Le nouvel entraîneur du Club Sportif Sfaxien, Philippe Troussier n'a pas tari d'éloges sur sa nouvelle formation, la qualifiant de grand club du continent africain, rapporte mercredi, Francefootball.fr.
"Le CS Sfaxien est un peu le Dortmund africain. Le club ne vit pas au-dessus de ses moyens, et il a un public fidèle", a expliqué Troussier, ex-entraîneur du Fus de Rabat en 1997.
Pour lui, le fait que le CS Sfaxien soit toujours engagé en compétition africaine a pesé sur sa décision, ajoutant que "l'équipe est dans une situation d'urgence avec un match de Ligue des champions dans moins de trois semaines face à l'Espérance de Tunis".
Philippe Troussier a déjà entraîné plusieurs sélections africaines mais n'a plus dirigé de club sur le continent depuis 1997. Il a reconnu que l'Afrique avait forgé sa réputation: "Je vis en Afrique et c’est le continent qui m'a fait".
Le technicien français qui s'est engagé avec le CS Sfaxien pour deux ans, a avoué que son retour en Afrique est en partie lié à l'envie de se rapprocher de ses filles, basées au Maroc.
"Le CS Sfaxien est un peu le Dortmund africain. Le club ne vit pas au-dessus de ses moyens, et il a un public fidèle", a expliqué Troussier, ex-entraîneur du Fus de Rabat en 1997.
"Je ne viens pas pour remplacer un incompétent (ndlr: Mondher Kbaier), mais plutôt pour donner un nouvel élan à ce grand club d'Afrique, très bien structuré. Je succède à un coach qui était en fin de contrat et qui a bien travaillé", a souligné le technicien français.
Pour lui, le fait que le CS Sfaxien soit toujours engagé en compétition africaine a pesé sur sa décision, ajoutant que "l'équipe est dans une situation d'urgence avec un match de Ligue des champions dans moins de trois semaines face à l'Espérance de Tunis".
Philippe Troussier a déjà entraîné plusieurs sélections africaines mais n'a plus dirigé de club sur le continent depuis 1997. Il a reconnu que l'Afrique avait forgé sa réputation: "Je vis en Afrique et c’est le continent qui m'a fait".
Le technicien français qui s'est engagé avec le CS Sfaxien pour deux ans, a avoué que son retour en Afrique est en partie lié à l'envie de se rapprocher de ses filles, basées au Maroc.
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