Le quart des fonds placés dans la filiale suisse de la HSBC révélé par l’affaire SwissLeaks émanent des pays arabes. L'examen de la liste des 203 pays révèle que le monde arabe a déposé, entre 2006 et 2007, rien que dans la HSBC Private Bank suisse, un total de 25,5 milliards de dollars.
Des simples anonymes aux souverains et personnalités notoires, les sommes déposée en deux ans dans cette banque sont faramineuses. Du Maroc à Oman et de la Syrie à la Mauritanie, il n'existe pas un seul pays arabe qui ne soit pas cité dans cette affaire.
Son compte, selon le même site, était connecté à celui de trois autres clients et engrangeait pas moins de 15,6 millions de dollars entre 2006 et 2008. Cet émir saoudien n'est pas le seul dignitaire arabe à être cité.
D'autres noms ont été dévoilés à l'instar du souverain hachémite de Jordanie, dont le pays compte 679 clients à la HSBC. Le roi Abdallah a déposé dans les coffres de la banque mise en cause, entre 2006 et 2007, 41,8 millions de dollars.
La Mauritanie reste, cependant le pays d'où proviennent les moins importants dépôts. La HSBC ne comptait que 21 Clients mauritaniens avec un cumul de fonds atteignant les 12 Millions de dollars.
Même si ces révélations ne signifient pas forcément que les personnes citées sont en infraction avec les législations de leurs propres pays, ces chiffres ramènent à l’inévitable interrogation : si les placements arabes dans la HSBC Private Bank suisse entre 2006 et 2007 ont atteint les 25,5 milliards de dollars, à combien s'élève donc le total des fonds arabes qui sommeillent dans des banques occidentales?
Des simples anonymes aux souverains et personnalités notoires, les sommes déposée en deux ans dans cette banque sont faramineuses. Du Maroc à Oman et de la Syrie à la Mauritanie, il n'existe pas un seul pays arabe qui ne soit pas cité dans cette affaire.
Au classement par importance de placement, le nom du premier pays arabe sur lequel on tombe en épluchant la liste de SwissLeaks est l'Arabie Saoudite. Le royaume saoudien occupe ainsi, la 11e place, avec 5,8 milliards de dollars et 1504 clients, dont le prince Bandar Bin Sultan Bin Abdelaziz.
Son compte, selon le même site, était connecté à celui de trois autres clients et engrangeait pas moins de 15,6 millions de dollars entre 2006 et 2008. Cet émir saoudien n'est pas le seul dignitaire arabe à être cité.
D'autres noms ont été dévoilés à l'instar du souverain hachémite de Jordanie, dont le pays compte 679 clients à la HSBC. Le roi Abdallah a déposé dans les coffres de la banque mise en cause, entre 2006 et 2007, 41,8 millions de dollars.
La Mauritanie reste, cependant le pays d'où proviennent les moins importants dépôts. La HSBC ne comptait que 21 Clients mauritaniens avec un cumul de fonds atteignant les 12 Millions de dollars.
Même si ces révélations ne signifient pas forcément que les personnes citées sont en infraction avec les législations de leurs propres pays, ces chiffres ramènent à l’inévitable interrogation : si les placements arabes dans la HSBC Private Bank suisse entre 2006 et 2007 ont atteint les 25,5 milliards de dollars, à combien s'élève donc le total des fonds arabes qui sommeillent dans des banques occidentales?
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