INTERNATIONAL - Israël s'est dit "satisfait" mercredi du rejet par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution palestinienne réclamant la fin de l'occupation israélienne des Territoires palestiniens d'ici deux ans.
Dans la nuit, la résolution palestinienne prévoyant un accord de paix israélo-palestinien d'ici un an et le retrait d'Israël des Territoires occupés avant fin 2017 a recueilli 8 voix alors qu'elle devait en réunir 9 sur les 15 du Conseil, pour être adoptée.
La France, la Chine et la Russie, tous trois membres permanents du Conseil, ont voté pour, l'Australie et les Etats-Unis, proches alliés d'Israël, ont voté contre. Le Royaume-Uni s'est abstenu.
"L'échec de la résolution doit apprendre aux Palestiniens que les provocations et les tentatives d'imposer des mesures unilatérales à Israël ne les mèneront nulle part", a pour sa part estimé le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman.
"C'est également une victoire pour l'approche israélienne qui consiste à dire que seules des négociations directes sans conditions préalables peuvent permettre, à supposer que cela soit possible, un compromis historique", a-t-il poursuivi.
Pour un commentateur de la radio publique, "Israël a évité un fiasco, mais il ne s'agit que d'une victoire à court terme" car "les pressions internationales vont se poursuivre".
Les Palestiniens ont prévenu qu'en cas de rejet de leur résolution ils chercheraient notamment à rejoindre la Cour pénale internationale afin d'y mettre en accusation les responsables israéliens pour "crimes de guerre" à Gaza.
"Tout Israélien qui souhaite une paix avec nos voisins ne peut être que satisfait des résultats de ce vote", a affirmé à la radio publique le vice-ministre des Affaires étrangères Tzahi Hanegbi.
Dans la nuit, la résolution palestinienne prévoyant un accord de paix israélo-palestinien d'ici un an et le retrait d'Israël des Territoires occupés avant fin 2017 a recueilli 8 voix alors qu'elle devait en réunir 9 sur les 15 du Conseil, pour être adoptée.
La France, la Chine et la Russie, tous trois membres permanents du Conseil, ont voté pour, l'Australie et les Etats-Unis, proches alliés d'Israël, ont voté contre. Le Royaume-Uni s'est abstenu.
"L'échec de la résolution doit apprendre aux Palestiniens que les provocations et les tentatives d'imposer des mesures unilatérales à Israël ne les mèneront nulle part", a pour sa part estimé le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman.
"Ce vote a porté un coup aux efforts (du président palestinien) Mahmoud Abbas pour nous plonger dans l'embarras et nous isoler", a ajouté Tzahi Hanegbi, un proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
"C'est également une victoire pour l'approche israélienne qui consiste à dire que seules des négociations directes sans conditions préalables peuvent permettre, à supposer que cela soit possible, un compromis historique", a-t-il poursuivi.
Pour un commentateur de la radio publique, "Israël a évité un fiasco, mais il ne s'agit que d'une victoire à court terme" car "les pressions internationales vont se poursuivre".
Les Palestiniens ont prévenu qu'en cas de rejet de leur résolution ils chercheraient notamment à rejoindre la Cour pénale internationale afin d'y mettre en accusation les responsables israéliens pour "crimes de guerre" à Gaza.
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