50ans/50photos: Cérès a 50 ans, à cette occasion le HuffPost Tunisie publiera quotidiennement, pendant 50 jours, une photo significative du fonds de l'éditeur.
Hammamet est cette plaisante et singulière rencontre entre architecture, art visuel et lumière. Les lieux ont accueilli et captivé les plus grands noms de la photographie: Cecil Beaton, Man Ray, Hoyning-Heune, Horst P. Horst, Louise Dahl-Wolfe, Inge Morath, Herbert List … et les grands des lettres et des arts.
La maison Georges Sebastian, un milliardaire excentrique d’origine roumaine, était devenue l’emblème des lieux. Une étonnante ordonnance, sans nervures ni arabesques, à l’antipode du baroquisme colonial et de tous les amoncellements de l’architecture byzantino-mauresque.
Pour Le Corbusier, elle est cette maison toute blanche où le dessin des choses se détache et s’écrit absolument en noir sur blanc, rayons X de la beauté et œil de la vérité.
Frank Lloyd Wright, le concepteur de demeures légendaires, s’y est exclamé: 'The most beautiful home I have never seen!'.
Elle inaugure une ère qu’on pourrait qualifier de "post-mauresque" et dont on retrouvera les traces chez les meilleurs inventeurs d’une nouvelle architecture tunisienne, de Jacques Marmey à Tarak Ben Miled ou Wassim Ben Mahmoud.
Sur le conseil avisé de l’ami de Bourguiba le Libanais Cecil Hourani, la maison acquise par l’État tunisien sera transformée en centre culturel et accueillera un grand festival. En 1964, l’architecte Paul Chemetov a su tirer parti de l’extraordinaire charge affective des lieux, du doux et imperceptible relief de ses jardins, un théâtre de plein air, offert par la fondation Gulbenkian.
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Photographie extraite du livre d’Éric Le Roy, Denise Bellon, photographies 1947-1960, Cérès Éditions, 2009.
50 ans, 50 photos, en partenariat avec Cérès.
Hammamet est cette plaisante et singulière rencontre entre architecture, art visuel et lumière. Les lieux ont accueilli et captivé les plus grands noms de la photographie: Cecil Beaton, Man Ray, Hoyning-Heune, Horst P. Horst, Louise Dahl-Wolfe, Inge Morath, Herbert List … et les grands des lettres et des arts.
La maison Georges Sebastian, un milliardaire excentrique d’origine roumaine, était devenue l’emblème des lieux. Une étonnante ordonnance, sans nervures ni arabesques, à l’antipode du baroquisme colonial et de tous les amoncellements de l’architecture byzantino-mauresque.
Pour Le Corbusier, elle est cette maison toute blanche où le dessin des choses se détache et s’écrit absolument en noir sur blanc, rayons X de la beauté et œil de la vérité.
Frank Lloyd Wright, le concepteur de demeures légendaires, s’y est exclamé: 'The most beautiful home I have never seen!'.
Elle inaugure une ère qu’on pourrait qualifier de "post-mauresque" et dont on retrouvera les traces chez les meilleurs inventeurs d’une nouvelle architecture tunisienne, de Jacques Marmey à Tarak Ben Miled ou Wassim Ben Mahmoud.
Sur le conseil avisé de l’ami de Bourguiba le Libanais Cecil Hourani, la maison acquise par l’État tunisien sera transformée en centre culturel et accueillera un grand festival. En 1964, l’architecte Paul Chemetov a su tirer parti de l’extraordinaire charge affective des lieux, du doux et imperceptible relief de ses jardins, un théâtre de plein air, offert par la fondation Gulbenkian.
50 ans, 50 photos, en partenariat avec Cérès.
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