Un soldat tunisien porté disparu après une attaque "terroriste" contre des militaires sur le mont Chaambi (centre-ouest) a été retrouvé mort vendredi, portant le bilan de l'assaut à 15 victimes, a annoncé le ministère de la Défense à l'AFP.
"Pendant les opérations de ratissage menées par les forces armées dans la zone militaire sur le mont Chaambi, le soldat Walid Ben Abdallah a été retrouvé mort suite aux blessures qui lui ont été infligées pendant l'attaque terroriste" de mercredi, selon le ministère.
La dépouille a été retrouvée à environ un kilomètre du lieu de l'attaque, a précisé à l'AFP le service de presse du ministère, sans pouvoir donner de détails sur les circonstances exactes de sa mort ou ses blessures.
Le ministère a tenu à souligner que le militaire avait "bravement défendu le poste qu'il était chargé de surveiller" et qu'il était "tombé en martyr en combattant pour la patrie".
L'assaut de mercredi est le pire dans l'histoire de l'armée tunisienne.
D'après les autorités, de 40 à 60 "terroristes" armés de mitrailleuses, de grenades et de lance-roquettes ont ouvert le feu à l'heure de la rupture du jeûne du ramadan sur des soldats dans la région de Henchir El-Talla, à Châambi, une région montagneuse où l'armée tente de neutraliser depuis un an et demi un groupe accusé de liens avec Al-Qaïda.
Dix-huit militaires ont aussi été blessés et un assaillant abattu, selon les autorités.
Le gouvernement a promis que "ce crime ne resterait pas impuni", en assurant que ces groupes armés avaient pour objectif d'empêcher la transition de la Tunisie vers la démocratie.
"Pendant les opérations de ratissage menées par les forces armées dans la zone militaire sur le mont Chaambi, le soldat Walid Ben Abdallah a été retrouvé mort suite aux blessures qui lui ont été infligées pendant l'attaque terroriste" de mercredi, selon le ministère.
La dépouille a été retrouvée à environ un kilomètre du lieu de l'attaque, a précisé à l'AFP le service de presse du ministère, sans pouvoir donner de détails sur les circonstances exactes de sa mort ou ses blessures.
Le ministère a tenu à souligner que le militaire avait "bravement défendu le poste qu'il était chargé de surveiller" et qu'il était "tombé en martyr en combattant pour la patrie".
L'assaut de mercredi est le pire dans l'histoire de l'armée tunisienne.
D'après les autorités, de 40 à 60 "terroristes" armés de mitrailleuses, de grenades et de lance-roquettes ont ouvert le feu à l'heure de la rupture du jeûne du ramadan sur des soldats dans la région de Henchir El-Talla, à Châambi, une région montagneuse où l'armée tente de neutraliser depuis un an et demi un groupe accusé de liens avec Al-Qaïda.
Dix-huit militaires ont aussi été blessés et un assaillant abattu, selon les autorités.
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