Cela vous est déjà arrivé de vous réveiller en pleine nuit en sueur et en ayant l'impression que vous venez d'échapper de justesse à la mort. Malgré leur réputation, les cauchemars ne provoquent pas que de la peur, selon une nouvelle étude publiée dans la revue Sleep. Les sentiments de dégoût, de tristesse ou encore de culpabilité qui sont fréquents dans les mauvais rêves.
Pour savoir de quoi les cauchemars sont faits, les chercheurs de l’Université de Montréal ont décidé d'étudier les différents sentiments par lesquels passent une personne qui fait un cauchemar.
Afin de réaliser cette expérience, ces derniers ont analysé les 431 mauvais rêves et les 253 cauchemars, des 331 personnes participantes (principalement des femmes). Les participants ont tenu un journal dans lequel ils avaient pour devoir de noter à leur réveil tous les rêves qu'ils avaient fait la nuit pendant 2 à 5 semaines.
Les participants avant davantage tendance à prendre la plume après un cauchemar qu'après un mauvais rêve. Il n'y a pas de différence entre les hommes et les femmes, ni entre les âges des participants. Seule distinction à noter: les mauvais rêves des hommes tendent plus vers les catastrophes ou les guerres alors que les femmes sont plus dans les conflits interpersonnels.
"Les thèmes concernant l'agression physique et les conflits interpersonnels sont les plus fréquents, suivis par l'échec/l'impuissance, les préoccupations liées à la santé/la mort, et la crainte/inquiétude", ont constaté les chercheurs. Les cauchemars contiennent quant à eux, d'autres dimensionnions comme: l'agression physique, être chassé, les forces du mal...
Conclusion, même si la peur est présente dans les rapports des participants, d'autres émotions primaires sont également visibles. Par ailleurs, certains thèmes ne sont jamais signalés dans les carnets comme la suffocation ou la paralysie.
Pour savoir de quoi les cauchemars sont faits, les chercheurs de l’Université de Montréal ont décidé d'étudier les différents sentiments par lesquels passent une personne qui fait un cauchemar.
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Afin de réaliser cette expérience, ces derniers ont analysé les 431 mauvais rêves et les 253 cauchemars, des 331 personnes participantes (principalement des femmes). Les participants ont tenu un journal dans lequel ils avaient pour devoir de noter à leur réveil tous les rêves qu'ils avaient fait la nuit pendant 2 à 5 semaines.
Extrait d'un journal d'un participant: "Je suis dans un placard. Une bande de tissu blanche me force à m'accroupir. Au lieu de suspendre les vêtements, il y a de grandes et grotesques formes d'animaux en peluche comme des chats et des chiens avec des dents et des yeux ronds. Ils sont suspendus et viennent vers moi. Je ne sens pris au piège et j'ai peur".
Les participants avant davantage tendance à prendre la plume après un cauchemar qu'après un mauvais rêve. Il n'y a pas de différence entre les hommes et les femmes, ni entre les âges des participants. Seule distinction à noter: les mauvais rêves des hommes tendent plus vers les catastrophes ou les guerres alors que les femmes sont plus dans les conflits interpersonnels.
"Les thèmes concernant l'agression physique et les conflits interpersonnels sont les plus fréquents, suivis par l'échec/l'impuissance, les préoccupations liées à la santé/la mort, et la crainte/inquiétude", ont constaté les chercheurs. Les cauchemars contiennent quant à eux, d'autres dimensionnions comme: l'agression physique, être chassé, les forces du mal...
Conclusion, même si la peur est présente dans les rapports des participants, d'autres émotions primaires sont également visibles. Par ailleurs, certains thèmes ne sont jamais signalés dans les carnets comme la suffocation ou la paralysie.
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