Le ministère tunisien des Affaires religieuses a dénoncé la tuerie de Charlie Hebdo qu'il a qualifiée d'"acte criminel, dénué de tout sentiment et de valeurs humaines", mais a appelé "les journalistes" à "éviter de porter atteinte aux religions".
"Ce genre d’actes terroristes n’a rien à voir avec l’Islam et va à l'encontre des valeurs universelles" a affirmé le ministère mercredi 7 janvier, quelques heures après le massacre.
L'institution dénonce toute agression portant atteinte aux "innocents", quelles que soient leur religion ou leur position.
Charlie Hebdo était accusé par certains d'insulter le prophète Mahomet par des caricatures et des dessins "blasphématoires". La tuerie dans le siège de l'hebdomadaire serait motivée par "une vengeance" religieuse: "Nous avons vengé le prophète!" criaient les tueurs, d'après des témoins.
"L'acte de tuer est l'un des plus grands interdits" selon la religion musulmane, indique le ministère tunisien pour condamner cette tuerie.
Face aux menaces intégristes, Charb, directeur de Charlie Hebdo assassiné dans l'attaque de mercredi, invoquait la liberté d'expression.
"Ce genre d’actes terroristes n’a rien à voir avec l’Islam et va à l'encontre des valeurs universelles" a affirmé le ministère mercredi 7 janvier, quelques heures après le massacre.
L'institution dénonce toute agression portant atteinte aux "innocents", quelles que soient leur religion ou leur position.
Charlie Hebdo était accusé par certains d'insulter le prophète Mahomet par des caricatures et des dessins "blasphématoires". La tuerie dans le siège de l'hebdomadaire serait motivée par "une vengeance" religieuse: "Nous avons vengé le prophète!" criaient les tueurs, d'après des témoins.
"L'acte de tuer est l'un des plus grands interdits" selon la religion musulmane, indique le ministère tunisien pour condamner cette tuerie.
Pour autant, il appelle "les journalistes" du monde entier à "respecter la déontologie du journalisme" et à "éviter de porter atteinte aux religions et de traiter le sacré d'une façon qui pourrait heurter les sensibilités".
Face aux menaces intégristes, Charb, directeur de Charlie Hebdo assassiné dans l'attaque de mercredi, invoquait la liberté d'expression.
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