Le Fonds monétaire international (FMI) a accordé vendredi une nouvelle tranche de prêt de 105 millions de dollars à la Tunisie, dans le cadre du plan d'aide destiné à soutenir la transition politique du pays.
Le feu vers du conseil d'administration du FMI porte à 1,15 milliard de dollars le montant alloué à la Tunisie depuis juin 2013, a indiqué l'institution dans un communiqué.
Au centre du Printemps arabe, la Tunisie avait alors obtenu une ligne de crédit totale de 1,7 milliard de dollars (environ 2,8 milliards de dinars) sur deux ans.
Le second tour de l'élection présidentielle opposera le 21 décembre le président tunisien sortant Moncef Marzouki au chef du parti anti-islamiste Nida Tounes, Béji Caïd Essebsi.
L'ex-Premier ministre Béji Caïd Essebsi est arrivé en tête avec 39,46% des suffrages, devançant de six points le chef de l'Etat (33,43%) à l'issue du premier tour du 23 novembre.
Il appelle également à réduire les subventions dans le secteur de l'énergie et à contrôler la masse salariale dans le secteur public. Une politique monétaire plus stricte devrait aider à contenir les pressions inflationnistes, a encore ajouté ce responsable.
Le feu vers du conseil d'administration du FMI porte à 1,15 milliard de dollars le montant alloué à la Tunisie depuis juin 2013, a indiqué l'institution dans un communiqué.
Au centre du Printemps arabe, la Tunisie avait alors obtenu une ligne de crédit totale de 1,7 milliard de dollars (environ 2,8 milliards de dinars) sur deux ans.
"La Tunisie a accompli une transition politique réussie tout en traversant un environnement difficile au niveau intérieur comme extérieur", a affirmé un responsable du Fonds monétaire dans un communiqué.
Le second tour de l'élection présidentielle opposera le 21 décembre le président tunisien sortant Moncef Marzouki au chef du parti anti-islamiste Nida Tounes, Béji Caïd Essebsi.
L'ex-Premier ministre Béji Caïd Essebsi est arrivé en tête avec 39,46% des suffrages, devançant de six points le chef de l'Etat (33,43%) à l'issue du premier tour du 23 novembre.
"L'économie tunisienne s'est bien reprise même si les déséquilibres budgétaire et extérieur, le fort taux de chômage et les fragilités bancaires croissantes demandent de s'atteler à la mise en place de réformes", a souligné ce responsable du FMI.
Il appelle également à réduire les subventions dans le secteur de l'énergie et à contrôler la masse salariale dans le secteur public. Une politique monétaire plus stricte devrait aider à contenir les pressions inflationnistes, a encore ajouté ce responsable.
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