Un accord de coopération dans le domaine cinématographique a été conclu mercredi à Tunis entre l'Association Tuniso-iranienne de Cinéma (ATIC) et l'Association des Jeunes cinéastes Iraniens.
L'accord a été signé par Hojat Ayoubi, vice-ministre iranien de la culture chargé des affaires cinématographiques, Sadok Ramadhani, directeur du centre culturel iranien à Tunis et Fethi Ben Othman, président de l'ATIC.
"Cet accord porte sur de nombreux domaines dont l'échange de cinéastes et l'organisation de festivals et d'ateliers pour les réalisateurs et les scénaristes", a expliqué Ayoubi à l'agence TAP.
Invité à Tunis dans le cadre des Journées du Cinéma Iranien qui se tiennent à Tunis du 7 au 10 mai, Ayoubi était accompagné d'une délégation composée des réalisateurs Hikmat Manijé et de Mouchtaba Raiy.
Un débat sur le succès du cinéma iranien et l'importance du patrimoine culturel qu'il véhicule s'est tenu en présence de nombreux réalisateurs tunisiens.
A ce propos, Hojat Ayoubi a indiqué que l'Iran produit chaque année en moyenne entre 100 et 130 longs métrages et plus de 2000 courts métrages, sachant que 70.000 jeunes font du cinéma à travers le pays.
Pour sa part, le réalisateur tunisien Naceur Sardi a souligné l'importance de nouer des contacts directs entre producteurs et réalisateurs des deux pays, notamment par le biais d'associations tunisiennes et iraniennes, et de syndicats, sans nécessairement avoir recours au ministère de la Culture.
L'accord a été signé par Hojat Ayoubi, vice-ministre iranien de la culture chargé des affaires cinématographiques, Sadok Ramadhani, directeur du centre culturel iranien à Tunis et Fethi Ben Othman, président de l'ATIC.
"Cet accord porte sur de nombreux domaines dont l'échange de cinéastes et l'organisation de festivals et d'ateliers pour les réalisateurs et les scénaristes", a expliqué Ayoubi à l'agence TAP.
Invité à Tunis dans le cadre des Journées du Cinéma Iranien qui se tiennent à Tunis du 7 au 10 mai, Ayoubi était accompagné d'une délégation composée des réalisateurs Hikmat Manijé et de Mouchtaba Raiy.
Un débat sur le succès du cinéma iranien et l'importance du patrimoine culturel qu'il véhicule s'est tenu en présence de nombreux réalisateurs tunisiens.
A ce propos, Hojat Ayoubi a indiqué que l'Iran produit chaque année en moyenne entre 100 et 130 longs métrages et plus de 2000 courts métrages, sachant que 70.000 jeunes font du cinéma à travers le pays.
Pour sa part, le réalisateur tunisien Naceur Sardi a souligné l'importance de nouer des contacts directs entre producteurs et réalisateurs des deux pays, notamment par le biais d'associations tunisiennes et iraniennes, et de syndicats, sans nécessairement avoir recours au ministère de la Culture.
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