porté au pouvoir, lequel comptera sur des personnes et des groupes de personnes choisies par la coalition ou les partis vainqueurs".
"Je ne me permettrai d'être responsable que de ma propre équipe", a-t-il affirmé.
"Je ne travaillerai qu'avec une équipe qui ne sera soumise à aucune source d'influence, tout comme je ne dois être tenu pour responsable que des politiques et choix que j'aurai moi-même définis (...). Pour autant, je me tiendrai à la disposition de mon pays pour rendre tout service qui serait en mon pouvoir", a enchaîné Mehdi Jomâa.
"J'ai été chargé une fois et il est pour moi hors de question qu'il y en ait une deuxième", a-t-il déclaré mercredi dans un entretien à l'Agence Tunis-Afrique-Presse.
Il a jugé "inenvisageable" qu'il continue d'assumer les charges de chef du gouvernement, soulignant la nécessité de créer des traditions de continuité de l'Etat et d'alternance au pouvoir.
"Nous autres gouvernants sommes de passage mais l'Etat reste", a-t-il ajouté, rappelant être "venu en Tunisie
pour une mission claire qui ne devait pas dépasser l'année".
Nous nous employons à "consacrer le principe de continuité de l'Etat en jetant les fondements d'un projet national que nous avons l'ambition de concrétiser. Nous aurons ainsi aménagé pour le futur gouvernement une bonne plate-forme de travail et des programmes viables", a-t-il encore dit.
Mehdi Jomâa a expliqué le rejet de l'idée même d'être reconduit par le fait qu'il est "une personne indépendante" et que "les Tunisiens accorderont leurs suffrages à des partis sur la base de programmes censés être appliqués par celui qui sera porté au pouvoir, lequel comptera sur des personnes et des groupes de personnes choisies par la coalition ou les partis vainqueurs".
"Je ne me permettrai d'être responsable que de ma propre équipe", a-t-il affirmé.
"Je ne travaillerai qu'avec une équipe qui ne sera soumise à aucune source d'influence, tout comme je ne dois être tenu pour responsable que des politiques et choix que j'aurai moi-même définis (...). Pour autant, je me tiendrai à la disposition de mon pays pour rendre tout service qui serait en mon pouvoir", a enchaîné Mehdi Jomâa.
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