Les agences humanitaires des Nations Unies veulent aider 57,7 millions de personnes en 2015, un chiffre record qui met en difficulté leurs capacités et elles ont besoin pour cela de 16,4 milliards de dollars, selon l'appel pour l'aide humanitaire lancé lundi à Genève.
"L'augmentation croissante des besoins dépasse notre capacité de réponse", a souligné Valerie Amos, secrétaire générale adjointe pour les affaires humanitaires et la coordination des secours d'urgence.
Elle a par ailleurs annoncé que l'appel d'urgence lancé la semaine dernière par le Programme alimentaire mondial (PAM) pour éviter la suspension de l'aide alimentaire aux réfugiés syriens a été couvert pour décembre. Il était demandé 64 millions de dollars, or plus de 80 millions ont été recueillis à ce jour, a-t-elle dit.
"Les besoins ont atteint des niveaux sans précédents et, sans davantage de soutien, il n'est simplement pas possible de faire face à ces situations humanitaires qui surgissent, région après région et conflit après conflit", a affirmé Antonio Guterres, le Haut Commissaire pour les réfugiés.
Pour aider ces quelque 58 millions de personnes, considérées comme les plus vulnérables, les agences onusiennes ont besoin de 16,14 milliards de dollars (13,6 milliards d'euros), un chiffre qui ne comprend pas l'aide pour les 9 pays de la région du Sahel et pour Djibouti en cours d'évaluation qui sera communiquée en février.
La crise syrienne, qui dure depuis 2011, va absorber près de la moitié de l'aide, entre celle fournie à l'intérieur du pays (12,2 millions de personnes concernées) et l'aide pour les réfugiés et les communautés (6 millions de personnes dont 3,2 millions de réfugiés) qui les accueillent dans la pays limitrophes.
Le Sud-Soudan est la seconde priorité de cette aide avec 1,8 milliard de dollars prévus.
Les autres crises majeures sont la République Centrafricaine, l'Afghanistan, la République démocratique du Congo, la Birmanie, les Territoires Palestiniens occupés, la Somalie, le Soudan, l'Ukraine et le Yémen.
Pour 2014, les agences de l'ONU avaient évalué leurs besoins financiers à 17,9 milliards de dollars, un chiffre record qui n'a été couvert à ce jour qu'à hauteur de 52% par les donateurs.
"L'augmentation croissante des besoins dépasse notre capacité de réponse", a souligné Valerie Amos, secrétaire générale adjointe pour les affaires humanitaires et la coordination des secours d'urgence.
Elle a par ailleurs annoncé que l'appel d'urgence lancé la semaine dernière par le Programme alimentaire mondial (PAM) pour éviter la suspension de l'aide alimentaire aux réfugiés syriens a été couvert pour décembre. Il était demandé 64 millions de dollars, or plus de 80 millions ont été recueillis à ce jour, a-t-elle dit.
"Les besoins ont atteint des niveaux sans précédents et, sans davantage de soutien, il n'est simplement pas possible de faire face à ces situations humanitaires qui surgissent, région après région et conflit après conflit", a affirmé Antonio Guterres, le Haut Commissaire pour les réfugiés.
Pour aider ces quelque 58 millions de personnes, considérées comme les plus vulnérables, les agences onusiennes ont besoin de 16,14 milliards de dollars (13,6 milliards d'euros), un chiffre qui ne comprend pas l'aide pour les 9 pays de la région du Sahel et pour Djibouti en cours d'évaluation qui sera communiquée en février.
La crise syrienne, qui dure depuis 2011, va absorber près de la moitié de l'aide, entre celle fournie à l'intérieur du pays (12,2 millions de personnes concernées) et l'aide pour les réfugiés et les communautés (6 millions de personnes dont 3,2 millions de réfugiés) qui les accueillent dans la pays limitrophes.
Le Sud-Soudan est la seconde priorité de cette aide avec 1,8 milliard de dollars prévus.
Les autres crises majeures sont la République Centrafricaine, l'Afghanistan, la République démocratique du Congo, la Birmanie, les Territoires Palestiniens occupés, la Somalie, le Soudan, l'Ukraine et le Yémen.
Pour 2014, les agences de l'ONU avaient évalué leurs besoins financiers à 17,9 milliards de dollars, un chiffre record qui n'a été couvert à ce jour qu'à hauteur de 52% par les donateurs.
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