Le bâtonnier de l'ordre des avocats et porte-parole du dialogue national, Mohamed Fadhel Mahfoudh, a affirmé que "l'élaboration de la feuille de route permettra de reprendre le dialogue jeudi prochain".
M. Mahfoudh a fait savoir qu'une réunion entre les partis participant au dialogue national se tiendra mercredi afin d'examiner les processus électoral, constitutionnel et gouvernemental.
Un nouveau gouvernement d'ici les deux prochaines semaines
S'agissant du processus gouvernemental, il a affirmé que "la formation du nouveau gouvernement conformément à la feuille de route aura lieu dans deux semaines", assurant que les parties concernées oeuvreront à ce que ce "délai ne dépasse pas les 10 jours".
Mahfoudh a fait remarquer, dans ce cadre, que "plusieurs parmi les personnes proposées pour occuper le poste de président du gouvernement pourront détenir des portefeuilles ministériels compte tenu de leur compétence et de leur
neutralité".
Il a ajouté que dorénavant, la première personne concernée par les pourparlers autour du choix des ministres est le nouveau président du gouvernement.
Le quartet, a-t-il dit, ne propose pas de noms pour des postes de ministres mais pose des critères pour les occuper.
Les formalités juridiques: Présidence de la République, Présidence de l'ANC et enfin vote de la confiance au gouvernement en plénière
Concernant les procédures juridiques à suivre, Mahfoudh a fait savoir qu'après la formation du gouvernement, le parti disposant de la majorité au sein de l'assemblée nationale constituante (ANC) présentera le candidat à la présidence du
gouvernement et son équipe au Président de la République provisoire qui à son tour présentera le dossier de candidature au président de l'ANC qui le soumettra à la séance plénière pour le vote de confiance.
Tous ces délais et étapes sont définis dans l'article 15 de la loi relative à l'organisation provisoire des pouvoirs publics.
Le choix de Mehdi Jomâa (ministre de l'Industrie dans le gouvernement de Ali Laarayedh) pour la présidence du prochain gouvernement a été effectué après un vote qui s'est déroulé au cours de la séance plénière du dialogue national, tenue samedi au siège du ministère des droits de l'homme, au Bardo.
M. Mahfoudh a fait savoir qu'une réunion entre les partis participant au dialogue national se tiendra mercredi afin d'examiner les processus électoral, constitutionnel et gouvernemental.
Un nouveau gouvernement d'ici les deux prochaines semaines
S'agissant du processus gouvernemental, il a affirmé que "la formation du nouveau gouvernement conformément à la feuille de route aura lieu dans deux semaines", assurant que les parties concernées oeuvreront à ce que ce "délai ne dépasse pas les 10 jours".
Mahfoudh a fait remarquer, dans ce cadre, que "plusieurs parmi les personnes proposées pour occuper le poste de président du gouvernement pourront détenir des portefeuilles ministériels compte tenu de leur compétence et de leur
neutralité".
Il a ajouté que dorénavant, la première personne concernée par les pourparlers autour du choix des ministres est le nouveau président du gouvernement.
Le quartet, a-t-il dit, ne propose pas de noms pour des postes de ministres mais pose des critères pour les occuper.
Les formalités juridiques: Présidence de la République, Présidence de l'ANC et enfin vote de la confiance au gouvernement en plénière
Concernant les procédures juridiques à suivre, Mahfoudh a fait savoir qu'après la formation du gouvernement, le parti disposant de la majorité au sein de l'assemblée nationale constituante (ANC) présentera le candidat à la présidence du
gouvernement et son équipe au Président de la République provisoire qui à son tour présentera le dossier de candidature au président de l'ANC qui le soumettra à la séance plénière pour le vote de confiance.
Tous ces délais et étapes sont définis dans l'article 15 de la loi relative à l'organisation provisoire des pouvoirs publics.
Le choix de Mehdi Jomâa (ministre de l'Industrie dans le gouvernement de Ali Laarayedh) pour la présidence du prochain gouvernement a été effectué après un vote qui s'est déroulé au cours de la séance plénière du dialogue national, tenue samedi au siège du ministère des droits de l'homme, au Bardo.
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