La Tunisie s'est engagée il y a 13 ans à limiter la production, le commerce et l'utilisation de substances chimiques polluantes.
La Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants demande aux Etats signataires d'interdire ou de prendre "les mesures juridiques et administratives qui s'imposent" pour éliminer certains polluants.
Aujourd'hui, la Tunisie se prépare à réviser et actualiser son plan de mise en œuvre de la Convention à l'initiative du secrétariat d'Etat au développement durable en collaboration avec l'Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI).
Les polluants organiques persistants sont des composés organiques qui, à des degrés divers, résistent aux processus de dégradation biologique et chimique. Ces substances sont employées comme pesticides, fluides thermiques, solvants et produits intermédiaires de synthèse.
La Tunisie a bénéficié d'un appui financier du Fonds pour l'environnement mondial(FEM) et de l'ONUDI pour la réalisation de ce projet.
Directeur général de l'environnement et de la qualité de vie au ministère de l'Environnement, Salah Hsini a précisé que le projet porterait également sur l'évaluation des conséquences socio-économiques liées aux polluants et la mise à niveau de sensibilisation à l'égard de ces polluants.
Le plan national prévoit, dans ce cadre, d'actualiser en concertation avec les représentants des parties prenantes et l'appui d'experts internationaux, l'inventaire de ces polluants en Tunisie.
Le représentant de l'ONUDI en Tunisie, Jean Claude Plana, a fait part de l'engagement de l'organisation onusienne à soutenir ce projet dans la perspective de promouvoir une économie verte dans le pays en diminuant, entre autres actions, l'utilisation des produits polluants.
La Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants demande aux Etats signataires d'interdire ou de prendre "les mesures juridiques et administratives qui s'imposent" pour éliminer certains polluants.
Aujourd'hui, la Tunisie se prépare à réviser et actualiser son plan de mise en œuvre de la Convention à l'initiative du secrétariat d'Etat au développement durable en collaboration avec l'Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI).
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Les polluants organiques persistants sont des composés organiques qui, à des degrés divers, résistent aux processus de dégradation biologique et chimique. Ces substances sont employées comme pesticides, fluides thermiques, solvants et produits intermédiaires de synthèse.
La Tunisie a bénéficié d'un appui financier du Fonds pour l'environnement mondial(FEM) et de l'ONUDI pour la réalisation de ce projet.
Directeur général de l'environnement et de la qualité de vie au ministère de l'Environnement, Salah Hsini a précisé que le projet porterait également sur l'évaluation des conséquences socio-économiques liées aux polluants et la mise à niveau de sensibilisation à l'égard de ces polluants.
Le plan national prévoit, dans ce cadre, d'actualiser en concertation avec les représentants des parties prenantes et l'appui d'experts internationaux, l'inventaire de ces polluants en Tunisie.
Le représentant de l'ONUDI en Tunisie, Jean Claude Plana, a fait part de l'engagement de l'organisation onusienne à soutenir ce projet dans la perspective de promouvoir une économie verte dans le pays en diminuant, entre autres actions, l'utilisation des produits polluants.
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