Vingt-trois ans. Il aura fallu vingt-trois ans aux Ivoiriens, pour qu'ils soient à nouveau champions.
Après les échecs de 2006 au Caire, de 2012 à Libreville, la troisième tentative a été la bonne.
Beaucoup de tension, et peu d'occasions
Par deux reprises, les Black Stars du Ghana touchent en effet les montants.
L'enjeu étant de taille, les contacts sont parfois rudes. Les deux pays voisins se séparent sur ce score de parité.
Une interminable séance de tirs aux buts
Entre lointaines frappes ghanéennes et timides incursions ivoiriennes, la rencontre suit son cours. La victoire n'a pas encore choisi son camp.
Dans ce stade de Bata où le orange-blanc-vert domine, Bony, puis Tello manquent leurs tentatives. Les Ghanéens prennent alors l'avantage, avant que leurs adversaires ne les rattrapent, puis les dépassent, grâce à l'invité de dernière minute, le gardien remplaçant: Copa Barry.
Malgré des "crampes" qui le font souffrir, le portier ivoirien réalise deux arrêts décisifs avant d'inscrire le tir au but victorieux.
Le stade exulte, Abidjan aussi...
Les larmes d'André Ayew, malheureux, n'y changent rien.
Celles de Barry, souvent critiqué, émeuvent la Toile qui célèbre ce trophée que les Ivoiriens attendaient depuis vingt-trois ans.
Après les échecs de 2006 au Caire, de 2012 à Libreville, la troisième tentative a été la bonne.
Beaucoup de tension, et peu d'occasions
C'est à Bata (le même stade que le quart de finale de la Tunisie) que Ghanéens et Ivoiriens jouent le remake de la finale de 92. Même si les hommes d'Hervé Renard mettent le pied sur le ballon, ce sont ceux d'Avram Grant qui sont les plus dangereux.
Par deux reprises, les Black Stars du Ghana touchent en effet les montants.
L'enjeu étant de taille, les contacts sont parfois rudes. Les deux pays voisins se séparent sur ce score de parité.
Une interminable séance de tirs aux buts
Entre lointaines frappes ghanéennes et timides incursions ivoiriennes, la rencontre suit son cours. La victoire n'a pas encore choisi son camp.
Comme en 92, et cette séance remportée par la Côte d'Ivoire (11-10), c'est la séance de tirs aux buts qui va départager les deux prétendants.
Dans ce stade de Bata où le orange-blanc-vert domine, Bony, puis Tello manquent leurs tentatives. Les Ghanéens prennent alors l'avantage, avant que leurs adversaires ne les rattrapent, puis les dépassent, grâce à l'invité de dernière minute, le gardien remplaçant: Copa Barry.
Malgré des "crampes" qui le font souffrir, le portier ivoirien réalise deux arrêts décisifs avant d'inscrire le tir au but victorieux.
Le stade exulte, Abidjan aussi...
Actuellement à Abidjan https://t.co/ZZAuqoldTu #CIVGHA #CAN2015
— Mansour Loum (@Mansour_Loum) 8 Février 2015
Les larmes d'André Ayew, malheureux, n'y changent rien.
Celles de Barry, souvent critiqué, émeuvent la Toile qui célèbre ce trophée que les Ivoiriens attendaient depuis vingt-trois ans.
[#CAN2015] Barry: "Je ne suis pas grand par la taille ni par le talent. Mais j'ai une pensée pour ma mère qui m'aime"
pic.twitter.com/DBbIU24iqa
— Footballogue (@Footballogue) 8 Février 2015
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