Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, est entré mardi 14 octobre dans la bande de Gaza pour une visite chargée de symboles mais aussi de contenu politique, près de cinquante jours après la fin de la guerre, a constaté un journaliste de l'AFP.
Le secrétaire général de l'ONU a commencé par aller se rendre compte de l'étendue de la dévastation à Shejaiya, l'un des quartiers de Gaza les plus durement éprouvés par la guerre de juillet et août. De nombreux bâtiments de ce quartier situé à quelques kilomètres seulement de la frontière israéliennes ont été écrasés sous les bombardements.
L'ONU, déjà un acteur majeur dans le territoire, l'est encore davantage à l'heure de la reconstruction.
Le secrétaire général des Nations unies a prévu de tenir une conférence de presse à Jabaliya, dans l'une des trois écoles de l'ONU transformées en abri pour les réfugiés et atteintes par les bombardements pendant la guerre. Des dizaines de personnes y avaient été tuées. Il avait alors dénoncé "un scandale du point de vue moral et un acte criminel", ainsi qu'une "violation flagrante du droit humanitaire international".
Ban Ki-moon devait aussi rencontrer des ministres du gouvernement d'unité palestinien, qui vient de reprendre pied dans la bande de Gaza après sept ans de domination quasiment sans partage de l'organisation radicale islamiste Hamas.
Le secrétaire général de l'ONU a commencé par aller se rendre compte de l'étendue de la dévastation à Shejaiya, l'un des quartiers de Gaza les plus durement éprouvés par la guerre de juillet et août. De nombreux bâtiments de ce quartier situé à quelques kilomètres seulement de la frontière israéliennes ont été écrasés sous les bombardements.
Ban Ki-moon, dont la dernière visite dans le territoire remontait à 2012, avait indiqué dimanche qu'il se rendait dans la bande de Gaza meurtrie "pour écouter directement les gens de Gaza".
L'ONU, déjà un acteur majeur dans le territoire, l'est encore davantage à l'heure de la reconstruction.
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Ban Ki-moon vient aussi signifier son soutien et "partager le chagrin" des personnels de l'ONU, a dit à l'AFP Christopher Gunness, porte-parole de l'UNRWA, l'omniprésente agence onusienne pour l'aide aux réfugiés palestiniens. Cette dernière a perdu 11 de ses 13.000 collaborateurs durant la guerre.
Le secrétaire général des Nations unies a prévu de tenir une conférence de presse à Jabaliya, dans l'une des trois écoles de l'ONU transformées en abri pour les réfugiés et atteintes par les bombardements pendant la guerre. Des dizaines de personnes y avaient été tuées. Il avait alors dénoncé "un scandale du point de vue moral et un acte criminel", ainsi qu'une "violation flagrante du droit humanitaire international".
Ban Ki-moon devait aussi rencontrer des ministres du gouvernement d'unité palestinien, qui vient de reprendre pied dans la bande de Gaza après sept ans de domination quasiment sans partage de l'organisation radicale islamiste Hamas.
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