FOOTBALL - Trois mois nous séparent de la 30ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations organisée par le Maroc.
5 raisons de croire à une victoire finale des Lions de l’Atlas.
Supporters du Maroc durant le match Maroc-Mozambique
Cette formule célèbre souligne tout l’avantage d’évoluer devant un public conquis à sa cause. Depuis la première édition en 1957 au Soudan, la compétition a été remportée 11 fois sur 29 par les nations organisatrices de l’événement.
Un avantage certain dont le Maroc n’a toutefois pas profité en 1988 (éliminé en demi-finale par le futur vainqueur, le Cameroun), mais qu’il espère mettre à profit lors de l’édition 2015. Si l’Egypte, l’Algérie et la Tunisie l’ont fait, pourquoi pas nous?
M'Barek Boussoufa
Mehdi Benatia a 27 ans, M’Barek Boussoufa 30 ans, Issam Adoua 28 ans, quand Belhanda, Kaddouri, Barrada et Hamdallah ont plus de 24 ans…
L’âge de la maturité en football, et l’occasion pour cette génération de gagner enfin quelque chose quand la précédente (Chamakh, Kharja, Hadji…) a quitté le landerneau footballistique marocain la tête basse et sans trophée continental majeur. Et si en plus c’est organisé à domicile…
Samuel Eto'o
La Côte-d’Ivoire vient tout juste de se faire démonter à domicile par la République Démocratique du Congo, le Cameroun a complètement disparu des radars, l’Egypte est en passe de se faire éliminer dans sa phase de poule, le Sénégal et la Tunisie sont laborieux. Bref, les habituels épouvantails de la CAN ne sont plus ce qu’ils étaient. Vu que nous jouons à domicile et que nos cadres deviennent matures, il y aurait un coup à jouer…
Badou Zaki, séléctionneur des Lions de l'Atlas
De l’avis de tous les observateurs du football, le sélectionneur national est le plus chanceux des techniciens marocains. Malgré une finale perdue à Radès en 2004, une coupe du Trône avec le WAC, et un palmarès est aussi vierge que le casier judiciaire d’un nouveau-né, il jouit d’une crédibilité, d’une aura et d’un capital-sympathie sans bornes auprès de la vox-populi. Et si en plus on joue à domicile, que nos cadres sont prêts, que les grandes équipes africaines sont éteintes…
L'équipe d'Algérie, meilleure équipe africaine au classement FIFA
C’est le classement FIFA qui le dit, et leur qualification précoce à la CAN ne dit pas le contraire. Bon. L’Algérie. Favori. La CAN. Le Maroc. Tout ça mis ensemble ne peut donner une phrase cohérente. Et comme Zaki est Gontran Bonheur, que nous jouons à domicile, que nos cadres sont prêts, que les grandes équipes africaines sont éteintes…
5 raisons de croire à une victoire finale des Lions de l’Atlas.
1. Nous jouons à domicile
Cette formule célèbre souligne tout l’avantage d’évoluer devant un public conquis à sa cause. Depuis la première édition en 1957 au Soudan, la compétition a été remportée 11 fois sur 29 par les nations organisatrices de l’événement.
Un avantage certain dont le Maroc n’a toutefois pas profité en 1988 (éliminé en demi-finale par le futur vainqueur, le Cameroun), mais qu’il espère mettre à profit lors de l’édition 2015. Si l’Egypte, l’Algérie et la Tunisie l’ont fait, pourquoi pas nous?
2. Nos cadres ont l’âge de la maturité
Mehdi Benatia a 27 ans, M’Barek Boussoufa 30 ans, Issam Adoua 28 ans, quand Belhanda, Kaddouri, Barrada et Hamdallah ont plus de 24 ans…
L’âge de la maturité en football, et l’occasion pour cette génération de gagner enfin quelque chose quand la précédente (Chamakh, Kharja, Hadji…) a quitté le landerneau footballistique marocain la tête basse et sans trophée continental majeur. Et si en plus c’est organisé à domicile…
3. Les grandes équipes africaines ne sont plus ce qu’elles étaient
La Côte-d’Ivoire vient tout juste de se faire démonter à domicile par la République Démocratique du Congo, le Cameroun a complètement disparu des radars, l’Egypte est en passe de se faire éliminer dans sa phase de poule, le Sénégal et la Tunisie sont laborieux. Bref, les habituels épouvantails de la CAN ne sont plus ce qu’ils étaient. Vu que nous jouons à domicile et que nos cadres deviennent matures, il y aurait un coup à jouer…
4. Badou Zaki a une veine pas possible
De l’avis de tous les observateurs du football, le sélectionneur national est le plus chanceux des techniciens marocains. Malgré une finale perdue à Radès en 2004, une coupe du Trône avec le WAC, et un palmarès est aussi vierge que le casier judiciaire d’un nouveau-né, il jouit d’une crédibilité, d’une aura et d’un capital-sympathie sans bornes auprès de la vox-populi. Et si en plus on joue à domicile, que nos cadres sont prêts, que les grandes équipes africaines sont éteintes…
5. La meilleure équipe africaine du moment est l’Algérie
C’est le classement FIFA qui le dit, et leur qualification précoce à la CAN ne dit pas le contraire. Bon. L’Algérie. Favori. La CAN. Le Maroc. Tout ça mis ensemble ne peut donner une phrase cohérente. Et comme Zaki est Gontran Bonheur, que nous jouons à domicile, que nos cadres sont prêts, que les grandes équipes africaines sont éteintes…
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