L’attaque contre l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo qui a fait douze morts à Paris suscitait mercredi le choc et l’horreur au sein de la communauté internationale, qui a multiplié les messages de soutien à la France.
Premier à réagir, le chef du gouvernement britannique David Cameron a dénoncé des «meurtres révoltants» sur son compte twitter.
"Nous nous tenons aux côtés du peuple français dans le combat contre le terrorisme et pour la défense de la liberté de la presse", a-t-il ajouté avant, quelques minutes plus tard, d’ouvrir la session hebdomadaire de questions devant le Parlement britannique en appelant à l’union avec la France face au terrorisme et pour la démocratie.
"Si les détails ne sont pas encore clairs, je sais que cette chambre et ce pays se tiennent unis avec le peuple français dans notre opposition à toutes les formes de terrorisme et dans la défense de la liberté d’expression et de la démocratie. Et ces gens ne pourront jamais nous ôter ces valeurs", a-t-il dit.
Outre-Atlantique, la Maison Blanche a condamné "dans les termes les plus forts" cette attaque.
"Toute la Maison Blanche est solidaire des familles de ceux qui ont été tués ou blessés dans cette attaque", a déclaré Josh Earnest, porte-parole du président américain Barack Obama, sur la chaîne de télévision MSNBC.
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a dénoncé «un acte intolérable, une barbarie". "Je suis profondément choqué par l’attaque brutale et inhumaine qui a frappé les locaux de Charlie Hebdo. C’est un acte intolérable, une barbarie qui nous interpelle tous en tant qu’êtres humains et qu’Européens", a-t-il réagi dans un communiqué.
La chancelière allemande Angela Merkel, attendue dans l’après-midi à Londres, a qualifié l’attentat d'"abominable".
Le Premier ministre belge, Charles Michel, a parlé de "choc, consternation et effroi" face à l’attaque. "Toutes mes pensées vers les victimes et leurs proches", a-t-il ajouté.
Le chef du gouvernement italien Matteo Renzi a publié sur son compte Twitter : "Horreur et consternation pour le massacre de Paris, solidarité totale avec Hollande en ce moment terrible, la violence perdra toujours contre la liberté".
Le Premier ministre finlandais Alexander Stubb a "vigoureusement condamné l’horrible fusillade", appelant tout le monde à "se dresser pour la liberté de parole et d’expression".
En Turquie, le ministre du Tourisme et de la Culture Omer Celik a réagi sur CNN Türk en dénonçant "une attaque lâche". "C’est un attentat commis contre l’humanité. Cette attaque aura d’importantes répercussions en politique et dans les sociétés du monde entier", a-t-il dit avant d’ajouter qu’il rejetait "tout amalgame entre l’islam et cette lâche attaque".
"On ne peut pas défendre l’islam avec un tel massacre. Cette attaque a pour objectif de renforcer la perception négative à l’égard des étrangers et des musulmans dans le climat actuel qui règne en Europe où l’islamophobie et le racisme montent", a-t-il dit.
Premier à réagir, le chef du gouvernement britannique David Cameron a dénoncé des «meurtres révoltants» sur son compte twitter.
"Nous nous tenons aux côtés du peuple français dans le combat contre le terrorisme et pour la défense de la liberté de la presse", a-t-il ajouté avant, quelques minutes plus tard, d’ouvrir la session hebdomadaire de questions devant le Parlement britannique en appelant à l’union avec la France face au terrorisme et pour la démocratie.
"Si les détails ne sont pas encore clairs, je sais que cette chambre et ce pays se tiennent unis avec le peuple français dans notre opposition à toutes les formes de terrorisme et dans la défense de la liberté d’expression et de la démocratie. Et ces gens ne pourront jamais nous ôter ces valeurs", a-t-il dit.
Outre-Atlantique, la Maison Blanche a condamné "dans les termes les plus forts" cette attaque.
"Toute la Maison Blanche est solidaire des familles de ceux qui ont été tués ou blessés dans cette attaque", a déclaré Josh Earnest, porte-parole du président américain Barack Obama, sur la chaîne de télévision MSNBC.
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a dénoncé «un acte intolérable, une barbarie". "Je suis profondément choqué par l’attaque brutale et inhumaine qui a frappé les locaux de Charlie Hebdo. C’est un acte intolérable, une barbarie qui nous interpelle tous en tant qu’êtres humains et qu’Européens", a-t-il réagi dans un communiqué.
La chancelière allemande Angela Merkel, attendue dans l’après-midi à Londres, a qualifié l’attentat d'"abominable".
Le Premier ministre belge, Charles Michel, a parlé de "choc, consternation et effroi" face à l’attaque. "Toutes mes pensées vers les victimes et leurs proches", a-t-il ajouté.
Le chef du gouvernement italien Matteo Renzi a publié sur son compte Twitter : "Horreur et consternation pour le massacre de Paris, solidarité totale avec Hollande en ce moment terrible, la violence perdra toujours contre la liberté".
Le Premier ministre finlandais Alexander Stubb a "vigoureusement condamné l’horrible fusillade", appelant tout le monde à "se dresser pour la liberté de parole et d’expression".
En Turquie, le ministre du Tourisme et de la Culture Omer Celik a réagi sur CNN Türk en dénonçant "une attaque lâche". "C’est un attentat commis contre l’humanité. Cette attaque aura d’importantes répercussions en politique et dans les sociétés du monde entier", a-t-il dit avant d’ajouter qu’il rejetait "tout amalgame entre l’islam et cette lâche attaque".
"On ne peut pas défendre l’islam avec un tel massacre. Cette attaque a pour objectif de renforcer la perception négative à l’égard des étrangers et des musulmans dans le climat actuel qui règne en Europe où l’islamophobie et le racisme montent", a-t-il dit.
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