INTERNATIONAL - En Arabie saoudite, l'auteur d'une vidéo montrant la décapitation d'une femme reconnue coupable d'avoir torturé sa belle-fille jusqu'à la mort, a été arrêté, ont annoncé samedi des médias saoudiens.
En effet, l'histoire a circulé partout dans le monde: une femme d'origine birmane reconnue coupable du meurtre d'une fille a été exécutée le 12 janvier à la Mecque.
La justice saoudienne l’a jugée coupable d’avoir torturé, agressé sexuellement et tué sa belle-fille de sept ans, rapporte le site saoudien Al Riadh.com.
La mise à mort a été filmée par une personne présente sur place. Quelques jours après la décapitation, la vidéo mise en ligne a été largement diffusée sur internet.
Samedi, des médias saoudiens ont annoncé que la police de la Mecque a arrêté la personne qui a filmé la scène.
Selon le quotidien Okadh "il s'est avéré que l'homme qui a filmé la scène est un agent de sécurité chargé de l'organisation".
Toujours d'après le quotidien, il sera soumis à un jugement militaire et un autre juridique, après l'enquête.
Plusieurs internautes ont demandé sur un compte twitter en Arabie Saoudite "de juger l'homme qui a filmé l'exécution de la Birmane".
Traduction: "Bref si vous ne supportez pas ces scènes, vous n'êtes pas obligé de les regarder. Mais ne sympathisez pas avec le criminel contre le jugement d'Allah"
Mêmes si l’Arabie saoudite a ratifié en 1997 la Convention contre la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, elle est, selon Human Righs Watch, un pays où les exécutions sont en forte hausse. Le nombre des exécutions est passé de 78 en 2013 à 87 en 2014.
En effet, l'histoire a circulé partout dans le monde: une femme d'origine birmane reconnue coupable du meurtre d'une fille a été exécutée le 12 janvier à la Mecque.
La justice saoudienne l’a jugée coupable d’avoir torturé, agressé sexuellement et tué sa belle-fille de sept ans, rapporte le site saoudien Al Riadh.com.
La mise à mort a été filmée par une personne présente sur place. Quelques jours après la décapitation, la vidéo mise en ligne a été largement diffusée sur internet.
Samedi, des médias saoudiens ont annoncé que la police de la Mecque a arrêté la personne qui a filmé la scène.
Selon le quotidien Okadh "il s'est avéré que l'homme qui a filmé la scène est un agent de sécurité chargé de l'organisation".
Toujours d'après le quotidien, il sera soumis à un jugement militaire et un autre juridique, après l'enquête.
"Dans la vidéo, on voit plusieurs policiers la maintenir à terre en pleine rue. Elle clame son innocence et hurle à l’injustice jusqu’à la fin. Un homme la frappe trois fois au cou avec un sabre. Les hurlements de la femme cessent dès le premier coup", rapportait France 24 à propos de la séquence.
Plusieurs internautes ont demandé sur un compte twitter en Arabie Saoudite "de juger l'homme qui a filmé l'exécution de la Birmane".
#مطالبة_بمحاسبة_مصور_قصاص_البرماوية
و بإختصار إذا كنت لا تحتمل هذه المشاهد لست مجبر على رؤيتها .. لكن لا تتعاطف مع مجرمه ضد حدود الله .
— ساره آل وليد (@Sarahsoo1990) 16 Janvier 2015
Mêmes si l’Arabie saoudite a ratifié en 1997 la Convention contre la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, elle est, selon Human Righs Watch, un pays où les exécutions sont en forte hausse. Le nombre des exécutions est passé de 78 en 2013 à 87 en 2014.
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