Un homme de 20 ans, soupçonné d'avoir battu un sans-papier tunisien de 28 ans décédé peu après, a été mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention provisoire, a-t-on appris samedi auprès du parquet.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 20 au 21 septembre dans le quartier de la Grande Garenne, un quartier sensible d'Angoulême. Trois bagarres successives auraient eu lieu dans la soirée entre le suspect et la victime, hébergée chez une octogénaire, au pied d'un immeuble du quartier.
La victime était parvenue à rentrer au domicile de l'octogénaire où elle a été découverte, inerte, dans la matinée. Alertés, les secours n'avaient pu le ranimer. Selon le rapport de l'autopsie pratiquée à l'Institut médico-légal de Poitiers, le décès aurait été "provoqué par hémorragie cérébrale".
Le parquet n'a pas souhaité communiquer sur le motif éventuel des bagarres.
Joint par un correspondant de l'AFP, l'avocat du suspect Me Lionel Béthune de Moro a déclaré que son client "conteste" l'homicide volontaire. Selon lui, il y a eu "plusieurs échanges de coups, dans lequel l'auteur a pu vouloir se défendre, en l'absence totale d'intention d'homicide", a-t-il précisé.
Dans le même quartier, en juillet 2013, un éducateur avait été tué d'un coup de couteau à la gorge en tentant de s'interposer pour mettre fin à une bagarre entre deux hommes. Un mois après, un jeune homme de 23 ans avait été abattu d'un coup de fusil en pleine rue.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 20 au 21 septembre dans le quartier de la Grande Garenne, un quartier sensible d'Angoulême. Trois bagarres successives auraient eu lieu dans la soirée entre le suspect et la victime, hébergée chez une octogénaire, au pied d'un immeuble du quartier.
La victime était parvenue à rentrer au domicile de l'octogénaire où elle a été découverte, inerte, dans la matinée. Alertés, les secours n'avaient pu le ranimer. Selon le rapport de l'autopsie pratiquée à l'Institut médico-légal de Poitiers, le décès aurait été "provoqué par hémorragie cérébrale".
Le parquet n'a pas souhaité communiquer sur le motif éventuel des bagarres.
Joint par un correspondant de l'AFP, l'avocat du suspect Me Lionel Béthune de Moro a déclaré que son client "conteste" l'homicide volontaire. Selon lui, il y a eu "plusieurs échanges de coups, dans lequel l'auteur a pu vouloir se défendre, en l'absence totale d'intention d'homicide", a-t-il précisé.
Dans le même quartier, en juillet 2013, un éducateur avait été tué d'un coup de couteau à la gorge en tentant de s'interposer pour mettre fin à une bagarre entre deux hommes. Un mois après, un jeune homme de 23 ans avait été abattu d'un coup de fusil en pleine rue.
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