Deux soldats tunisiens ont été tués samedi dans un échange de tirs avec des "terroristes" près de la frontière algérienne, a annoncé le ministère de la Défense, dix jours après une attaque dans laquelle 15 militaires ont trouvé la mort.
"L'opération est toujours en cours", a-t-il ajouté, en précisant que ce bilan était encore provisoire et sans pouvoir pour l'instant donner de détails sur l'identité des hommes armés ou leur nombre.
Ces nouvelles violences interviennent dix jours après un assaut contre deux postes de l'armée sur le mont Châambi (centre-ouest), également non loin de la frontière algérienne, au cours de laquelle 15 soldats tunisiens avaient été tués, la pire attaque de l'histoire de l'armée tunisienne.
Dix-huit militaires avaient aussi été blessés et un assaillant abattu, selon les autorités.
D'après les autorités, de 40 à 60 "terroristes" armés de mitrailleuses, de grenades et de lance-roquettes avaient ouvert le feu le 16 juillet à l'heure de la rupture du jeûne du ramadan sur des soldats dans la région de Henchir El-Talla, à Châambi, où l'armée tente de neutraliser depuis un an et demi un groupe accusé de liens avec Al-Qaïda.
Vendredi, les dirigeants tunisiens se sont de nouveau engagés vendredi à "vaincre le terrorisme".
"La bataille contre le terrorisme en est à ses débuts et il faut que nous nous y préparions par davantage d'union nationale.
Le chemin sera peut-être long", a déclaré le président de l'Assemblée constituante, Mustapha Ben Jâafar, lors d'une séance plénière marquant le 57e anniversaire de la proclamation de la République tunisienne.
Mais "nous vaincrons le terrorisme", a-t-il assuré.
"Il y a eu un échange de tirs entre un groupe terroriste et une patrouille militaire à Ghar el-Tine (nord-ouest), à 4 km de la frontière tuniso-algérienne près de Sakiet Sidi Youssef. Deux de nos soldats sont tombés en martyrs et quatre ont été blessés", a déclaré Lamjed Hammami, le porte-parole du ministère.
"L'opération est toujours en cours", a-t-il ajouté, en précisant que ce bilan était encore provisoire et sans pouvoir pour l'instant donner de détails sur l'identité des hommes armés ou leur nombre.
Ces nouvelles violences interviennent dix jours après un assaut contre deux postes de l'armée sur le mont Châambi (centre-ouest), également non loin de la frontière algérienne, au cours de laquelle 15 soldats tunisiens avaient été tués, la pire attaque de l'histoire de l'armée tunisienne.
Dix-huit militaires avaient aussi été blessés et un assaillant abattu, selon les autorités.
D'après les autorités, de 40 à 60 "terroristes" armés de mitrailleuses, de grenades et de lance-roquettes avaient ouvert le feu le 16 juillet à l'heure de la rupture du jeûne du ramadan sur des soldats dans la région de Henchir El-Talla, à Châambi, où l'armée tente de neutraliser depuis un an et demi un groupe accusé de liens avec Al-Qaïda.
Vendredi, les dirigeants tunisiens se sont de nouveau engagés vendredi à "vaincre le terrorisme".
"La bataille contre le terrorisme en est à ses débuts et il faut que nous nous y préparions par davantage d'union nationale.
Le chemin sera peut-être long", a déclaré le président de l'Assemblée constituante, Mustapha Ben Jâafar, lors d'une séance plénière marquant le 57e anniversaire de la proclamation de la République tunisienne.
Mais "nous vaincrons le terrorisme", a-t-il assuré.
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.