La Haute instance pour la communication audiovisuelle a annoncé mardi 11 novembre qu'elle infligeait une amende de 10.000 dinars à la chaine Nessma TV pour cause de publicité politique.
"Le 2 novembre a été diffusé un publireportage en faveur de l'un des candidats à l'élection, Monsieur Béji Caid Essebsi", constate la HAICA dans une décision publiée lundi 10 novembre.
Le "publireportage" en question était présenté par la chaine comme un "Rapport de la campagne électorale à Monastir" du candidat. On y voyait notamment le leader de Nida Tounes se recueillir dans le mausolée de Bourguiba à Monsatir, avant de faire le discours d'inauguration de sa campagne.
Pour l'Instance, la diffusion et la rediffusion à deux reprises de ce programme est une infraction non seulement à l'article 45 du decret-loi 116", mais aussi à l'article 57 de la loi électorale, interdisant aux médias toutes formes de publicité politique durant la période des élections.
La dernière amende infligée par la HAICA infligée à la chaine privée date du 19 septembre, lorsque celle-ci diffusait sans licence. L'Instance de contrôle du paysage audiovisuel a par la suite annoncé sa disposition à annuler cette amende, si les conditions imposées étaient respectées.
"Le 2 novembre a été diffusé un publireportage en faveur de l'un des candidats à l'élection, Monsieur Béji Caid Essebsi", constate la HAICA dans une décision publiée lundi 10 novembre.
Le "publireportage" en question était présenté par la chaine comme un "Rapport de la campagne électorale à Monastir" du candidat. On y voyait notamment le leader de Nida Tounes se recueillir dans le mausolée de Bourguiba à Monsatir, avant de faire le discours d'inauguration de sa campagne.
Pour l'Instance, la diffusion et la rediffusion à deux reprises de ce programme est une infraction non seulement à l'article 45 du decret-loi 116", mais aussi à l'article 57 de la loi électorale, interdisant aux médias toutes formes de publicité politique durant la période des élections.
La dernière amende infligée par la HAICA infligée à la chaine privée date du 19 septembre, lorsque celle-ci diffusait sans licence. L'Instance de contrôle du paysage audiovisuel a par la suite annoncé sa disposition à annuler cette amende, si les conditions imposées étaient respectées.
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