Le Front de salut national (FSN) a célébré, samedi après-midi, la nouvelle Constitution par l'organisation d'une marche qui a démarré de la place Bab Saadoun en direction du Bardo, où les participants à cette manifestation se sont rassemblés.
La manifestation a été marquée par le salut au drapeau au son de l'hymne national, la diffusion de chants patriotiques et révolutionnaires, les allocutions des représentants des composantes du Front de salut et la projection de films documentaires.
Une "Constitution civile"
Hamma Hammami, porte-parole du Front populaire et membre du Front de salut national, a déclaré à cette occasion que "le meeting d'aujourd'hui conforte l'idée que l'action militante est la seule voie du changement", estimant que "le sit-in du départ du Bardo a pu vaincre le projet de Constitution du 1er juin 2013 qu'il a qualifié de "despotique" pour le remplacer par la "Constitution civile" du 26 janvier 2014.
Il a estimé que la version actuelle de la Constitution consacre la victoire du sit-in du départ et la fidélité au sang des martyrs Chokri Belaid, Mohamed Brahmi et Lotfi Nagdh, ainsi que tous les martyrs parmi les soldats, les sécuritaires et les
tunisiens qui ont milité et continuent à s'opposer à la dictature et à la corruption.
Il a souligné la nécessité de poursuivre le combat pour l'application des dispositions de la feuille de route dont la dissolution des ligues de protection de la révolution, critiquant la visite rendue par une délégation de l'Assemblée constituante auprès du ministre de l'Intérieur.
De son côté, le député Noomane Fehri a assuré que "le gouvernement de la Troïka a été contraint de partir grâce au sit-in du départ", affirmant que "cet esprit militant permettra de combattre le terrorisme et de poursuivre le long chemin et les multiples batailles qui attendent la Tunisie".
Plusieurs députés qui ont pris part au sit-in du départ, ont participé à la manifestation, notamment Mongi Rahoui, Salma Baccar, outre les familles des martyrs et des organisations de la société civile.
Le dialogue national avait créé quelques dissensions au sein du FSN, particulièrement sur le choix du nouveau Premier ministre. Ces différends ont conduit au retrait forcé d'Al Joumhouri du comité politique du Front composé par les partis de l'Union pour la Tunisie et ceux du Front populaire.
La manifestation a été marquée par le salut au drapeau au son de l'hymne national, la diffusion de chants patriotiques et révolutionnaires, les allocutions des représentants des composantes du Front de salut et la projection de films documentaires.
Une "Constitution civile"
Hamma Hammami, porte-parole du Front populaire et membre du Front de salut national, a déclaré à cette occasion que "le meeting d'aujourd'hui conforte l'idée que l'action militante est la seule voie du changement", estimant que "le sit-in du départ du Bardo a pu vaincre le projet de Constitution du 1er juin 2013 qu'il a qualifié de "despotique" pour le remplacer par la "Constitution civile" du 26 janvier 2014.
Il a estimé que la version actuelle de la Constitution consacre la victoire du sit-in du départ et la fidélité au sang des martyrs Chokri Belaid, Mohamed Brahmi et Lotfi Nagdh, ainsi que tous les martyrs parmi les soldats, les sécuritaires et les
tunisiens qui ont milité et continuent à s'opposer à la dictature et à la corruption.
Il a souligné la nécessité de poursuivre le combat pour l'application des dispositions de la feuille de route dont la dissolution des ligues de protection de la révolution, critiquant la visite rendue par une délégation de l'Assemblée constituante auprès du ministre de l'Intérieur.
De son côté, le député Noomane Fehri a assuré que "le gouvernement de la Troïka a été contraint de partir grâce au sit-in du départ", affirmant que "cet esprit militant permettra de combattre le terrorisme et de poursuivre le long chemin et les multiples batailles qui attendent la Tunisie".
Plusieurs députés qui ont pris part au sit-in du départ, ont participé à la manifestation, notamment Mongi Rahoui, Salma Baccar, outre les familles des martyrs et des organisations de la société civile.
Le dialogue national avait créé quelques dissensions au sein du FSN, particulièrement sur le choix du nouveau Premier ministre. Ces différends ont conduit au retrait forcé d'Al Joumhouri du comité politique du Front composé par les partis de l'Union pour la Tunisie et ceux du Front populaire.
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