Facebook s'est engagé mercredi 1er octobre à autoriser ses abonnés à utiliser des noms d'emprunt. L'entreprise réagit après l'indignation notamment, de la communauté transsexuelle.
Jusqu'ici Facebook exigeait que ses utilisateurs s'inscrivent sous leur véritable identité, au grand dam d'abonnés craignant que leur compte enregistré sous un nom d'emprunt soit supprimé.
Alors qu'une manifestation était prévue jeudi à San Francisco, conduite notamment par des homosexuels et des transsexuels, le réseau social basé en Californie s'est excusé pour sa politique en la matière. À l'issue d'une réunion avec des responsables de Facebook, des représentants de ces minorités ont affirmé avoir trouvé une solution acceptable.
"L'esprit de notre politique est que chacun sur Facebook utilise le nom qu'il utilise dans la vraie vie", a souligné un responsable Facebook Chris Cox. "Pour sœur Roma, c'est sœur Roma, pour Lil Miss Hot Mess, c'est Lil Miss Hot Mess", a-t-il ajouté faisant référence aux noms de scène de drag queens.
"Je veux présenter mes excuses à la communauté des drag queens et kings, des transgenres, et le groupe plus large de nos amis, de nos voisins, et des membres de la communauté LGBT pour les souffrances endurées", a affirmé Chris Cox.
"Il est clair que Facebook s'est montré tout à fait désolé et désireux de trouver des solutions pour que chacun d'entre nous puisse avoir sa propre identité en ligne", a concédé auprès de l'AFP le porte-parole du centre juridique des transgenres (Transgender Law Center) Mark Snyder.
La liste des personnes qui souhaitent utiliser des pseudonymes s'étend aux travailleurs sociaux, enseignants, juges et aux victimes d'agression, entre autres, estime Mark Snyder.
Jusqu'ici Facebook exigeait que ses utilisateurs s'inscrivent sous leur véritable identité, au grand dam d'abonnés craignant que leur compte enregistré sous un nom d'emprunt soit supprimé.
Alors qu'une manifestation était prévue jeudi à San Francisco, conduite notamment par des homosexuels et des transsexuels, le réseau social basé en Californie s'est excusé pour sa politique en la matière. À l'issue d'une réunion avec des responsables de Facebook, des représentants de ces minorités ont affirmé avoir trouvé une solution acceptable.
"L'esprit de notre politique est que chacun sur Facebook utilise le nom qu'il utilise dans la vraie vie", a souligné un responsable Facebook Chris Cox. "Pour sœur Roma, c'est sœur Roma, pour Lil Miss Hot Mess, c'est Lil Miss Hot Mess", a-t-il ajouté faisant référence aux noms de scène de drag queens.
"Je veux présenter mes excuses à la communauté des drag queens et kings, des transgenres, et le groupe plus large de nos amis, de nos voisins, et des membres de la communauté LGBT pour les souffrances endurées", a affirmé Chris Cox.
"Il est clair que Facebook s'est montré tout à fait désolé et désireux de trouver des solutions pour que chacun d'entre nous puisse avoir sa propre identité en ligne", a concédé auprès de l'AFP le porte-parole du centre juridique des transgenres (Transgender Law Center) Mark Snyder.
La liste des personnes qui souhaitent utiliser des pseudonymes s'étend aux travailleurs sociaux, enseignants, juges et aux victimes d'agression, entre autres, estime Mark Snyder.
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.