Candidat à l'élection présidentielle, Béji Caïd Essebsi, leader de Nida Tounes, a accordé une interview au correspondant de Sud Ouest à Tunis.
"Nous devons rechercher non pas des alliances mais une coopération avec d'autres tendances", a déclaré le candidat au sujet de l'exercice du pouvoir.
Dans cette interview, Béji Caïd Essebsi affirme que sa position vis-à-vis du parti islamiste Ennahdha n'a pas encore été tranchée, estimant que le choix du Premier ministre et la formation du futur gouvernement ne doit se faire qu'après l'élection présidentielle.
La Constitution prévoit pourtant la nomination du premier candidat à la présidence du gouvernement dans un délai d'une semaine après l'annonce des résultats définitifs des élections législatives.
Un débat politico-juridique a ensuite été engagé entre ceux qui appellent au respect de la Constitution et d'autres qui estiment que cette disposition ne sera en vigueur que lorsque le futur président de la République sera élu.
Le président de Nida Tounes a par ailleurs affirmé qu'il n'y avait pas d'anciens du RCD au sein de son parti, "mais du Destour, le parti qui a fait l'indépendance". Le RCD n'en serait qu'une "déviation" et il a été dissous par la justice, "il n'existe plus", a-t-il assuré.
Lire l'intégralité de l'Interview sur Sud Ouest
"Nous devons rechercher non pas des alliances mais une coopération avec d'autres tendances", a déclaré le candidat au sujet de l'exercice du pouvoir.
Dans cette interview, Béji Caïd Essebsi affirme que sa position vis-à-vis du parti islamiste Ennahdha n'a pas encore été tranchée, estimant que le choix du Premier ministre et la formation du futur gouvernement ne doit se faire qu'après l'élection présidentielle.
La Constitution prévoit pourtant la nomination du premier candidat à la présidence du gouvernement dans un délai d'une semaine après l'annonce des résultats définitifs des élections législatives.
Un débat politico-juridique a ensuite été engagé entre ceux qui appellent au respect de la Constitution et d'autres qui estiment que cette disposition ne sera en vigueur que lorsque le futur président de la République sera élu.
Le président de Nida Tounes a par ailleurs affirmé qu'il n'y avait pas d'anciens du RCD au sein de son parti, "mais du Destour, le parti qui a fait l'indépendance". Le RCD n'en serait qu'une "déviation" et il a été dissous par la justice, "il n'existe plus", a-t-il assuré.
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