INTERNATIONAL - Souvent en ébullition ces derniers mois, avec le hashtag #stealthfreedom et ses femmes qui lèvent le voile sur la Toile, le web iranien est à nouveau à la une.
Fermé 24 heures, pour protestation
Cette fois-ci, un site d'information religieux, shiaonline , a décidé de fermer momentanément. Le but de cette manœuvre, qui dure 24 heures, est de lutter contre les mœurs de certaines iraniennes qui porteraient des tenues moins rigides, plus légères.
Ou encore, certaines qui montreraient leurs cheveux, avec un hijab négligemment posé sur les épaules.
Les rédacteurs du site ont voulu protester contre "ces signes de liberté".
Les Iraniens se battent (toujours) pour leurs libertés
Il y a quelques jours, l'Iran avait déjà fait parler de lui avec un concours de caricatures sur l'Holocauste . Quand l'Etat attaque, resserre l'étau, les citoyens contre-attaquent.
En Iran, la contestation passe souvent par le Web. Ce fut récemment le cas pour cette jeune Iranienne qui dansait dans le métro, s'affranchissant ainsi des lois iraniennes.
Ou encore de ces autres jeunes, avec leur vidéo Happy, qui avaient été condamnés, à des peines de prison avec sursis et des coups de fouet.
Parfois, ce sont des signes extérieur de richesse et non de liberté qui s'affichent sur le Net. Avec l'exemple de "Rich Kids Of Teheran".
Au pays des Ayatollah, les griffes sont encore acérées.
Fermé 24 heures, pour protestation
Cette fois-ci, un site d'information religieux, shiaonline , a décidé de fermer momentanément. Le but de cette manœuvre, qui dure 24 heures, est de lutter contre les mœurs de certaines iraniennes qui porteraient des tenues moins rigides, plus légères.
Ou encore, certaines qui montreraient leurs cheveux, avec un hijab négligemment posé sur les épaules.
Les rédacteurs du site ont voulu protester contre "ces signes de liberté".
Les Iraniens se battent (toujours) pour leurs libertés
Il y a quelques jours, l'Iran avait déjà fait parler de lui avec un concours de caricatures sur l'Holocauste . Quand l'Etat attaque, resserre l'étau, les citoyens contre-attaquent.
En Iran, la contestation passe souvent par le Web. Ce fut récemment le cas pour cette jeune Iranienne qui dansait dans le métro, s'affranchissant ainsi des lois iraniennes.
Ou encore de ces autres jeunes, avec leur vidéo Happy, qui avaient été condamnés, à des peines de prison avec sursis et des coups de fouet.
Parfois, ce sont des signes extérieur de richesse et non de liberté qui s'affichent sur le Net. Avec l'exemple de "Rich Kids Of Teheran".
Sur Instagram, les jeunes hommes affichaient entre autres voitures et montres de luxe, tandis que les jeunes iraniennes elles apparaissaient en tenues chic et sans voile, contrairement aux lois en vigueur.
Au pays des Ayatollah, les griffes sont encore acérées.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.