Plus de 4 millions d'électeurs restent à inscrire sur un total de près de 8 millions de Tunisiens composant le corps électoral.
L'objectif est loin d'être atteint, 10 jours après l'ouverture des inscriptions par l'Instance électorale (ISIE).
En effet, selon le chargé de communication de l'ISIE, Lassaad Ben Ahmed, seules 40.000 personnes se sont inscrites, venant s'ajouter à ceux qui s'étaient déjà inscrits en 2011.
"Nous ne sommes pas du tout satisfaits de ces chiffres", a regretté M. Ben Ahmed dans une déclaration au HuffPost Maghreb.
Dans une déclaration à l'agence TAP, Moez Bouraoui, président d'Atide (Association tunisienne pour l'intégrité et la démocratie des élections) a vivement critiqué l'ISIE, considérant qu'elle était responsable de ce chiffre "dérisoire".
Bouraoui a notamment pointé du doigt la limitation des inscriptions à l'horaire administratif, l'absence de bureaux de l'ISIE dans certaine régions et le lancement tardif de la campagne de sensibilisation, rapporte la TAP.
Selon le chargé de communication de l'ISIE, les plus faibles taux d'inscription se retrouvent chez les jeunes et les personnes vivant dans les zones rurales.
Il a assuré que les bureaux mobiles étaient déjà déployés dans ces zones et que les campagnes de sensibilisation allaient davantage viser les jeunes.
"Il convient de rappeler que 4.850.000 citoyens, en âge de voter, ne sont pas encore enregistrés. C’est inadmissible!", a fustigé à son tour Fadhel Moussa, député Al Massar, sur son compte Facebook.
L'objectif est loin d'être atteint, 10 jours après l'ouverture des inscriptions par l'Instance électorale (ISIE).
En effet, selon le chargé de communication de l'ISIE, Lassaad Ben Ahmed, seules 40.000 personnes se sont inscrites, venant s'ajouter à ceux qui s'étaient déjà inscrits en 2011.
"Nous ne sommes pas du tout satisfaits de ces chiffres", a regretté M. Ben Ahmed dans une déclaration au HuffPost Maghreb.
"Mais nous pensons que les Tunisiens ont tendance à se prononcer à la dernière minute et nous allons multiplier les campagnes de sensibilisation", a-t-il ajouté, espérant un sursaut des personnes non inscrites, peu de temps avant l'expiration du délai, le 22 juillet prochain.
LIRE AUSSI: Tout ce que vous devez savoir sur l'inscription des électeurs
Dans une déclaration à l'agence TAP, Moez Bouraoui, président d'Atide (Association tunisienne pour l'intégrité et la démocratie des élections) a vivement critiqué l'ISIE, considérant qu'elle était responsable de ce chiffre "dérisoire".
Bouraoui a notamment pointé du doigt la limitation des inscriptions à l'horaire administratif, l'absence de bureaux de l'ISIE dans certaine régions et le lancement tardif de la campagne de sensibilisation, rapporte la TAP.
LIRE AUSSI: Début des inscriptions des électeurs, quelques problèmes ne sont toujours pas réglés
Selon le chargé de communication de l'ISIE, les plus faibles taux d'inscription se retrouvent chez les jeunes et les personnes vivant dans les zones rurales.
Il a assuré que les bureaux mobiles étaient déjà déployés dans ces zones et que les campagnes de sensibilisation allaient davantage viser les jeunes.
"Il convient de rappeler que 4.850.000 citoyens, en âge de voter, ne sont pas encore enregistrés. C’est inadmissible!", a fustigé à son tour Fadhel Moussa, député Al Massar, sur son compte Facebook.
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