Décidément, la Libye n'est pas un lieu sûr pour les diplomates. Le dernier a en avoir fait les frais est l'ambassadeur de Jordanie en Libye, Fawaz Al-Itan qui a été enlevé ce mardi 15 avril à Tripoli.
D'après une déclaration du porte-parole officiel du ministère des Affaires Etrangères libyen, Said Al Asouad, à l'agence de presse libyenne Lana, deux voitures sans plaques d'immatriculation transportant des individus cagoulés ont attaqué la voiture de l'ambassadeur et l'ont enlevé.
Le chauffeur de Mr Al-Itan a été blessé de deux balles durant cet assaut.
Trois semaines auparavant, le 21 mars 2014, un diplomate tunisien avait subi le même sort. Le ministère tunisien des Affaires étrangères n'a toujours pas de nouvelles concernant cet enlèvement. Un communiqué daté du 4 avril indique qu'une cellule de crise suit l'affaire de près, en collaboration étroite avec les autorités libyennes.
Mais faut-il s'en étonner dans un pays ou même un Premier ministre en exercice n'est pas à l'abri d'un enlèvement?
D'après une déclaration du porte-parole officiel du ministère des Affaires Etrangères libyen, Said Al Asouad, à l'agence de presse libyenne Lana, deux voitures sans plaques d'immatriculation transportant des individus cagoulés ont attaqué la voiture de l'ambassadeur et l'ont enlevé.
Le chauffeur de Mr Al-Itan a été blessé de deux balles durant cet assaut.
Trois semaines auparavant, le 21 mars 2014, un diplomate tunisien avait subi le même sort. Le ministère tunisien des Affaires étrangères n'a toujours pas de nouvelles concernant cet enlèvement. Un communiqué daté du 4 avril indique qu'une cellule de crise suit l'affaire de près, en collaboration étroite avec les autorités libyennes.
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