Un jeune Tunisien de 19 ans a été tué dans la nuit de mardi à mercredi dans l'explosion d'une mine au mont Sammama dans la région de Kasserine, dans le centre-ouest du pays, a-t-on appris auprès du ministère de l'Intérieur.
Le jeune "s'est introduit dans une zone d'opération militaire et a été tué dans l'explosion d'une mine", selon la même source, qui n'a pas donné d'autres précisions.
La veille, six agents des forces de l'ordre menant une opération de ratissage, avaient été blessés dans l'explosion d'une mine artisanale dans une région montagneuse du Kef, dans le nord-ouest du pays.
Dimanche, un gendarme avait été également blessé dans l'explosion d'une mine artisanale lors d'une opération similaire dans le nord-ouest du pays.
Des soldats et gendarmes tunisiens y sont régulièrement blessés ou tués, généralement par des mines disposées par des combattants jihadistes, selon les autorités.
En avril, les massifs montagneux de Sammama, Salloum et Mghilla ont été déclarés zones militaires. Les autorités affirment depuis avoir repris l'initiative sur le terrain et le président Moncef Marzouki a offert une amnistie aux combattants jihadistes qui rendraient les armes et qui n'ont pas de sang sur les mains.
Mi-juin, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué pour la première fois de récentes attaques dans le pays, notamment un assaut contre le domicile du ministre de l'Intérieur qui avait fait quatre morts parmi les forces de l'ordre fin mai.
Le jeune "s'est introduit dans une zone d'opération militaire et a été tué dans l'explosion d'une mine", selon la même source, qui n'a pas donné d'autres précisions.
La veille, six agents des forces de l'ordre menant une opération de ratissage, avaient été blessés dans l'explosion d'une mine artisanale dans une région montagneuse du Kef, dans le nord-ouest du pays.
Dimanche, un gendarme avait été également blessé dans l'explosion d'une mine artisanale lors d'une opération similaire dans le nord-ouest du pays.
Des soldats et gendarmes tunisiens y sont régulièrement blessés ou tués, généralement par des mines disposées par des combattants jihadistes, selon les autorités.
En avril, les massifs montagneux de Sammama, Salloum et Mghilla ont été déclarés zones militaires. Les autorités affirment depuis avoir repris l'initiative sur le terrain et le président Moncef Marzouki a offert une amnistie aux combattants jihadistes qui rendraient les armes et qui n'ont pas de sang sur les mains.
Mi-juin, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué pour la première fois de récentes attaques dans le pays, notamment un assaut contre le domicile du ministre de l'Intérieur qui avait fait quatre morts parmi les forces de l'ordre fin mai.
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