94 professionnels des médias ont été agressés en mais 2014, selon un rapport du Centre de Tunis pour la liberté de la presse (CTLP).
Il s'agit du mois où a eu lieu le plus grand nombre de violations contre les journalistes depuis un an et demi, a constaté l'unité d'observation et de documentation des violations relevant du CTLP.
Ce chiffre alarmant montre que ni la loi ni les initiatives de protection ou encore les discours condamnant l'impunité, n'ont pu assurer la sécurité des journalistes lors de l'accomplissement de leur mission, ajoute le centre dans son rapport mensuel.
Les agressions ont ciblé 29 femmes et 65 hommes qui travaillent pour 13 chaînes de télévision, 15 radios, 8 journaux, 6 sites électroniques, une agence de presse et deux web radios, selon le même document.
9 professionnels ont été tabassés et 5 agressés verbalement en plus de 4 interdictions de travailler, 3 poursuites en justice et 3 cas de harcèlement.
Le rapport pointe en premier lieu les agents de sécurité qui sont responsables de 10 agressions. Viennent, ensuite les citoyens (4 cas), les fonctionnaires publics (4 cas), les directions des établissements médiatiques (3 cas) et le ministère public (2 cas) en plus de 2 agressions commises par une commission d'organisation syndicale.
4 autres agressions ont été perpétrées par des militaires, la présidence de la République, le ministère des finances et des inconnus.
La plupart de ces cas de violence ont eu lieu dans la capitale (21).
Il s'agit du mois où a eu lieu le plus grand nombre de violations contre les journalistes depuis un an et demi, a constaté l'unité d'observation et de documentation des violations relevant du CTLP.
Ce chiffre alarmant montre que ni la loi ni les initiatives de protection ou encore les discours condamnant l'impunité, n'ont pu assurer la sécurité des journalistes lors de l'accomplissement de leur mission, ajoute le centre dans son rapport mensuel.
Les agressions ont ciblé 29 femmes et 65 hommes qui travaillent pour 13 chaînes de télévision, 15 radios, 8 journaux, 6 sites électroniques, une agence de presse et deux web radios, selon le même document.
9 professionnels ont été tabassés et 5 agressés verbalement en plus de 4 interdictions de travailler, 3 poursuites en justice et 3 cas de harcèlement.
Le rapport pointe en premier lieu les agents de sécurité qui sont responsables de 10 agressions. Viennent, ensuite les citoyens (4 cas), les fonctionnaires publics (4 cas), les directions des établissements médiatiques (3 cas) et le ministère public (2 cas) en plus de 2 agressions commises par une commission d'organisation syndicale.
4 autres agressions ont été perpétrées par des militaires, la présidence de la République, le ministère des finances et des inconnus.
La plupart de ces cas de violence ont eu lieu dans la capitale (21).
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.