Fixée dans un premier temps au mardi 27 janvier puis annulée, la séance plénière consacrée au vote de confiance au gouvernement Essid devrait finalement se tenir le 4 février prochain.
Face à la multiplications des déclarations de partis politiques hostiles à la composition du gouvernement telle que Habib Essid l'a annoncée le 23 janvier, la date de la plénière avait été reportée à une date ultérieure.
Selon les dispositions de la Constitution, Habib Essid, candidat de Nida Tounes au poste de chef du gouvernement, avait un mois renouvelable pour former son équipe avant de la proposer au vote à l'Assemblée. Théoriquement, rien ne l'empêche de modifier la composition de son équipe avant la séance plénière.
Pour pouvoir entrer en fonction, ce gouvernement doit obtenir le vote favorable d'au moins 109 députés sur les 217 membres de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP), soit la majorité absolue. Dans cette configuration, une abstention ou une absence ont le même effet qu'un vote contre.
Depuis le report du vote, Habib Essid et Nida Tounes ont repris les pourparlers avec les partis politiques, particulièrement Ennahdha et Afek Tounes, afin de parvenir au consensus qui lui permettrait au nouveau gouvernement d'obtenir les voix requises.
Dans le cas où cette majorité n'est pas obtenue, le président de la République, Béji Caïd Essebsi, devra consulter les différents partis politiques et désigner la personnalité la plus apte à former un gouvernement.
Face à la multiplications des déclarations de partis politiques hostiles à la composition du gouvernement telle que Habib Essid l'a annoncée le 23 janvier, la date de la plénière avait été reportée à une date ultérieure.
LIRE AUSSI: La position des partis politiques représentés à l'Assemblée au sujet du gouvernement Essid
Selon les dispositions de la Constitution, Habib Essid, candidat de Nida Tounes au poste de chef du gouvernement, avait un mois renouvelable pour former son équipe avant de la proposer au vote à l'Assemblée. Théoriquement, rien ne l'empêche de modifier la composition de son équipe avant la séance plénière.
Pour pouvoir entrer en fonction, ce gouvernement doit obtenir le vote favorable d'au moins 109 députés sur les 217 membres de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP), soit la majorité absolue. Dans cette configuration, une abstention ou une absence ont le même effet qu'un vote contre.
Depuis le report du vote, Habib Essid et Nida Tounes ont repris les pourparlers avec les partis politiques, particulièrement Ennahdha et Afek Tounes, afin de parvenir au consensus qui lui permettrait au nouveau gouvernement d'obtenir les voix requises.
Dans le cas où cette majorité n'est pas obtenue, le président de la République, Béji Caïd Essebsi, devra consulter les différents partis politiques et désigner la personnalité la plus apte à former un gouvernement.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.