Houcine Abassi a été nommé hier parmi les 100 "global thinkers" du monde pour l'année 2014 par le célèbre magazine ForeignPolicy pour son rôle dans la transition en Tunisie.
Cette reconnaissance mondiale, il la doit à son implication efficace durant ces premières années de transition démocratique selon le magazine.
Houcine Abassi qui a commencé sa carrière en tant qu'instituteur, a rejoint l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) en 1973. Il a été nommé secrétaire général de la Centrale syndicale à l'issue du 22éme congrès qui s'est tenu en 2011.
Depuis, il a été connu pour son rôle de modérateur sur la scène politique tunisienne. Son influence découle du fait qu'il n'hésite pas à user de la valeur historique de l'UGTT pour intervenir dans la sphère politique en tant qu'arbitre entre les divers courants politiques du pays et parfois même surenchérir en invoquant la menace de la grève générale.
Militant de longue date, il est surtout applaudi à l'international pour son rôle d'ambassadeur avec le Quartet formé par les forces vives de la société civile: l’Ordre des avocats, la Ligue tunisienne des droits de l’homme, le patronat tunisien (Utica) et l'UGTT.
Cette cellule de crise a aidé à réunir autour d'une même table la troïka et l'opposition afin d'aboutir à un dialogue national. Selon le magazine qui l'a nommé "Sans Abassi, la nouvelle constitution du pays, promulguée le 27 janvier, n'aurait pas pu voir le jour".
Cette reconnaissance mondiale, il la doit à son implication efficace durant ces premières années de transition démocratique selon le magazine.
Houcine Abassi qui a commencé sa carrière en tant qu'instituteur, a rejoint l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) en 1973. Il a été nommé secrétaire général de la Centrale syndicale à l'issue du 22éme congrès qui s'est tenu en 2011.
Depuis, il a été connu pour son rôle de modérateur sur la scène politique tunisienne. Son influence découle du fait qu'il n'hésite pas à user de la valeur historique de l'UGTT pour intervenir dans la sphère politique en tant qu'arbitre entre les divers courants politiques du pays et parfois même surenchérir en invoquant la menace de la grève générale.
Militant de longue date, il est surtout applaudi à l'international pour son rôle d'ambassadeur avec le Quartet formé par les forces vives de la société civile: l’Ordre des avocats, la Ligue tunisienne des droits de l’homme, le patronat tunisien (Utica) et l'UGTT.
Cette cellule de crise a aidé à réunir autour d'une même table la troïka et l'opposition afin d'aboutir à un dialogue national. Selon le magazine qui l'a nommé "Sans Abassi, la nouvelle constitution du pays, promulguée le 27 janvier, n'aurait pas pu voir le jour".
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