Un avion militaire médicalisé libyen s'est écrasé dans la nuit de jeudi à vendredi en Tunisie dans la région de Grombalia (40 km au sud de Tunis), tuant ses onze passagers, selon la protection civile.
L'appareil est un Antonov 26, un avion bimoteur à hélice de conception soviétique, selon radio Mosaïque FM. Il s'est écrasé dans un champ aux abords du village de Nianou, a indiqué un photographe de l'AFP.
"L'avion a entièrement pris feu, la protection civile s'est rendue sur les lieux et a sorti les dépouilles calcinées" de l'épave, a-t-il ajouté.
Selon un représentant de la protection civile sur le site de l'accident, interrogé par le photographe de l'AFP, tout juste avant de disparaître des écrans radar, le pilote a indiqué à la tour de contrôle de l'aéroport de Tunis qu'il avait subi une panne de moteur.
"Selon le contrôleur aérien qui lui a parlé en dernier, le dernier message du pilote était +engine on fire+ c'est à dire +moteur en feu+", a ajouté le responsable.
Selon la police et les agents de la protection civile sur place, il s'agit d'un appareil médicalisé militaire libyen.
Il s'est écrasé dans un champ et a réussi a éviter les habitations, selon le journaliste. La queue de l'avion portant les couleurs libyennes était visible parmi les décombres éparpillés sur le site.
A l'aube, les pompiers et policiers tunisiens ont commencé les recherches pour tenter de trouver les boîtes noires susceptibles de déterminer les causes de l'accident, selon le photographe de l'AFP.
Les corps ont pour leur part été transportés vers un hôpital de la capitale tunisienne.
Un ex-leader islamiste libyen mort dans le crash
Un ancien membre du premier gouvernement libyen de transition et ex-leader islamiste radical, Meftah al-Mabrouk Issa al Dhawadi, était à bord de l'avion militaire médicalisé qui s'est écrasé vendredi avant l'aube près de Tunis, ont annoncé des sources officielles en
Libye.
Selon un communiqué du gouvernement, cheikh Dhawadi, ancien émir du groupe islamique combattant libyen (Gicl), interdit sous le régime de Mouammar Kadhafi renversé en 2011, était "malade" et en route pour Tunis pour des soins.
L'appareil est un Antonov 26, un avion bimoteur à hélice de conception soviétique, selon radio Mosaïque FM. Il s'est écrasé dans un champ aux abords du village de Nianou, a indiqué un photographe de l'AFP.
"L'avion est tombé à 01H30 (00H30 GMT) du matin (...) onze personnes étaient à son bord. Trois médecins, deux patients et six membres d'équipage", a dit le porte-parole de la protection civile, Mongi el-Kadhi.
"L'avion a entièrement pris feu, la protection civile s'est rendue sur les lieux et a sorti les dépouilles calcinées" de l'épave, a-t-il ajouté.
Selon un représentant de la protection civile sur le site de l'accident, interrogé par le photographe de l'AFP, tout juste avant de disparaître des écrans radar, le pilote a indiqué à la tour de contrôle de l'aéroport de Tunis qu'il avait subi une panne de moteur.
"Selon le contrôleur aérien qui lui a parlé en dernier, le dernier message du pilote était +engine on fire+ c'est à dire +moteur en feu+", a ajouté le responsable.
Selon la police et les agents de la protection civile sur place, il s'agit d'un appareil médicalisé militaire libyen.
Il s'est écrasé dans un champ et a réussi a éviter les habitations, selon le journaliste. La queue de l'avion portant les couleurs libyennes était visible parmi les décombres éparpillés sur le site.
A l'aube, les pompiers et policiers tunisiens ont commencé les recherches pour tenter de trouver les boîtes noires susceptibles de déterminer les causes de l'accident, selon le photographe de l'AFP.
Les corps ont pour leur part été transportés vers un hôpital de la capitale tunisienne.
Un ex-leader islamiste libyen mort dans le crash
Un ancien membre du premier gouvernement libyen de transition et ex-leader islamiste radical, Meftah al-Mabrouk Issa al Dhawadi, était à bord de l'avion militaire médicalisé qui s'est écrasé vendredi avant l'aube près de Tunis, ont annoncé des sources officielles en
Libye.
Selon un communiqué du gouvernement, cheikh Dhawadi, ancien émir du groupe islamique combattant libyen (Gicl), interdit sous le régime de Mouammar Kadhafi renversé en 2011, était "malade" et en route pour Tunis pour des soins.
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