Un retraité tunisien de 68 ans est mort samedi matin dans le foyer où il résidait, violemment "roué de coups" par un jeune compatriote d'une vingtaine d'années, qui a été arrêté, a-t-on appris auprès de la police.
Alertée par un résident qui a entendu les cris de la victime, la police est arrivée rapidement sur les lieux vers 6h30 du matin et a maîtrisé le meurtrier présumé, encore sur place.
La Sûreté départementale des Alpes-Maritimes n'était pas encore en mesure samedi de donner des précisions sur les circonstances du meurtre et son motif.
Devant ce foyer Adoma, situé dans un quartier tranquille de l'est de Nice et où vivent beaucoup d'hommes à la retraite, des proches d'Ahmed Ben Abbess ont rendu hommage à un homme "sérieux, sans histoire", qui a travaillé dans le bâtiment en France à partir de 1968 avant d'avoir un permis de résident en 1973. Les genoux abîmés par son ancien métier, le retraité de 68 ans marchait avec des béquilles. Il était père de huit enfants, qui vivent en Tunisie.
Selon Abdelmajid, l'un des cousins de la victime, Ahmed possédait les clefs de la salle de prière du rez-de-chaussée qu'il venait ouvrir très tôt le matin. Ses cris auraient réveillé les habitants de la résidence.
Le meurtrier présumé n'était pas un résident du foyer. "Certains disent qu'il dormait parfois dans l'ascenseur. Ahmed l'aurait-il bousculé en ouvrant la porte?", s'est interrogé son cousin.
Alertée par un résident qui a entendu les cris de la victime, la police est arrivée rapidement sur les lieux vers 6h30 du matin et a maîtrisé le meurtrier présumé, encore sur place.
La Sûreté départementale des Alpes-Maritimes n'était pas encore en mesure samedi de donner des précisions sur les circonstances du meurtre et son motif.
Devant ce foyer Adoma, situé dans un quartier tranquille de l'est de Nice et où vivent beaucoup d'hommes à la retraite, des proches d'Ahmed Ben Abbess ont rendu hommage à un homme "sérieux, sans histoire", qui a travaillé dans le bâtiment en France à partir de 1968 avant d'avoir un permis de résident en 1973. Les genoux abîmés par son ancien métier, le retraité de 68 ans marchait avec des béquilles. Il était père de huit enfants, qui vivent en Tunisie.
Selon Abdelmajid, l'un des cousins de la victime, Ahmed possédait les clefs de la salle de prière du rez-de-chaussée qu'il venait ouvrir très tôt le matin. Ses cris auraient réveillé les habitants de la résidence.
Le meurtrier présumé n'était pas un résident du foyer. "Certains disent qu'il dormait parfois dans l'ascenseur. Ahmed l'aurait-il bousculé en ouvrant la porte?", s'est interrogé son cousin.
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