Deux hommes armés ont été tués lors d'une opération toujours en cours vendredi dans le nord-ouest de la Tunisie, une zone où de tels heurts interviennent régulièrement, a indiqué le ministère tunisien de l'Intérieur.
Des unités de la garde nationale pourchassaient encore vendredi matin un groupe de "terroristes", selon le ministère, qui comme à son habitude se refuse à donner d'autres détails sur ces heurts dans la région de Jendouba, située non loin de la frontière algérienne.
Des heurts armés entre combattants, policiers et militaires interviennent régulièrement dans cette zone.
En mars, trois militants islamistes armés avaient été tués dans une opération antiterroriste dans cette même région. Un mois plus tôt, deux policiers, un civil et un gardien de prison avaient péri dans une attaque attribuée à la mouvance, jihadiste toujours près de Jendouba.
Fin mai, le domicile familial du ministre de l'Intérieur Lotfi Ben Jeddou à Kasserine (ouest) a par ailleurs été attaqué par un groupe armé, faisant quatre morts dans les rangs de la police.
Le pouvoir tunisien affirme néanmoins que le pays est plus sûr que l'année passée, et que l'attaque contre la maison du ministre était une "vengeance" après la série de "succès" revendiquée par les autorités.
Des unités de la garde nationale pourchassaient encore vendredi matin un groupe de "terroristes", selon le ministère, qui comme à son habitude se refuse à donner d'autres détails sur ces heurts dans la région de Jendouba, située non loin de la frontière algérienne.
Des heurts armés entre combattants, policiers et militaires interviennent régulièrement dans cette zone.
En mars, trois militants islamistes armés avaient été tués dans une opération antiterroriste dans cette même région. Un mois plus tôt, deux policiers, un civil et un gardien de prison avaient péri dans une attaque attribuée à la mouvance, jihadiste toujours près de Jendouba.
Fin mai, le domicile familial du ministre de l'Intérieur Lotfi Ben Jeddou à Kasserine (ouest) a par ailleurs été attaqué par un groupe armé, faisant quatre morts dans les rangs de la police.
Le pouvoir tunisien affirme néanmoins que le pays est plus sûr que l'année passée, et que l'attaque contre la maison du ministre était une "vengeance" après la série de "succès" revendiquée par les autorités.
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