Dans un entretien accordé à la chaîne France 24, le chef du gouvernement Mehdi Jomâa a affirmé qu'il comptait "passer le relais" au prochain gouvernement.
Actuellement en visite en France, Mehdi Jomâa a notamment évoqué son bilan contre "la menace terroriste":
"On n'est jamais apolitique"
Interrogé sur la dimension apolitique de son gouvernement, M. Jomâa a indiqué que "la politique partisane, la politique de combine c'est pas mon fort, c'est pas mon souhait et j'ai jamais voulu faire ça".
"Mais on n'est jamais apolitique. La politique de réflexion, d'analyse (...) de la réflexion stratégique j'ai toujours aimé mais pas la politique partisane", a-t-il ajouté.
Mehdi Jomâa avait été désigné en décembre 2013 pour être chef du gouvernement en marge du dialogue national.
Il avait été présenté à l'époque comme "apolitique".
Concernant son avenir, le chef du gouvernement sortant ne se voit pas "rester en politique":
"J'ai respecté mes engagements qui consistaient à finir ma mission et à partir (...) Partir c'est aussi exercer la démocratie (...) Je définis ce nouveau système politique comme une course de relais. Il faut que chaque coureur coure vite mais il faut aussi bien passer le relais".
Dans un entretien avec l'agence AFP datant du 2 janvier, M. Jomâa avait confirmé qu'on lui avait proposé de "mener le prochain gouvernement":
M. Jomâa a d'autre part indiqué que ses voyages en France et aux Etats-Unis tendent à faire passer un message positif aux touristes et aux investisseurs: "On a réussi notre transition" :
"La Tunisie est une opportunité d'investissement. C'est le moment de revenir en masse pour saisir cette opportunité", a-t-il déclaré.
Actuellement à Paris, Mehdi Jomâa a rencontré le premier ministre français Manuel Valls. Il effectuera les 6 et 7 Janvier une visite de travail aux Etats-Unis, au cours de laquelle il rencontrera le secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki-moon, la directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI), Christine Lagarde et le président de la Banque Mondiale, M. Jim Yong Kim.
Actuellement en visite en France, Mehdi Jomâa a notamment évoqué son bilan contre "la menace terroriste":
"On a mis en place des institutions qui permettront demain d'aborder cette question avec beaucoup plus de structure et de professionalisme".
"On n'est jamais apolitique"
Interrogé sur la dimension apolitique de son gouvernement, M. Jomâa a indiqué que "la politique partisane, la politique de combine c'est pas mon fort, c'est pas mon souhait et j'ai jamais voulu faire ça".
"Mais on n'est jamais apolitique. La politique de réflexion, d'analyse (...) de la réflexion stratégique j'ai toujours aimé mais pas la politique partisane", a-t-il ajouté.
Mehdi Jomâa avait été désigné en décembre 2013 pour être chef du gouvernement en marge du dialogue national.
Il avait été présenté à l'époque comme "apolitique".
"J'ai pris conscience dès le début que la période passée est le moment le plus politique de l'Histoire (de la Tunisie) mais c'était bien de l'aborder avec une image apolitique", a-t-il ajouté.
Concernant son avenir, le chef du gouvernement sortant ne se voit pas "rester en politique":
"J'ai respecté mes engagements qui consistaient à finir ma mission et à partir (...) Partir c'est aussi exercer la démocratie (...) Je définis ce nouveau système politique comme une course de relais. Il faut que chaque coureur coure vite mais il faut aussi bien passer le relais".
Dans un entretien avec l'agence AFP datant du 2 janvier, M. Jomâa avait confirmé qu'on lui avait proposé de "mener le prochain gouvernement":
"Oui, on m'a sollicité (pour mener le prochain gouvernement) et ma réponse est toujours la même (...): je ne suis pas concerné. Moi, je suis venu pour une mission qui était inscrite dans le temps et le contenu", a-t-il assuré.
M. Jomâa a d'autre part indiqué que ses voyages en France et aux Etats-Unis tendent à faire passer un message positif aux touristes et aux investisseurs: "On a réussi notre transition" :
"La Tunisie est une opportunité d'investissement. C'est le moment de revenir en masse pour saisir cette opportunité", a-t-il déclaré.
Actuellement à Paris, Mehdi Jomâa a rencontré le premier ministre français Manuel Valls. Il effectuera les 6 et 7 Janvier une visite de travail aux Etats-Unis, au cours de laquelle il rencontrera le secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki-moon, la directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI), Christine Lagarde et le président de la Banque Mondiale, M. Jim Yong Kim.
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