Le vote d'adoption de la Constitution tunisienne aura lieu dimanche et non samedi comme annoncé plus tôt, a indiqué la députée Karima Souid, assesseur du président de la Constituante chargée de l'Information.
L'Assemblée nationale constituante (ANC), qui a achevé jeudi soir l'examen article par article du projet de Loi fondamentale, doit se réunir en plénière dimanche à 10h a-t-elle dit à l'AFP.
La Constituante se réunira par ailleurs samedi à 16h pour réformer les règles de la motion de censure. Il s'agit de rendre plus difficile la possibilité pour la Constituante de limoger le gouvernement d'indépendants qui doit entrer en fonction la semaine prochaine pour conduire le pays vers des élections en 2014.
La nature précise de ce changement faisait encore l'objet de négociations vendredi soir.
Vers 17h samedi, le ministre sortant de l'Industrie Mehdi Jomaâ doit présenter au président Moncef Marzouki un nouveau gouvernement apolitique. Le vote de confiance à l'Assemblée est prévu pour mardi, selon le parti islamiste Ennahdha, majoritaire à la Constituante.
Ennahdha a accepté de quitter le pouvoir et laisser des indépendants conduire la Tunisie vers des élections, afin de résoudre la longue crise politique provoquée par l'assassinat du député d'opposition Mohamed Brahmi en juillet.
L'Assemblée nationale constituante (ANC), qui a achevé jeudi soir l'examen article par article du projet de Loi fondamentale, doit se réunir en plénière dimanche à 10h a-t-elle dit à l'AFP.
La Constituante se réunira par ailleurs samedi à 16h pour réformer les règles de la motion de censure. Il s'agit de rendre plus difficile la possibilité pour la Constituante de limoger le gouvernement d'indépendants qui doit entrer en fonction la semaine prochaine pour conduire le pays vers des élections en 2014.
La nature précise de ce changement faisait encore l'objet de négociations vendredi soir.
Vers 17h samedi, le ministre sortant de l'Industrie Mehdi Jomaâ doit présenter au président Moncef Marzouki un nouveau gouvernement apolitique. Le vote de confiance à l'Assemblée est prévu pour mardi, selon le parti islamiste Ennahdha, majoritaire à la Constituante.
Ennahdha a accepté de quitter le pouvoir et laisser des indépendants conduire la Tunisie vers des élections, afin de résoudre la longue crise politique provoquée par l'assassinat du député d'opposition Mohamed Brahmi en juillet.