Les fonctionnaires de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique sont entrés mardi 23 septembre en grève sectorielle nationale. Administratifs, techniciens, bibliothécaires, agents de laboratoires et techniciens supérieurs observent une grève jusqu'au 25 septembre.
Zakia Hafsi, secrétaire générale du syndicat général des fonctionnaires et agents des laboratoires au ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a déclaré à l'agence TAP que cette grève a été décidée après que les revendications des protestataires n'ont pas été satisfaites. Ces revendications portent notamment sur la publication des statuts particuliers des différents corps du secteur.
"La non application des procès-verbaux des accords conclus entre les parties syndicale et administrative, les 8 octobre 2012, 23 avril 2013 et 8 novembre 2013 constitue le principal point de désaccord", a-t-elle fait savoir.
Hafsi a ajouté que le syndicat envisageait de recourir à d'autres formes de protestation, dans le cas où le ministère de tutelle continue d'ignorer ces revendications.
Les grévistes demandent notamment à bénéficier de la même grille salariale que les fonctionnaires du ministère de l'éducation ainsi que de la prime spécifique dont bénéficient les fonctionnaires du Premier ministère.
Par ailleurs, le syndicat veut être associé à l'opération de choix des programmes de formation et réclame la publication d'un décret relatif à la création de l'office des logements du personnel de l'enseignement supérieur.
Le ministère de l'enseignement supérieur a exprimé mardi 23 septembre son "étonnement" quant à l'observation de cette grève. Selon un communiqué du ministère publié ce mardi, une réunion de conciliation a eu lieu le 18 septembre entre une délégations du ministère et une autre du syndicat général, en présence d'un membre de l'UGTT.
Le communiqué indique que même si cette réunion avait été interrompue "pour des raisons indépendantes de la volonté du ministère", les négociations allaient se poursuivre.
Le ministère tient à ce que le dialogue soit le seul moyen pour trouver "les solutions adéquates pour assainir le climat social dans le secteur", conclut le communiqué.
Zakia Hafsi, secrétaire générale du syndicat général des fonctionnaires et agents des laboratoires au ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a déclaré à l'agence TAP que cette grève a été décidée après que les revendications des protestataires n'ont pas été satisfaites. Ces revendications portent notamment sur la publication des statuts particuliers des différents corps du secteur.
"La non application des procès-verbaux des accords conclus entre les parties syndicale et administrative, les 8 octobre 2012, 23 avril 2013 et 8 novembre 2013 constitue le principal point de désaccord", a-t-elle fait savoir.
Hafsi a ajouté que le syndicat envisageait de recourir à d'autres formes de protestation, dans le cas où le ministère de tutelle continue d'ignorer ces revendications.
Les grévistes demandent notamment à bénéficier de la même grille salariale que les fonctionnaires du ministère de l'éducation ainsi que de la prime spécifique dont bénéficient les fonctionnaires du Premier ministère.
Par ailleurs, le syndicat veut être associé à l'opération de choix des programmes de formation et réclame la publication d'un décret relatif à la création de l'office des logements du personnel de l'enseignement supérieur.
Le ministère de l'enseignement supérieur a exprimé mardi 23 septembre son "étonnement" quant à l'observation de cette grève. Selon un communiqué du ministère publié ce mardi, une réunion de conciliation a eu lieu le 18 septembre entre une délégations du ministère et une autre du syndicat général, en présence d'un membre de l'UGTT.
Le communiqué indique que même si cette réunion avait été interrompue "pour des raisons indépendantes de la volonté du ministère", les négociations allaient se poursuivre.
Le ministère tient à ce que le dialogue soit le seul moyen pour trouver "les solutions adéquates pour assainir le climat social dans le secteur", conclut le communiqué.
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