Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué lundi le meurtre d'un haut gradé iranien tué en Irak alors qu'il conseillait les forces armées dans la lutte antijihadistes, selon des sites islamistes.
Dimanche, les gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, a annoncé la mort du général de brigade Irak "tombé en martyr" lors d'une mission pour conseiller l'armée et les volontaires irakiens contre l'EI à Samarra (110 km au nord de Bagdad).
L'un des forums qui diffusent les communiqués des groupes jihadistes a publié une photo de la victime en compagnie de trois autres personnes sur laquelle la tête du militaire iranien était marqué d'un cercle rouge avec comme inscription: "Photo du mécréant Hamid Taghavi qui a été liquidé par les hommes de l'EI dans la région de Samarra".
Sur le forum a aussi été publié une autre photo montrant seulement la tête du général de brigade iranien.
L'EI n'a pas précisé comment le militaire iranien avait été tué. Son corps a été rapatrié en Iran et ses funérailles sont prévues lundi.
Téhéran a longtemps nié avoir une quelconque présence militaire en Irak, avant d'admettre avoir envoyé des armes et des conseillers militaires. Mais l'Iran ne participe pas à la coalition internationale anti-jihadistes menée par les Etats-Unis.
Selon la presse iranienne, plusieurs militaires ont déjà trouvé la mort en Irak, mais aussi en Syrie, lors de missions pour aider les armées de ces deux pays contre les jihadistes.
Et les médias iraniens ont publié des photos du général Ghassem Souleimani, chef de la Force Qods, une unité d'élite des Gardiens de la révolution, aux côtés de combattants kurdes irakiens mais aussi de militaires irakiens et de groupes de miliciens.
Le gouvernement iranien, chiite, entretient des liens étroits avec les autorités, majoritairement chiites, de Bagdad. Le Premier ministre irakien Haïdar al-Abadi, s'était rendu à Téhéran fin octobre, et le président du parlement iranien, Ali Larijani, vient de se rendre en Irak. Lundi, le ministre irakien de la Défense Khaled al-Obeidi est attendu à Téhéran.
Dimanche, les gardiens de la révolution, l'armée d'élite du régime iranien, a annoncé la mort du général de brigade Irak "tombé en martyr" lors d'une mission pour conseiller l'armée et les volontaires irakiens contre l'EI à Samarra (110 km au nord de Bagdad).
L'un des forums qui diffusent les communiqués des groupes jihadistes a publié une photo de la victime en compagnie de trois autres personnes sur laquelle la tête du militaire iranien était marqué d'un cercle rouge avec comme inscription: "Photo du mécréant Hamid Taghavi qui a été liquidé par les hommes de l'EI dans la région de Samarra".
Sur le forum a aussi été publié une autre photo montrant seulement la tête du général de brigade iranien.
L'EI n'a pas précisé comment le militaire iranien avait été tué. Son corps a été rapatrié en Iran et ses funérailles sont prévues lundi.
Téhéran a longtemps nié avoir une quelconque présence militaire en Irak, avant d'admettre avoir envoyé des armes et des conseillers militaires. Mais l'Iran ne participe pas à la coalition internationale anti-jihadistes menée par les Etats-Unis.
Selon la presse iranienne, plusieurs militaires ont déjà trouvé la mort en Irak, mais aussi en Syrie, lors de missions pour aider les armées de ces deux pays contre les jihadistes.
Et les médias iraniens ont publié des photos du général Ghassem Souleimani, chef de la Force Qods, une unité d'élite des Gardiens de la révolution, aux côtés de combattants kurdes irakiens mais aussi de militaires irakiens et de groupes de miliciens.
Le gouvernement iranien, chiite, entretient des liens étroits avec les autorités, majoritairement chiites, de Bagdad. Le Premier ministre irakien Haïdar al-Abadi, s'était rendu à Téhéran fin octobre, et le président du parlement iranien, Ali Larijani, vient de se rendre en Irak. Lundi, le ministre irakien de la Défense Khaled al-Obeidi est attendu à Téhéran.
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