Google célèbre aujourd’hui l'un des plus grands acteurs égyptiens de l'Histoire.
La page d’accueil de Google affiche, ce mercredi, un logo à l'effigie de Farid Shawki. Une façon de rendre hommage à l'acteur égyptien qui aurait fêté ses 94 ans aujourd’hui.
Né le 30 juillet 1920, l'illustre acteur égyptien, surnommé "le bulldozer" en référence à sa carrure imposante, était connu pour ses rôles de "méchants".
Farid Shawki a joué dans plus de 400 films. Parmi eux deux grands succès à l'international: le film réalisé par Youssef Chahine "Bab el hadid" sorti en 1958 et "Bidaya wa nihaya" sorti en 1961.
Le "colosse" égyptien dans l'un de ses rôles de justicier
Au-delà d'un physique avantageux, Farid Shawki reste surtout gravé dans la mémoire collective comme étant le premier véritable justicier du monde arabe, comme le montre si bien le film "Le Prince noir" (à visionner ci-dessous).
Dans ses mémoires publiés en 1978, l'acteur marié à quatre reprises et père de quatre filles, a noté quelques phrases remplies de nostalgie dans lesquelles il rendra un dernier hommage à son public:
La page d’accueil de Google affiche, ce mercredi, un logo à l'effigie de Farid Shawki. Une façon de rendre hommage à l'acteur égyptien qui aurait fêté ses 94 ans aujourd’hui.
Né le 30 juillet 1920, l'illustre acteur égyptien, surnommé "le bulldozer" en référence à sa carrure imposante, était connu pour ses rôles de "méchants".
Farid Shawki a joué dans plus de 400 films. Parmi eux deux grands succès à l'international: le film réalisé par Youssef Chahine "Bab el hadid" sorti en 1958 et "Bidaya wa nihaya" sorti en 1961.
Au-delà d'un physique avantageux, Farid Shawki reste surtout gravé dans la mémoire collective comme étant le premier véritable justicier du monde arabe, comme le montre si bien le film "Le Prince noir" (à visionner ci-dessous).
Dans ses mémoires publiés en 1978, l'acteur marié à quatre reprises et père de quatre filles, a noté quelques phrases remplies de nostalgie dans lesquelles il rendra un dernier hommage à son public:
"L'artiste ne peut décider du jour où il doit s'arrêter, pas plus que les critiques. Seul le public peut dire un jour: "Farid cela suffit!". Et à ce moment-là je m'arrêterais et le train de vie lui aussi s'arrêtera pour moi".
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