SPORT - L'acteur hollywoodien Mickey Rourke, ex-boxeur et sex-symbol des années 1980, s'apprête vendredi 28 novembre à remonter sur le ring à Moscou, en pleine forme à 62 ans, après avoir raccroché les gants de boxe pendant deux décennies.
"Je suis très heureux de pouvoir remonter sur le ring. Merci à Dieu de me donner cette possibilité", a déclaré à l'AFP Mickey Rourke, à la veille d'un match contre Elliot Seymour, un boxeur professionnel américain, de 43 ans son cadet.
Coiffé d'un chapeau blanc de cow-boy, devenu sa marque de fabrique, le boxeur sexagénaire au sourire éblouissant a reçu les ovations du public lorsqu'il a dévoilé, en petit boxeur bleu, un torse musclé et parsemé d'une dizaine de tatouages, lors de la traditionnelle cérémonie de pesage avant le combat. "81,3 kilos", annonce sous les vivats une voix dans un mégaphone, soit le même poids que celui de son rival, âgé de 29 ans.
Ancien sex-symbol des années 1980, au cours desquelles il était devenu la coqueluche des jeunes filles pour son rôle sulfureux dans le film "Neuf semaines et demie", Mickey Rourke a repris sa carrière de boxe en 1991 jusqu'en 1995, le visage encore marqué par les coups reçus lors de ses combats de jeunesse.
Mickey Rourke lors d'un combat de boxe en novembre 1993
Pour la première fois en presque vingt ans, celui que les amateurs de boxe connaissaient sous le surnom d'El Marielito, fait son retour lors d'un combat vendredi soir à Moscou, retransmis en direct par la télévision russe.
Son amour pour la Russie
Le choix de la capitale russe pour ce retour très attendu n'a pas été fait au hasard. L'acteur, qui se rend régulièrement en Russie, explique ainsi avoir "toujours rêvé d'y faire un combat". En août, il avait créé la surprise en s'offrant et en enfilant un tee-shirt à l'effigie du président russe Vladimir Poutine.
"J'ai rencontré Poutine (...) et il me semble un très bon mec", a déclaré cette semaine l'acteur au quotidien populaire russe Komsomolskaïa pravda. Mickey Rourke espère "mener quatre autres combats, tous en Russie", et se dit confiant dans ses chances de victoire au cours de ce match en cinq rounds de 2 minutes et demi chacun.
"Je crois que je suis assez fort, je peux le faire", dit-il. "Si tu ne veux pas perdre, tout dépend du nombre d'efforts que tu fais" pour gagner, ajoute-t-il.
Même si les débuts de son entraînements avec son coach Jordan Feramisco, après 18 ans de pause, ont été "terribles", l'acteur n'a pas perdu cette envie qui lui a pris après un match entre le boxeur russe Rousslan Provodnikov et l'Américain Timothy Bradley. "J'ai vu Rousslan se battre contre Bradley et cela m'a fait penser que moi aussi, je pouvais me battre de nouveau", se souvient Mickey Rourke.
L'Américain n'en est pas à son premier come-back: en 2008, alors qu'il avait mis sa carrière d'acteur entre parenthèses, il est nominé comme meilleur acteur aux Oscars, pour son rôle de catcheur à bout de souffle dans "The Wrestler", belle mise en abîme de son propre parcours et de ses doutes.
"Quand je combattais il y a 18 ans, je fumais, je ne courais pas, j'y arrivais juste grâce à mes capacités naturelles... Mais cette fois, je suis un peu plus vieux", sourit-il, entouré de jeunes admiratrices russes qui attendent patiemment de prendre une photo avec le sex-symbol américain.
"Je suis très heureux de pouvoir remonter sur le ring. Merci à Dieu de me donner cette possibilité", a déclaré à l'AFP Mickey Rourke, à la veille d'un match contre Elliot Seymour, un boxeur professionnel américain, de 43 ans son cadet.
Coiffé d'un chapeau blanc de cow-boy, devenu sa marque de fabrique, le boxeur sexagénaire au sourire éblouissant a reçu les ovations du public lorsqu'il a dévoilé, en petit boxeur bleu, un torse musclé et parsemé d'une dizaine de tatouages, lors de la traditionnelle cérémonie de pesage avant le combat. "81,3 kilos", annonce sous les vivats une voix dans un mégaphone, soit le même poids que celui de son rival, âgé de 29 ans.
Ancien sex-symbol des années 1980, au cours desquelles il était devenu la coqueluche des jeunes filles pour son rôle sulfureux dans le film "Neuf semaines et demie", Mickey Rourke a repris sa carrière de boxe en 1991 jusqu'en 1995, le visage encore marqué par les coups reçus lors de ses combats de jeunesse.
Mickey Rourke lors d'un combat de boxe en novembre 1993
Pour la première fois en presque vingt ans, celui que les amateurs de boxe connaissaient sous le surnom d'El Marielito, fait son retour lors d'un combat vendredi soir à Moscou, retransmis en direct par la télévision russe.
Son amour pour la Russie
Le choix de la capitale russe pour ce retour très attendu n'a pas été fait au hasard. L'acteur, qui se rend régulièrement en Russie, explique ainsi avoir "toujours rêvé d'y faire un combat". En août, il avait créé la surprise en s'offrant et en enfilant un tee-shirt à l'effigie du président russe Vladimir Poutine.
"J'ai rencontré Poutine (...) et il me semble un très bon mec", a déclaré cette semaine l'acteur au quotidien populaire russe Komsomolskaïa pravda. Mickey Rourke espère "mener quatre autres combats, tous en Russie", et se dit confiant dans ses chances de victoire au cours de ce match en cinq rounds de 2 minutes et demi chacun.
"Je crois que je suis assez fort, je peux le faire", dit-il. "Si tu ne veux pas perdre, tout dépend du nombre d'efforts que tu fais" pour gagner, ajoute-t-il.
Même si les débuts de son entraînements avec son coach Jordan Feramisco, après 18 ans de pause, ont été "terribles", l'acteur n'a pas perdu cette envie qui lui a pris après un match entre le boxeur russe Rousslan Provodnikov et l'Américain Timothy Bradley. "J'ai vu Rousslan se battre contre Bradley et cela m'a fait penser que moi aussi, je pouvais me battre de nouveau", se souvient Mickey Rourke.
L'Américain n'en est pas à son premier come-back: en 2008, alors qu'il avait mis sa carrière d'acteur entre parenthèses, il est nominé comme meilleur acteur aux Oscars, pour son rôle de catcheur à bout de souffle dans "The Wrestler", belle mise en abîme de son propre parcours et de ses doutes.
"Quand je combattais il y a 18 ans, je fumais, je ne courais pas, j'y arrivais juste grâce à mes capacités naturelles... Mais cette fois, je suis un peu plus vieux", sourit-il, entouré de jeunes admiratrices russes qui attendent patiemment de prendre une photo avec le sex-symbol américain.
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